Titre : Human cyborg,
chapitre 4/ ?
Auteur : Akasha
Série : J’ai un doute… Gundam Wing ?
Genre : Retour : de Duo, du glaçon, des
blagues débiles, de vacances (Ouaiiiiiiii je suis de retour chez moi !!
Mon piti n’ordinateur n’a mouah que z’m et qui m’a manquééééé !!! heu…
^^ ; … petite précision, ce chapitre a été écrit en août 2002… comment ça,
je vous fait attendre ?) Lime si vous êtes sages. (sauf que Calliope me
dit que c’est un début de lemon… tout est une question d’appréciation ^^)
Couples : je suis chiante, hein ?
2+1 nananèreuh ! ;p Je vous l’avais dit que l’amour c’est jamais
réciproque quand il faut ? Nyark nyark !! Ah pis aussi 4x3. Ah tiens,
vous êtes plus aimables tout à coup ?
Disclaimer : Je les avais tous capturés
(comme les pokémons), je leur avais trouvé une jolie cage, et je venais leur
rendre visite tous les jours… Mais ils se sont enfuis la nuit dernière en
creusant un tunnel à la petite cuillère!!! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiin !!
TTT_______TTT
Quatre s’agitait dans
son sommeil. Encore un cauchemar. Il en faisait souvent ces temps-ci. Déjà
qu’il se fatiguait à vouloir jouer le rôle de Duo et de Heero, si en plus il ne
dormait pas la nuit…
Trowa regarda le
réveil. Six heures. Ils avaient encore le temps.
Un petit gémissement
perdu ramena son attention vers son ami allongé à ses côtés. Il commençait à se
débattre. Le français posa une main sur son épaule et le secoua doucement en
l'appelant. Le petit blond se réveilla en sursaut, poussant un cri de terreur,
pour se trouver nez à nez avec un œil vert inquiet.
- Chhhh, Quatre, ça
va, c’est un cauchemar, lui murmura-t-il en caressant ses mèches blondes
collées à son front par la sueur.
- Trowa, c’est…
c’est affreux… il… Heero, hoqueta Quatre.
- Chhhh, c’est fini,
dit-il en attirant son amant à lui.
Quatre vint avec
reconnaissance se pelotonner contre le torse du grand pilote, glissant ses bras
autour de sa taille. Trowa, appuyant sa tête sur son bras replié, posa son
menton sur le crâne de son petit ami.
- Tu devrais dormir
encore un peu.
Quatre émit un petit
grognement puis releva la tête.
- J’ai plus sommeil.
Quelle heure il est ?
- Tôt.
Le petit blond
bailla à s’en décrocher la mâchoire puis s’étira de tout son long avec la grâce
d’un félin, bientôt imité par Trowa. Quatre entreprit ensuite de l’escalader et
de s’installer sur son torse, le menton reposant sur ses bras croisés devant
lui. Le français glissa ses doigts dans les cheveux blonds soyeux de son amant,
lequel se frotta à sa main comme un chat en manque d’affection. Un peu plus et
il ronronnerait.
Quatre planta ses
aigues-marines dans les émeraudes qui lui faisaient face et parut les sonder.
Béryl contre béryl 1[4]. Puis il se pencha en
avant et piqua les lèvres de son amant d’un baiser. Puis d’un autre. Et encore
un autre jusqu’à ce qu’ils se transforment en un long baiser passionné. Peu à
peu, il décroisa ses bras, posa ses mains de part et d’autre du torse du
français et remonta au-dessus de lui pour l’obliger, s’il ne voulait pas rompre
le baiser, à rejeter la tête en arrière. Ayant désormais un accès à sa gorge,
Quatre abandonna sa bouche pour s’y attaquer, laissant par ailleurs ses mains
courir sur le corps dénudé de son amant 2[4].
Un gémissement ténu échappa à Trowa. Oui, il avait le cou très sensible, et son
démon de petit ami avait eu tôt fait de le découvrir. Le démon en question
était d’ailleurs en train de descendre sur son torse, le parsemant de petits
baisers.
Quatre sentit les
mains du français s’agripper à son dos tandis qu’il taquinait un téton du bout
de la langue. Il sourit puis continua sa descente, repoussant les couvertures
en même temps. Lorsqu’il arriva à la verge tendue de son amant, il la frôla du
bout des doigts, s’attirant un petit gémissement, déposa un baiser sur le bout
et la prit en entier dans sa bouche. Des doigts se crispèrent aussitôt dans ses
cheveux en même temps qu’un cri de surprise s’éleva dans le silence de la
pièce.
Tantôt lent, tantôt
rapide, Quatre s’amusa à faire monter le plaisir de son amant. Il lui avait
fallu du temps et de la patience pour que Trowa lui confie son passé
douloureux, les viols à répétition dont il était victime étant enfant, mais
encore plus pour qu’il lui fasse entièrement confiance et accepte d’être uke.
Maintenant qu’il avait obtenu ce privilège, le petit blond en jouissait 3[4] sans remords. Il faisait tout pour
prouver à son amant qu’il avait eut raison de lui accorder sa confiance.
Lorsqu’il le sentit
proche de l’orgasme, sa main remplaça sa bouche qui remonta aussitôt s’emparer
des lèvres du grand pilote. Quand ce dernier se libéra, Quatre, en plus
d’étouffer son cri, recueillit la précieuse semence entre ses doigts.
Bien, ils allaient
pouvoir passer aux choses sérieuses… ^^
* * *
Wufei passait devant
la chambre de ses amis quand un gémissement plus sonore que les autres traversa
la porte.
- Un peu de silence
là-dedans !! les réprimanda-t-il.
Il n’obtint pour
toute réponse que des rires étouffés. Le chinois passa donc son chemin,
essayant de faire disparaître la rougeur de ses joues.
C’était pas évident
la cohabitation tout de même ! Depuis que Yuy était partit, il devait
partager la planque avec un couple d’amoureux transits qui passait son temps à
se bécoter ! C’était un miracle s’il arrivait à passer une journée sans se
mettre à saigner du nez… la mer Rouge à domicile, le Paradis !
Enfin, Maxwell
rentrait demain, c’était déjà ça. Jamais il n’aurait pensé dire ça un jour,
mais il attendait le retour de l’américain avec une certaine impatience. Même
s’il craignait d’avoir à le regretter assez rapidement. En attendant, il
espérait que leur turbulent ami serait trop occupé à chambrer le nouveau couple
pour penser encore à le faire tourner en bourrique. Ou alors à dévaliser le
frigo… Ils avaient été faire les courses la veille, spécial « retour de
Duo », donc bouffe américaine, c’est à dire rien de comestible à ses yeux.
Bref. Le lendemain s’annonçait des plus agités.
* * * * * 4[4]
- AU
REVOIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIR !!!! Salut tout le monde ! A pas bientôt
j’espère !!!
- Duo, tu fais peur aux
enfants !
- Pas grave, ils
s’en remettront, c’est résistant à c’t âge là !
L’arabe soupira en
secouant la tête. Décidément, pour la discrétion, ils repasseraient.
- Allez, Duo, en
voiture, dit-il pendant que l’américain faisait de grands signes d’adieux au
personnel de l’hôpital.
- J’arrive
Qua-chan !
Dans les bus, il y a
un panneau « défense de parler au chauffeur ».
Pas dans les
voitures.
- Bon alors dis-moi,
pourquoi t’es le seul à venir me chercher ? Keskizon les autres, ils
veulent déjà plus me voir ? Y boudent ? demanda finalement Duo après
avoir raconté dans les détails toutes les bêtises-qui-n’en-étaient-pas qu’il
avait pu faire pendant son séjour à l’hôpital.
- Pour ÇA justement.
- Quoi ça ? Le
fait que je parle tout le temps ? Ça change pas de d’habitude !
- Je voulais pas que
Wufei pique une crise de nerf dans la voiture et se mette à essayer de
t’étrangler pendant que je conduis.
- Et Trotro ?
Pourquoi tu l’a laissé à la maison ?
- Pour pas que Wufei
se sente écarté.
- Ah. … Et
Heero ? demanda timidement l’américain.
- Il… il n’est pas
rentré, souffla Quatre, soudain rembruni.
- Je sens que si je
mets la main sur le prof J… commença Duo.
- Je… le coupa le
petit blond, le regard un peu vague, c’est bizarre Duo, je fais des cauchemar
où… je vois Heero. Et… il nous appelle à l’aide, acheva-t-il dans un murmure.
- Des quoi ?
Cauchemars ? Et tu crois que… que…. Il n’osait formuler sa question.
Peut-être par peur de la réponse.
- Non, je ne pense
pas qu’ils soient dictés par mon empathie. Ça ne me l’a jamais fait avant. Ce
sont juste des rêves mais… ils sont troublants.
- Alors tout va
bien ! lança joyeusement l’américain pour détendre l’atmosphère. Et Trowa,
tu lui en as parlé ? Qu’est-ce qu’il en dit ?
- Il pense que je
m’inquiète trop, sourit malgré lui le petit blond.
- Tiens, justement,
en parlant de lui, racoooooooonte !!!! Alors, il se passe quoi au pays des
amoureux !!!
Quatre se mit
aussitôt à rougir et le sourire de Duo fit –au moins- cinq fois le tour de sa
tête. Des potins croustillants à se mettre sous la dent ! Rien de tel pour
ramener la joie et la bonne humeur !
* * * * * * * * * *
Une semaine
maintenant que Duo était rentré et la vie reprenait comme avant, entre les
« Wuffy » & co, suivit automatiquement des « m’appelle pas
comme ça, Maxwell !!! », avec en prime tout les bruits plus ou moins
bizarres produits par le couple de la maisonnée.
Ne manquaient que
les « Omae O Korosu » et les « Baka ! » de Heero. De
ce côté, toujours pas de nouvelles et la tension au sein du petit groupe était
presque palpable. Sans compter que Quatre s’éveillait de plus en plus souvent
au milieu de la nuit en hurlant le nom du japonais 5[4],
en proie à d’horribles cauchemars dont il ne révélait jamais le contenu.
Duo avait rendu
visite aux professeurs pour se faire examiner et n’avait pu ne serait-ce que
l’apercevoir. L’ayant jugé apte au service, les mads l’avaient renvoyé sur le
champ de bataille avec les autres. L’avantage des missions à répétition, c’est
que ça empêche de réfléchir à autre chose.
* * * *
Les quatre pilotes
rentraient donc de mission ce soir là quand ils furent alertés par une lueur à
l’intérieur de la planque. Ils s’arrêtèrent donc à distance pour observer la
maison. Rien. Pas un mouvement, juste la faible clarté de la lampe du salon.
Alors qu’ils
voulaient tenter une entrée en force, Quatre les arrêta et « ouvrit »
son Uchuu No Kokoro. Soudain, les trois autres le virent partir sans un mot en
courant comme un dératé vers la maison. Trowa ne put le retenir à temps et,
inquiet, se lança à sa poursuite. Comme ils n’allaient pas rester là à prendre
racine et à attendre que les fruits poussent, Duo et Wufei suivirent le
mouvement.
La porte s’ouvrit à
la volée sur un Quatre essoufflé et les joues rouges, suivit de près par ses
coéquipiers. Une demi seconde plus tard, il avait un flingue entre les deux
yeux. Au bout de ce flingue…
- Heero !!!
hurla Duo dès qu’il l’aperçut. T’es rentré !!!
- Hn, baka, grogna
le japonais en rengainant son arme avant de retourner vers son ordinateur.
Les pilotes
restèrent sur le seuil, cloués sur place par sa réaction. Ben quoi, tout ce
temps d’absence inexpliquée et même pas un « bonjour » ?
- Konban
wa Heero 6[4], dit Quatre,
hésitant.
- Hn.
- Coucou !!
J’suis rentré, au cas où t’aurais pas remarqué ! lança à son tour
l’américain.
- Hn.
Bel exemple de
réponse monosyllabique. Pas très varié quand même.
Toute la soirée
passa ainsi. Personne ne comprit pourquoi Heero affichait ce comportement si…
froid. Encore plus qu’avant. Et il n’avait rien voulu dire sur ce qui s’était
passé depuis son départ chez les professeurs, tout étant jalousement gardé par
le sceau « confidentiel » imprimé un peu partout, y compris sur le
front d’un certain pilote de gundam volant d’un blanc qui ferait envie à des
fabricants de lessive.
* * *
Duo était blessé.
Que le japonais le traite de baka, il avait l’habitude, mais jamais il ne
l’avait fait aussi méchamment. Le soir, alors qu’ils allaient se coucher, dans
la même chambre comme d’habitude, Heero l’ignora superbement. Il avait l’impression
de ne pas exister. Pas une fois, il avait réussi à le faire s’énerver.
Pourtant, c’était pas faute de pas avoir essayé ! Soit c’était lui qui
avait perdu la main, soit son colocataire avait augmenté sa résistance à la
provocation. Toujours était-il qu’il ne le reconnaissait plus.
Alors, allongé dans
le noir, il repensa à ce qu’il s’était passé un mois auparavant. Quand il
allait mourir. Quand la « lumière » lui avait montré Heero en train
de pleurer, pour la première fois de sa vie, parce qu’il pensait l’avoir perdu.
Etait-ce un rêve ? La « lumière » lui-avait-elle menti en lui
disant que Heero ne supporterait pas sa mort, qu’il devait revenir pour lui,
qu’il avait encore quelque chose à faire dans ce monde ? Il ne comprenait
plus. Quatre lui avait dit que pendant son coma, le brun avait été très touché.
Mais alors pourquoi avait-il ce comportement à son égard aujourd’hui ? Pas
possible. Quatre avait dû se tromper et lui avait sûrement halluciné à cause
des médicaments. Ça ne pouvait être que ça. Pas d’autre choix possible. Heero
ne s’était jamais soucié de lui et il aurait tout aussi bien pu crever.
Les larmes lui
montèrent aux yeux et son ventre se noua douloureusement. Boys don’t cry ! Et il se répéta
cette phrase encore et encore, comme un mantra, jusque tard dans la nuit. Il
finit par s’endormir au son de la respiration calme du japonais allongé à
quelques mètres de lui.
* * *
Le lendemain, ainsi
que les jours suivants passèrent ainsi. Heero plus froid et agressif que
jamais. Si l’on devait établir une comparaison, avant, le Heero, il était
apparenté au marbre. Depuis son retour, tous avaient droit à la version
« perle polie de marbre congelé renfermée dans une huître », la
métaphore étant de Duo.
Un jour qu’ils
faisaient la cuisine, Duo en discuta avec Quatre, lequel ne changea pas sa
version des faits. Lui-même ne pouvait s’expliquer le comportement de leur
coéquipier, même avec son empathie. Lorsqu’ils passèrent à table, l’américain
lança la conversation, comme à son habitude, sauf qu’il choisit un sujet qui le
répugnait en temps normal. Non, pas Réléna ; les missions. Il espérait
ainsi intéresser Heero à la discussion, histoire de pouvoir lui poser des
questions après. Dérivant adroitement, il vint à parler des professeurs.
- J’vous jure le
regard qu’ils m’ont jeté quand je suis arrivé ! J’avais l’impression de me
faire disséquer par cinq paires d’yeux. Brrrr, je maintiens, on est dingues de
faire confiance à des fous pareils ! Enfin bon, le seul point positif de
l’histoire, c’est que j’ai pu échapper aux tests parce que je leur avais amené
les résultats de ceux de Sally –et elle m’en a fait une tripotée- et qu’ils ont
rien trouvé à redire. Ils voulaient tester mes capacités mentales aussi !
Non mais j’vous jure, comme si le fait d’avoir pioncé trois mois ça avait pu me
rendre stupide ! J’ai juste rattrapé mes heures de sommeil en retard de
ces dernière années !!
- C’est une façon de
voir les choses, pouffa Quatre, profitant que l’américain reprenait son souffle
pour en placer une.
- Et ce qui est sûr,
c’est qu’ils les voient pas de la même manière ! bougonna Duo. Ah, tiens,
puisqu’on en parle, je t’ai pas vu Hee-chan quand j’était là haut. T’étais
où ?
- Pas tes affaires,
répondit rudement le japonais.
- Bah, allez, soit
sympa, dis nous ! On s’est inquiétés pour toi et tu veux rien nous
dire !
- Ça ne te regarde
pas.
-
Aleeeeeeeeeeeeeeeeeezz !! Titeplééééééééé !!!!
Cette fois, Heero ne
prit même pas la peine de répondre.
- Ah tu le prends
comme ça, menaça Duo en se levant.
Malheureusement pour
lui, le japonais ne lui accorda pas l’attention qu’il méritait et, la seconde
suivante, il se trouvait tiré en arrière avec un Duo sur les genoux qui avait
également passé ses bras autour de son cou et le regardait en papillotant des
cils.
- Raconte une
histoire, dit-il avec un ton de petit garçon.
A peine Duo
s’était-il assis sur les genoux du japonais qu’il vit celui-ci fermer les yeux
et se crisper. Tous les muscles de son corps, des mâchoires jusqu’aux mollets.
Et pourquoi avait-il les yeux fermés ? Ses sourcils étaient légèrement
froncés…
Soudain Quatre
poussa un petit glapissement et alla se réfugier contre son amant qui referma
aussitôt ses bras autour de lui, tous deux dévisageant Heero comme s’il était
le diable en personne.
Ce fut cet instant
que choisit le diable en question pour sortir de sa torpeur.
- Va t’en,
siffla-t-il ente ses dents.
- Quoi ?
- Va t’en,
répéta-t-il plus fort, toujours les dents serrées.
- Mais… commença
l’américain.
- Je t’ai dit de
dégager !! hurla Heero en le repoussant violemment alors qu’il se levait
de son siège.
- Aiiiieuh !!
brailla Duo quand son postérieur rencontra assez rudement le sol de la cuisine.
Wufei se tendit,
prêt à intervenir, quand le japonais reprit, sur un ton à faire peur aux morts.
- Ce qui s’est passé
ne vous regarde pas. Mêlez-vous de vos affaires !
Puis il sortit de la
pièce.
Pendant quelques
instants, tous restèrent sans bouger, trop abasourdis pour penser à autre chose
qu’à l’inflexion violente de la voix de leur ami.
Duo se releva en
grognant puis se tourna vers Quatre.
- Qu’est-ce qu’il
s’est passé, pourquoi t’as crié ?
- Heero… d… douleur…
balbutia celui-ci, encore sous le choc, les yeux perdus dans le vide.
Trowa resserra sa
prise autour de lui et lui caressait doucement le dos.
- Qu’est-ce que tu
veux dire ? demanda Wufei.
- Quand… Duo s’est
assis sur ses genoux… j’ai ressenti de la douleur, venant de lui. Tout ça n’est
pas normal !!! s’énerva brusquement le petit blond.
- Chhhh, ça va,
calme toi, chuchota la voix chaude de Trowa à son oreille.
L’arabe s’agrippa à
lui et enfouit son visage dans son cou.
- Je trouve qu’il a
changé, approuva Duo.
- Il ressemble
presque à un robot par moments, dit Wufei, pensif.
* * *
Dans sa chambre,
Heero était assis sur le lit, se tenant les tempes, une expression de douleur
sur le visage. Soudain, il se redressa. Ses yeux étaient vides. Pas seulement
vides de toute expression, vides de toute étincelle de vie.
A suivre…
Calliope : Oh qu’il est devenu bôôôôô
et bien serrrrrrrrrrrviable le Heero ! Vu qu’il a gentiment jeté Duo je
vais pouvoir le torturer sans avoir des représailles !
Ak : C’est mouah qui le torture
d’aboreuh, chacune son tour !
Duo : Vous parlez de qui là ?
Calliope : Mêle-toi de tes affaires,
c’est mon problème, tout ceci ne te concerne pas alors dégage !!!!!!
Ak : Eh merde, y a Heero qui déteint
sur elle. A force de trop le fréquenter aussi !
Heero : Ta gueule onna !
Ak : Et Wu déteint sur Hee-chan. Hééé
ben, on n’est pas mal barrés… -_-
Calliope, soudain intéressée : Heero
raconte moi Wufei !
Heero :
Hein ? oO ?
Calliope : Ben oui, mensurations,
points sensibles, est-ce qu’il adore le BDSM, ce genre de choses tu vois !
Wufei & Heero *piquent un fard
monstre* : Ta gueule Calliope !
Ak : Bon ça suffit maintenant !
Faudrait pas que ça prenne trois pages, tout de même ! Pis d’abord, ils
sont pas ensemble ici ! Reste dans tes fics tu veux, et vient pas changer
les couples des miennes !! Pis d’abord, Fei, il va pas rester seul… mais
je vous dirai pas qui !! ;p ! ‘Fein… y en a pour un bout de
temps quand même avant. ^^;
Wu : Hooo misère, avec qui je vais me
retrouver encore…
Ak : Arrête de gémir ou je te case avec
Lady une ! … Ou peut-être Dorothy, tiens… Nan j’ai mieux !
Réléna !!
Wu : Naaaaaaaaan pitié pas ELLE !!
TTT_______________TTT
Ak :
Nyark nyark nyark…
1 [4]
: les aigues-marines et les émeraudes appartiennent au même minéral : le
béryl. Selon sa couleur, il porte des noms différents
2 [4]
: oui ils dorment à poil dans le même lit, inutile de vous dire ce qu’ils
ont fait la veille
3 [4] : sans mauvais jeu de mots !
4[4]: bon, commencez à piger, plus il y a d’étoiles, plus la faille
temporelle est grande. Sinon, ça sert uniquement à marquer un changement
quelconque, POV, lieu, temps… Si vous comprenez pas, allez voir le disclaimer de
The werewolf de Asuka. Nan mais sans déc’ ! ;p
5[4] : Tro doit pas commencer à douter de sa fidélité… -_-
6[4] : bonjour du soir en japonais. Orthographe approximative.
En fait c’est du phonétique, hein, venez pas m’embêter, j’ai eu suffisamment de
mal à trouver qqn qui baragouine trois mots de japonais…