Titre : Human cyborg, chapitre 7/22
Auteur : personne… si si, je vous jure,
ça s’écrit tout seul…
Série : GW
Genre : torture (naaaan, sans déc’ !),
triturage de pôv pitites neurones, révélations…
Couples : 3+4+3, 2+1…
Disclaimer : J’ai piqué sa pokéball à Sacha
et je continue de leur courir après. Leur propriétaire, on l’a perdu dans la
forêt, il court pas assez vite…
Note : J’aiiiiiiiime paaaaaaasss ce
chaaaaaaaaaaapiiiiiitre !!!!!! TTT________TTT L’est nuuuuuuulll !!!
En plus mon prof de philo y vient de me dire que j’écrivais maaaaaaall
TTTTTTTT____________________TTTTTTTT OUIIIIIIIIIIIIIIINNNNNNN !!!!!!
- Alors ?
Ô miracle !
Chang Wufei je-ne-me-préoccpe-de-rien-à-part-de-mon-combat venait de rompre le
silence pour demander –à demi mot, mais bon, on fait ce qu’on peut- des
nouvelles des autres au silencieux de service. Ça faisait quelques minutes que
Trowa était revenu au salon après être parti vérifier que tout se passait bien
du côté de son amant et le silence qui avait suivi avait été impressionnant de
tension. Un peu plus et le décor allait se déchirer pour laisser place aux
caméramans, techniciens, metteur en scène et autres assistants estomaqués
devant leurs écrans de contrôle… Note à l’usage des lecteurs, l’abus de télévision
et de shows américains débiles nuit gravement à la santé.
- Hn, fit
pensivement le français en s’asseyant aux côtés de son homologue sur le canapé.
Pour UNE fois que
l’un des deux faisait des efforts de communication, croyez-vous que l’autre en ferait
aussi ? Ben nan ! De toutes manières, il était bien trop préoccupé
par la santé du petit blond, accessoirement de son meilleur ami et d’un
turbulent jeune homme natté, pour faire des efforts pour se montrer plus
sociable…
Wufei n’était pas de
cet avis et avait envie de savoir. Il s’inquiétait, même s’il refusait
catégoriquement de se l’avouer.
- Tu comptes me dire
ce qui se passe ou tu vas m’obliger à y aller par moi-même ?!
Trowa sursauta. Il
était complètement ailleurs, perdu très loin de la réalité, quand le ton sec du
chinois le fit redescendre, assez brutalement, de son petit nuage 1[7].
- Duo ne va pas
bien. Quatre s’en occupe, dit-il d’un ton neutre.
Si Wufei avait pu le
voir, il se serait aperçut à quel point son seul oeil vert visible démentait
ses paroles détachées.
- C’est tout ?
s’étonna-t-il devant le peu d’informations que portaient ces phrases.
- Je ne sais rien
d’autre, répondit son camarade en haussant les épaules.
* * *
Dans le couloir,
toujours assis par terre, Duo reprenait doucement la maîtrise de son corps et
de ses esprits dans les bras de son ami.
- Ça va mieux ?
- Hmm hmm… acquiesça
Duo.
- Sûr ? demanda
Quatre, même si son Uchuu le renseignait par ailleurs.
- Oui, oui… fit
l’américain en lui dédiant un sourire.
Un peu fade quand
même, ce sourire…
Rassuré, le blond se
leva, rompant le contact rassurant avec Duo, lequel frissonna un peu mais ne
dit rien et se releva à son tour, époussetant son jean.
Quatre entrouvrit la
porte de la chambre pour voir comment Heero allait. Il avait coupé la
« connexion » empathique entre lui et son ami, ne supportant plus sa
souffrance. Il n’avait d’ailleurs pas l’intention de rétablir le contact avant
de s’assurer qu’il s’était calmé. Il se demandait comment le japonais pouvait
supporter une telle intensité dans la douleur…
Le jeune homme
dormait, roulé en boule sur la moquette. Il était sûrement tombé d’épuisement…
Du moment qu’il se reposait à présent…
Quatre ouvrit son
empathie. Il ne capta qu’un sommeil sans rêves, de petits résidus de douleur,
mais rien de plus. Le soldat parfait méritait son repos, il n’allait pas courir
le risque de le réveiller pour l’installer sur son lit.
Il referma doucement
le battant de la porte et chuchota à l’intention de Duo :
- Il dort. Les
autres attendent sûrement une explication de notre part. Si tu veux, je m’en
charge, tu peux aller te reposer dans ta chambre, tu en as besoin…
- Non, c’est bon,
merci Quatre, je viens. Après tout, c’est devant moi qu’il a fait sa crise.
Il avait failli dire
« à cause de moi » mais il ne voulait pas subir les remontrances d’un
Quatre cherchant à le déculpabiliser…
- Très bien, comme
tu veux, répondit l’arabe, pas dupe cependant sur les sentiments de son ami à
cet instant.
Puis il partit en
direction du salon. Duo inspira un grand coup pour se détendre… et les muscles
entres ses côtes se coincèrent, l’emplissant de douleur au moindre mouvement de
sa cage thoracique. Ça commençait bien… Il retint donc son souffle, attendant
que ses muscles veuillent bien se décontracter pour lui permettre de bouger à
nouveau et de respirer, aussi, accessoirement… Ça, c’était sa punition pour
être resté immobile dans une position pas adéquate pour ses pauvres petits
muscles intercostaux.2[7] Mais il n’aurait pas bougé même en
sachant ce qui l’attendait. Au bout d’un moment, la douleur s’estompa et il put
prendre une nouvelle bouffée d’air bienvenue, avant d’aller rejoindre les
autres pilotes.
Duo entra l’air
morose, à la limite de traîner des pieds. Chang, toujours dans la subtilité,
lança la première offensive.
- Que s’est-il passé
Maxwell ?
… Le genre de
questions auxquelles on adooore répondre…
Duo poussa un soupir
à faire s’effondrer toutes les « villes debout » de Tokyo à New York
avant de s’asseoir… de s’affaler sur le canapé.
- Si j’savais
Wuwu !!
- M’appelle pas
comme ça, grinça-t-il entre ses dents.
- Mais oui
Feifei ! répliqua l’américain avec une joie tellement feinte que même un
sourd-muet ne s’y serait pas trompé.
Quatre se dégagea à
regret de l’étreinte de son amant pour venir s’asseoir à ses côtés, lui
apportant un bien maigre soutien, mais un soutien quand même.
- Sérieusement Duo,
fit une voix que peu de gens avaient déjà entendue : celle de Trowa.
- Gne ?
- J’ai dit
sérieusement, le réprimanda le pilote 03.
- Hein ? Ah,
non, c’est pas pour ça mais… Waaaaahh !!! Tu sais parler !!
- Duoooooo,
intervint Quatre en prenant la défense de son amant.
Déjà qu’il répugnait
parler en public, si en plus Duo le charriait, il allait se renfermer illico
dans sa carapace.
- Bon, d’accord, je
suis peut-être pas le mieux placé pour parler de ça… fit le natté avec un coup
de coude à son ami. Et ça n’y manqua pas, il piqua un fard monstre.
- Tu comptes faire
le mariole encore longtemps pour éviter d’avoir à répondre à nos
questions ? le coupa le chinois.
Raaahh !! Le
TACT Wufei !! désespéra Quatre.
- Ben heu… si je
risque pas de finir embroché sur ton sabre…
Wufei secoua la tête
d’un air désespéré. Décidément, ce baka était impossible… c’était de plus en
plus tentant de le bâillonner avec sa natte.
- Suffit !
Tiens donc, Trowa
est train de devenir bavard. Pensa Duo, Il
aurait pu choisir une autre moment ! Bon, ben puisqu’il y a plus que ça à
faire, allons-y gaiement !
- Si je savais
réellement ce qui s’est passé, je me ferais une joie de vous le dire, mais j’en
sais rien donc, j’ai rien à dire donc, tchaolesgarsj’aiunoeufsurlefeu !!
- Hep, minute Duo,
fit Trowa en le rattrapant par le col alors qu’il tentait de s’enfuir vers la
cuisine.
- Argh !
Quatre, retient ton homme s’teupl !!
Sur un petit signe
du petit blond, le français déposa Duo sur ce canapé à la place même où il
était l’instant précédent. Aussitôt, celui-ci croisa ses bras sur sa poitrine
et prit son air d’enfant boudeur tellement kawai. Mais devant cette bouille
renfrognée, aucun ne craqua, trop habitués à ce genre de démonstration de ses
talents d’acteur.
-Maxwell, gronda
Wufei, menaçant.
- Wuffyyyyyyy,
répondit celui-ci, la bouche en cœur en partant dans les aigus.
Quelques insultes
diverses et variées ainsi qu’une prière à Allah plus tard, Duo finit par se
mettre à table… ou presque.
- Mééééheuh !!!
Z’avez qu’à demander à Quatre d’abord ! Il est mieux placé que moi pour
savoir pourquoi Môssieur l’iceberg nous a fait un crise de douleurerie
aiguë !!
Le petit blond
s’empressa d’expliquer en long en large et en travers que tout ce qu’il savait
était du à son empathie donc rien de très précis, tout cela pour éviter qu’ils
ne se fassent de fausses idées, et surtout une certaine personne… Mais Trowa ne
doutait pas un seul instant de la fidélité de son amant. Il se demandait
seulement ce qui avait pu changer à ce point celui qu’il considérait comme son
frère. Alors que la conversation tournait principalement sur ce qu’il s’était
passé, avec les détails s’il vous plaît, Wufei n’étant décidément pas doué en
diplomatie, Le français interrompit brusquement ses camarades.
- Depuis
quand ?
- Mais comment tu
veux que… Hein ? Comment ça ? Depuis quand quoi ? embraya Duo,
possédant l’aide-au-changement-de-sujet-d’urgence.
- Il est comme ça
depuis qu’il est rentré, se répondit lui-même Trowa en mode réflexion
intensive.
- Hu ?
- Il a raison,
approuva Wufei, cessant brusquement de s’énerver après l’américain. Yuy est
différent depuis qu’il est revenu de chez les professeurs. Vous croyez qu’il y
a un rapport ?
-
Késsssss t’es en train d’insinuer là, Wuwu ?
-
NE_M’APPELLE_PAS_COMME_ÇA !!!!!
- Non…… les
interrompit la voix songeuse de Quatre.
Ils se retournèrent
vers lui, le trouvant le regard vague, comme perdu dans ses réflexions.
- Youhou Qua-chan !!
« Non » quoi ?
- ………
Hein ? fit celui-ci en relevant la tête, émergeant de son rêve éveillé.
Ah, heu… non, ça date d’avant… Ça fait bien plus longtemps qu’il a changé……
- Explique-toi,
l’encouragea doucement son petit ami en posant une main sur les siennes qu’il
n’arrêtait pas de tordre dans tous les sens.
Il soupira avant de
reprendre :
- Je trouve… non, je
« ressens » que Heero avait commencé à changer le jour où… où il a
ramené Duo à l’hôpital.
- Ah. Fit simplement
le principal intéressé d’un ton neutre, masquant admirablement son envie
dévorante d’en savoir plus, soucieux de ne pas devoir étaler au grand jour ce
qu’il ressentait envers son coéquipier.
- Et puis… hésita le
blond d’un air gêné, c’est vrai que quelque chose cloche depuis qu’il est rentré
mais je n’arrive pas à savoir quoi. Tout ce que je peux dire c’est qu’il semble
pris de violentes crises assez douloureuses quand il est en colère ou énervé ou
qu’on le cherche trop ou, ou… je sais pas moi, j’ai pas la science
infuse !! s’exclama Quatre, visiblement à bout de nerf, tiraillé entre son
empathie, la douleur de ses amis , l’inquiétude de son amant et son impuissance
à aider Heero.
- Chhhh, calme-toi,
murmura Trowa à son oreille en glissant ses bras protecteurs autour de ses
épaules.
Sans se faire prier,
l’arabe se bouina contre lui, cherchant un peu de réconfort.
- Il m’a dit que
c’était ma faute, lâcha Duo dans le lourd silence qui s’était installé.
- Duo…
- Non Quatre, ne
cherche pas à me mentir, je sais que tu le penses aussi, coupa le natté sans
pour autant oser croiser le regard d’aucun de ses amis, se cachant derrière ses
mèches. Apparemment, continua-t-il sur sa lancée, de peur de s’arrêter et de ne
plus pouvoir repartir, je suis la source de ces charmantes petites crises. Ma présence
est devenue nocive ces derniers temps, voyez-vous, fit-il en balayant l’air de
ses mains en un geste théâtral, sans prendre la peine de masquer toute
l’amertume contenue dans ses propos.
- Ne dis pas de
bêtises Maxwell, grogna Wufei.
Le jeune homme ne
faisait ainsi qu’une vaine tentative pour réfuter ce qu’il ne pouvait pas
admettre comme véridique, même s’il sentait au fond de lui que l’heure n’était
pas à la plaisanterie et que jamais Shinigami n’avait été aussi sérieux. Lequel
Shinigami le regardait avec un masque de dénégation douloureuse sur le visage.
- Il dit la vérité,
confirma Quatre, mortifié.
Tous le regardaient
avec un air plus ou moins ahuri. Jamais ils ne l’avaient entendu avec autant de
regrets dans la voix.
- Pour le moment,
soupira-t-il en baissant les yeux devant ces regards inquisiteurs, il serait
plus sage de laisser Heero en paix, le temps qu’il se remette, et que toi, Duo,
tu évites de le provoquer un maximum.
L’américain hocha de
la tête. Il sentait que sa voix se serait mise à trembler s’il avait marqué son
accord à voix haute…
* * * *
Dans le couloir
sombre, une main agrippa la veste de Quatre alors que celui-ci regagnait sa
chambre.
- Duo ?
- Promets-moi.
- Quoi ?
- Promets-moi,
insista l’américain.
- Mais…… Oui, jura
Quatre lorsqu’il eut compris où son ami voulait en venir. Quoi ?
- Promets-moi de lui
demander. Promets-moi de savoir ce qu’il a. Promets-moi de me le dire dès que
tu le sauras, quoi que ce soit, énuméra Duo alors que les larmes lui montaient
aux yeux.
- Promis, souffla le
petit blond.
Le jeune homme
relâcha sa prise sur la veste de son ami et entra dans sa chambre, le
gratifiant avant d’un regard de reconnaissance.
- Merci,
murmura-t-il avant de fermer la porte.
A suivre…
* * *
Ak *regard circonspect* : Bon, heuuu,
toutes mes excuses, ce chapitre est vraiment une m****. L’était pas censé
s’arrêter comme ça mais j’en ai eu marre alors voilà. Et puis y me fait ch***
ce %§$& !! de prof de philo ! Me dire que j’écris mal au premier
contrôle, la vache ! Il peut aller se les mettre où je pense ses
conceptions philosophiques à la c** !! Surtout que Shyni a sa théorie très
particulière quand à ses préférences sexuelles (Je veux pas savoir -_-°) et
qu’elle est pas sûre que ça le gênerait tant que ça de lire ce genre de petits
textes pour lui prouver que je sais m’exprimer !! Hein ? Hein ?
Chui quand même pas un cas désespéré ? Si ? oé_èo ………
OUIIIIIIIINNN T_T !!! Y m’a cassé le moral c’t’abruti !!! Comme vous
avez pu le remarquer, dans ma basse vengeance, j’ai zappé nos amis les cleb…
les G-boys ainsi que Calliope qui va ma démonter la tête pour ça… Pas grave, si
j’ai survécu à 18 octobre, je peux survivre à tout…
Fin Septembre 2002