Titre : Human cyborg, chapitre 6/22

Auteur : c’estpasmoij’airienfait !

………… chapitre six-euh, chapitre six-euh !!! iiiiiiiiiiiiiiiiiii !! ^^ ;; Gloups, pardooon…  -_- ;;;;

Série : la torture à la maison

Genre : lisez le titre. Pis la fin du chapitre précédent aussi tant que vous y êtes…

Warning !! : scène de violence envers pôv’ piti bishônen sans défense. Ames sensibles s’abstenir. Pour les cris, je me suis inspirée d’une description particulièrement beurk de Gilles Thomas dans L’Ange aux ailes de lumière.

Couples : 3x4x3, 2+1…

Disclaimer : Ils poursuivent la vérité, je les poursuis avec un filet à papillon, leur proprio me poursuit en justice. Qui attrapera l’autre le premier ?    Calliope : C'est Sacha avec une pokéball !!!!!!!!! MDR.   Ak : -__- ;;

Note: italique = pensées de persos.

 

 

Chapitre 6 : Douleurs

 

 

- HEEROOOOO !! 1[6]

Pas de haine ni de colère. Juste de la peur.

Duo se précipita vers le corps de son ami et tomba à genoux à ses côtés.

- Heero !! Heero, est-ce que ça va ?! Heero, répond-moi, qu’est-ce qui se passe ?!?!!!

Il voulut le prendre par les épaules pour le calmer mais à son contact, le japonais réagit comme s’il avait reçu une décharge électrique, poussant un hurlement strident qui lui vrilla les tympans. Duo recula un instant, surprit.

Pourquoi ? Mais pourquoi nom de Dieu ! Qu’est-ce qui c’était passé ? Le brun s’était tout à coup effondré, se tordant de douleur… et continuait d’ailleurs.

Héééé meeerdeeeeeuh !!

L’américain cherchait désespérément quoi faire. Il se résolut finalement à prendre son ami à bras le corps et à l’immobiliser jusqu’à ce qu’il se calme.

Si tant est qu’on puisse immobiliser un adolescent japono-machin-chose doublé d’un soldat d’élite et d’un taureau à main nues. Quelle force ! C’est effarant !

Duo était pourtant loin d’être une lopette…

Il résista quand même quelques secondes.

- Heero, je t’en prie, calme-toi, qu’est-ce qui se passe ?

Il lui saisit les poignets pour écarter ses avants-bras qu’il tenait devant son visage, comme s’il voulait se protéger d’un danger invisible.

- … Chhhh, chhhh, nan, douuucement, Heero du calme…

Crochet du gauche… ou un truc avoisinant.

- Aiiiilllee !! glapit l’américain tout en relâchant son prisonnier.

Il se recula de deux « pas » sur les fesses et sur les coudes. Devant lui, le japonais s’était roulé en boule, position fœtale, ses ongles laissant de longs sillons sanglants sur ses tempes, descendant vers ses pommettes. Mais le pire de ce spectacle morbide, c’était ses yeux vides, ses pupilles agrandies par la douleur et la peur, fixant un point imaginaire sur la moquette.

Et les gémissements.

Cris étouffés qui montaient de sa gorge en une plainte douloureuse qui emplissait la pièce.

Il tenta à nouveau de s’approcher en l’appelant doucement mais Heero se recroquevilla un peu plus et laissa échapper un gémissement qui s’enfla au point de devenir un hurlement de douleur. Duo recula à nouveau et à son plus grand soulagement, le japonais sembla se calmer un tout petit peu.

- Heero… commença-t-il d’une voix hésitante et un peu tremblante aussi…

L’interpellé sursauta mais garda un regard vague, comme s’il pensait à autre chose.

- … que… qu’est-ce qui t’arrive Hee-chan ? … S’il te plait, dis-moi… Qu’est-ce que je dois faire ?

Son coéquipier de toujours sembla se concentrer, il se crispa un peu plus, ferma les yeux et serra les dents.

- Va t’en, souffla-t-il.

Sa voix était chevrotante à cause de la douleur et de la tension musculaire mais Duo ne s’y trompa pas.

De la haine.

Il venait de lui dire ça comme s’il le haïssait au plus profond de lui-même.

- Quoi ? Tu ne vas pas bien et tu veux que je m’en ailles ? … Pas question. Réussit-il à articuler sans que sa voix tremble trop. Dis-moi, supplia-t-il, qu’est-ce qui te fait ça, c’est quoi le problème ?

- T… toi, gémit Heero en se tordant pour échapper à une douleur intangible, va t’en…

L’américain en tomba sur le cul. Heureusement, il était assis.

- QUOI ? … t… tu veux dire que… que… bégaya-t-il, cherchant à assimiler ce qu’il venait d’entendre, c’est… à cause de moi ? C’est ma… faute, si tu souffres ? C’est quoi ce bronx ??!

Il se sentait au bord de la crise d’hystérie.

 

         * * *

 

- QUATRE !!! 2[6]

Son iceberg de petit ami avait bondit de sa chaise quand l’empathe s’était levé en hurlant et s’était écroulé au sol dans la seconde. Il était à présent à son chevet, le berçant tendrement dans ses bras. Wufei l’avait rejoint un quart de seconde après et se penchait lui aussi sur le visage tordu de douleur du petit blond.

- Il est évanoui, dit-il en se relevant. Tu as entendu ? On aurait dit Yuy…

A ce moment, un faible gémissement le fit se retourner. Quatre revenait à lui.

- T… Trowa…

- Chhhh, tout va bien, ça va, c’est fini, chhh, lui murmura le pilote.

- Non ! Il ne faut pas !! s’écria soudain l’arabe en essayant de se relever.

C’était sans compter sur Trowa, lequel le maintenait fermement contre lui, lui interdisant toute tentative d’évasion.

- Quatre, ne bouge pas, reste calme.

- Mais…

- Chhhhhut. Calme toi.

- Winner, intervint Wufei, qu’est-ce qui s’est passé ?

- Je… c’est Heero. Il ne faut pas… il … il faut le laisser seul, il ne faut pas qu’il l’approche…, bégaya Quatre, en proie à une panique que ses amis ne comprenaient pas.

 

         * * *

 

Duo, toujours tétanisé par terre, contemplait Heero, les doigts toujours crispés sur les tempes, recroquevillé sur le côté, bougeant la tête d’avant en arrière dans un mouvement mécanique. Ses lèvres bougeaient mais aucun son n’en sortait, comme s’il se répétait quelque chose à lui-même, rabâchage qu’il tentait visiblement d’imprimer dans son cerveau…

L’américain leva la main vers lui, lentement, comme s’il pouvait l’atteindre.

- Heero… …… pourquoi ? souffla-t-il.

Sa voix était à peine audible mais apparemment, le japonais l’entendit parfaitement. Il se figea un instant, puis se remit à trembler. Ses lèvres formèrent des mots qu’il était incapable de prononcer sous peine de se remettre à hurler. « Parce que je… c’est ma faute… va t’en ».

- Parce que tu quoi ? murmura le natté sans espérer qu’il lui réponde.

Heero ne répondit pas mais la réponse se forma dans son esprit. Il le regretta aussitôt. Il savait qu’il n’avait pas le droit, il le savait… Mais c’était trop tard maintenant, il ne pouvait qu’attendre.

La punition.

Il la connaît.

Il la redoute…

De l’huile brûlante qui déferle le long de sa colonne vertébrale.

Elle entre en chacun de ses nerfs. Elle glisse, les incendiant sur son passage.

Tous ses nerfs

Tout son corps le torture de ce feu intérieur

Mal

Des larmes lui brouillent la vue

Elles lui rongent les prunelles comme de l’acide

Tout son corps est à vif

Il n’en peut plus

Mal

Trop mal

Il n’en peut plus, il veut que ça s’arrête

Il veut mourir.

Pour ne plus souffrir. Plus jamais…

……

Mal… douleur… Duo… brûlure fureur pourquoi pas le droit pas lui jamais dû arriver arme…

Photos douleur déchirure vilain garçon désobéit pas respecté les ordres enseignement  correction noir mal pitié non obéissance promis…

Pas recommencer jamais plus jamais tu vas comprendre pour ton bien faiblesse mort pas laisser atteindre jamais protéger enfermé…

Amis mal ennemis Duo cri peur faute erreur punition douleur… mauves futilité mal sanction… frères soigne aide sang faible douleur châtiment encore recommencer faim peur mal obscurité…

Duo…

Image réaction mal brûlure faute injection noir mal pénitence sentiments pas le droit mauvais arme faille faiblesse punition mal sombre dormir…

Perdu encore amis erreur sanction plus fort dois comprendre apprendre plus erreurs douleur lancinante plus importance oublier plus mal plus jamais…

Vie proches trop pas causant toi non silence mur pas envie sentiments inutile pas besoin de ça interdit amis mauvais pas possible ennemis mal tu dois comprendre mal encore plus recommencer…

Plus rien éprouver douleur haine

Hurlement.

Duo…

Douleur

Non !

Stop, arrêtez, pitié !

Duo, Duo, Duo, si tu savais…

Douleur.

Encore plus forte.

Encore plus déchirante.

Mal.

Marre de souffrir…

Duo…

Non.

……

………

Pilote 02.

3[6]

 

Duo regardait, impuissant. Il était paralysé par ces cris. Des cris de pure souffrance, atrocement tranchants, vrillant, effroyables. Le pilote 01 concentrait dans sa voix l’absolu de l’atrocité. Il n’avait jamais rien entendu de semblable.

Que pouvait-il faire, nom de Dieu, que pouvait-il faire ? Chaque fois qu’il avait tenté de s’approcher de son ami, ça avait été comme si sa douleur augmentait… Pourquoi ? Était-ce de sa faute ? A cause de lui ? Il ne comprenait plus.

Il n’arrivait même plus à bouger. Pourtant il aurait voulu. Il aurait voulu pouvoir plaquer ses mains sur ses oreilles pour couvrir la stridence des hurlements qui s’étiraient, s’éternisaient, de seconde en seconde plus perçants et plus intolérables…

Le corps du japonais s’arqua plusieurs fois violemment sur le sol, comme si un courant électrique le traversait, puis il retombait lourdement sur le sol, se roulait en boule et tremblait, pris de convulsions. Ses ongles labouraient sa peau sur ses bras, ses tempes, son visage… il saignait comme un supplicié.

Et Duo le regardait sans pouvoir rien faire.

Une rage sourde montait dans sa gorge. Une rage brûlante qui lui nouait les entrailles… Une rage qu’il déverserait sur celui responsable des souffrances de Heero.

Peu à peu, le pilote semblait se calmer. Il n’avait plus ces mouvements violents, ne tremblait presque plus si ce n’était les spasmes de ses muscles en réaction à un effort trop violent.

Mais son regard vide n’avait plus rien d’humain.

Un robot.

Sans sentiments, sans émotions, un androïde qui ne ressent pas la douleur.

Duo croisa ce regard… juste un instant, un bref moment… et il décampa du plus vite qu’il put.

 

A peine avait-il franchit se seuil de la porte qu’il manqua d’entrer en collision avec Quatre qui arrivait en sens inverse. Le petit blond avait les larmes aux yeux et semblait complètement paniqué. Il attrapa Duo par les épaules pour le stopper alors que celui-ci fonçait tête baissée sans regarder où il allait.

- Duo !!! Ça va ?! Où est Heero ?!

L’interpellé ne répondit pas, gardant obstinément les yeux rivés au sol.

A ce moment, Trowa et Wufei qui s’étaient lancés à la poursuite de l’arabe arrivèrent mais ils n’eurent pas le temps d’en placer une que leur évadé leur faisait déjà signe de se taire. Sa curiosité piquée par les étranges gémissements qui brisaient le silence, le chinois risqua un coup d’œil à l’intérieur de la chambre.

- Quatre, appela-t-il à mi-voix, tellement ahuri par le spectacle qu’il avait sous les yeux qu’il oublia la stricte règle de politesse qui voulait qu’il l’appelle par son patronyme.4[6]

- C’est bon, coupa le blond d’un ton autoritaire, laissez-nous.

Il ajouta un regard suppliant à l’intention de son amant pour que celui-ci ne le prenne pas mal et qu’il accepte de s’en aller sans plus insister.

- Duo…

Brusquement, l’américain se retourna et donna un grand coup de poing dans le mur au point d’y laisser la marque de ses doigts. Il sentait la colère monter en lui… le Shinigami s’agitait, il voulait sortir, tuer, déchiqueter, lacérer, rendre sa justice… Mais vers qui le tourner ? Toute cette haine bouillante en lui, il ne savait comment l’exorciser… et il écumait de rage impuissante. Shinigami lui bouffait les entrailles… Quoi de plus tentant que de le laisser s’échapper ?

Quatre sursauta mais ne dit rien. Il ne ressentait que trop l’état psychologique de son ami à cet instant. Fichue empathie ! Il y avait des fois où il commençait à en avoir franchement marre de ce don !

Il posa sa main sur son épaule, une pression rassurantes, puis le contourna pour jeter un coup d’œil à l’intérieur de la chambre. Heero était toujours par terre, recroquevillé sur lui-même mais ne bougeait plus. Endormi d’épuisement sans doute…

Quatre referma donc la porte et reporta son attention à son ami qui n’avait pas bougé lui non plus, décidant de traiter un problème à la fois.

- Duo, commença-t-il doucement, que s’est-il passé ?

Le jeune homme ne répondit pas et se mordit la lèvre inférieure. Il avait le front appuyé au mur et les mèches échappées de sa tresse faisaient comme un rideau autour de son visage. Tant mieux. Il voulait se couper du monde. Que personne ne le voit s’il se mettait à pleurer…

Il sentit deux mains sur ses épaules qui tentaient de le retourner. Non ! il ne voulait pas le voir, il ne voulait pas affronter le regard du petit empathe… Qu’allait-il penser de lui ? Ces mains douces et rassurantes étaient aussi fermes et bientôt, il fut dos au mur 5[6]. Il se laissa glisser au sol sans même l’avoir décidé. Apparemment ses jambes refusaient de le porter plus longtemps… surdose d’émotions.

Le blond s’accroupit devant lui et le força à relever la tête en lui soulevant doucement le menton. Toujours pas décidé à croiser son regard, Duo garda les yeux fermés. Il ne put qu’entendre le soupir de son ami avant qu’il sente que celui-ci s’était assis à côté de lui contre le mur.

- Tu veux bien m’en parler ?

- Pour dire quoi ?! s’énerva le natté sans préavis.

- Peut-être juste ce qu’il s’est passé après que vous soyez entrés dans la chambre, répondit calmement son ami d’une voix apaisante.

Duo soupira à en faire choir les tableaux des murs avant de répondre.

- J’étais en train de l’engueuler sec quand môsieur s’est tout d’un coup écroulé par terre en hurlant comme un porc qu’on égorge !

Quatre grimaça en sentant l’amertume et la culpabilité qui se cachaient derrière ces paroles crues.

- … et voilà qu’il me sort que s’est de ma faute en plus ! continua le jeune homme sur sa lancée, à un débit infernal, comme s’il voulait exorciser un démon quelconque. Non mais j’te jure, n’importe quoi ! Tout ce que j’ai fait c’est lui coller une claque et encore, même pas forte !… Heu, bon, OK, peut-être un peu beaucoup forte… Mais quand même ! Il a survécu à pire non ? C’est quand même pas un baffe de rien due tout qui aurait raison de mister Heero-indestructible-spandex-de-gundamium-je-survis-à-l’explosion-de-mon-gundam-même-que-j’ai-envie-de-recommencer-Yuy !!!!! Ne ?

- Je ne sais pas Duo, soupira Quatre.

L’américain renversa sa tête en arrière et l’appuya sur le mur, genre : il est bô le plafond… sauf qu’il avait les yeux fermés. Comprenant que son cerveau tournait à vide et qu’il comptait probablement sur lui pour lui fournir une piste d’exploitation, le blond se lança :

- Je crois que c’est ta présence…

- What’s that ?!?!

- Le fait qu’il souffre –oui, j’ai ressenti de la douleur émanant de lui- je pense que c’est le fait que tu sois près de lui.

- Pourquoi tu dis ça ? J’exhale quand même pas une substance toxique pour lui quand même ? Au hasard… des phéromones ? essaya de plaisanter Duo sans toutefois arriver à convaincre son maigre auditoire. 

Quatre secoua le tête avant de reprendre :

- Je n’y comprend rien non pus… déjà que j’ai des fois du mal à analyser ce que je ressens… je regrette de ne pas pouvoir être plus précis.

- Bah, pas ta faute… par contre c’est la mienne d’après lui… et tu sembles d’accord sur cette version de choses… Non ! Laisse-moi finir ! l’interrompit-il alors qu’il allait protester. Si c’est le fait que je l’approche qui lui fait tant de mal que ça, je n’ai fait qu’empirer les choses en essayant de le calmer… je te jures moi alors…

- Tu ne pouvais pas savoir, dit doucement l’arabe après un moment.

Duo hocha la tête mais garda le silence…

- Mais qu’est-ce que je vais faire ?! s’écria-t-il soudain. Quatre ! Qu’est-ce que je vais faire ?! J’en ai marre ! Je peux pas rester là à rien faire alors que Heero est en train de se rouler de douleur par terre !! ……… Je suis inutile…  acheva-t-il dans un souffle.

Quatre passa ses bras autour de ses épaules et l’appuya contre lui en lui murmurant des paroles réconfortantes.

Duo se laissa faire. Il ne pleurait pas, non, mais il avait besoin d’un peu de chaleur humaine. Le petit blond posa son menton sur le crâne de son ami et le berça lentement.

Son regard croisa celui de Trowa qui les observait de loin, au coin du couloir. Il lui envoya un regard triste pour lui faire comprendre que Duo n’allait pas bien, secoua imperceptiblement la tête pour lui signifier qu’il n’avait besoin de rien et ferma les yeux, enfouissant une partie de son visage dans la chevelure du natté. Ils restèrent là un moment.

Trowa partit discrètement retrouver Wufei qui l’attendait au salon. Il n’était pas jaloux. D’autres l’auraient été dans de telles circonstances mais pas lui. Quatre le savait également. Il avait parfaitement compris que son Uchuu « obligeait » en quelque sorte son amant à s’occuper des autres et ne lui reprochait pas le geste tendre qu’il avait eu envers son meilleur ami.

Ne restait plus qu’à attendre et voir.

Et parler à Heero. Après tout, il était le mieux placé pour expliquer les causes de son malaise, non ?

 

A suivre…

 


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Ak : Vais pit’êt les laisser souffler un peu là, non ?

Calliope : Ahem ………… S’PECE DE SADIQUE !!!!!

Ak : Sadique ? Meuh nan !! Pas autant que toi en tout cas... et je suis pas la seule à te le dire !

Duo : Ouais ! Je suis en attente de ma mort là… je le vois venir gros comme le World Trade Center !

Calliope : Lequel ? Celui qui est dans la chanson de la FF ou celui de NYC ? Parce que si c’est le second, faut te tenir au courant des actualités mon grand ! D’ailleurs c’est leur 1er anniv de kaputtage aujourd’hui !

Ak : on peut arrêter de parler de choses morbides, là SVP ! -_-°

Quatre : Akasha…

Ak : Viiiiiiii ? T’as pas intérêt à te plaindre pour mauvais traitement toi !

Quatre : Nan… je crois que Tro est jaloux…

Ak *regarde un Trotro presque en train d’étouffer Kat en le serrant contre lui* : NAN !!! J’ai dit que t’es pas jaloux !!! Pis d’abord c’est que de l’AMITIE entre Qua-chan et Duo, ‘spèce d’esprit mal tourné !!

Calliope : ça, c’est à force de squatter chez toi… C’est vrai ça, regarde ce que je suis devenue après 2 ans de cottoyage ! Et ça empire tous les jours !

Ak *lui tire une langue de 15 km* : même pô vrai d’abord ! Pis d’abord cékiki m’a poussée dans les mangas, hein ?

* les mouches sont au format King Size aujourd’hui…………*

Heero : Y en a pas une pour rattraper l’autre !

Ak&Calliope : ^_________________________________________________________^

 

 

Fini le 11 Novembre 2002 (oui, je commence à dater mes fics, y a du progrès)

Rewiew please é_è

 

 

 



1 [6]  : nan c’est PAS Relena!

2 [6]  : et ça c’est Pas Dorothy !

3 [6]  : fin du piti passage zarb, la traduction de ce qui s’est passé vu de l’extérieur est là ->

4 [6]  : comme dans card captor Sakura… vi, bon, on a les références qu’on peut…

5 [6]  : sans jeu de mots