Titre : Human cyborg, 19/22

Auteur : Akasha

Série : Gundam nouvelle génération.

Genre : torture et démontage de legos. Pis heu… c’est tout je crois…

Couples : 3+4+3, 5+0+5, 2+1, 1—2 parce que 1+2… Rien de nouveau quoi. Sauf qu’après coup, je vois un très léger J+Dekim BartonoO ?

Disclaimer : Nous avons fait halte dans une grotte le temps que la tempête de neige qui s’abat sur tout le pays se calme. Avec un peu de bol, on peu espérer que leur proprio périra sous des couches de neige et que je pourrais récupérer ces maaaagnifiques G-boys pour mon plaisir personnel. En attendant, leur proprio, lui, est dehors par –40°C, alors que ma grotte est super équipée et qu’il y fait 25°C en permanence avec piscine chauffée souterraine, mini-bar et piste de danse, na !

Note : Je viens de lire un monument de la littérature SM qui me sera fort utile par la suite, je le crains… Tremblez braves gens…

 

Chapitre 19 : Echec et mat

 

Une faible lueur traversait les vitres crasseuses de cette petite bicoque de plein pied, donnant directement dans l’étroite impasse insalubre de ces quartiers pauvres. Un chien hurla au loin et un fracas de poubelles renversées se fit entendre à l’autre bout de la rue. Perdu dans ses pensées, Duo sursauta d’au moins vingt centimètres, son cœur en profitant pour faire un bond démesuré dans sa poitrine avant de repartir dans une danse effrénée.

De la lumière…

Ça voulait dire qu’il l’avait enfin retrouvé ?

Que tout allait redevenir comme avant ?

Duo n’osait trop y croire, de peur que la déception soit plus amère encore s’il s’était trompé…

Il s’approcha doucement d’une fenêtre en rasant le mur et glissa un regard à l’intérieur. Tout d’abord, il ne vit rien que du flou tant les vitres étaient couvertes de poussière, puis, quand elle se mit en mouvement, il put distinguer une forme vaguement humanoïde.

Il se rabattit brusquement contre la paroi de vieilles briques, son cœur battant la chamade.

J était là… Pourvu qu’il ne l’ait pas vu…

Duo risqua un second coup d’œil à l’intérieur et vit disparaître l’ombre du professeur par une porte au fond de la pièce, juste avant qu’il n’éteigne la lumière. Ne restait donc plus comme source de lumière que l’encadrement de la porte.

L’américain attendit encore quelques minutes puis se dirigea vers la porte d’entrée et s’agenouilla devant, examinant la serrure avec attention. Une serrure banale, rien de bien compliqué à forcer… Où était le piège ?

Après une étude attentive, Duo en conclut qu’il n’y avait pas de piège, probable que le professeur ne s’attendait pas à être retrouvé, l’américain ayant bien su effacer toute trace de son passage… De plus, il était couvert par G et les autres professeurs d’après ce que lui avait dit Quatre, et tous s’accordaient pour localiser le pilote en mission dans la base de Corse.

Lentement, réfléchissant à la manière dont il allait s’y prendre, Duo extirpa du double fond d’une des poches de sa chemise de quoi forcer la serrure. Il s’agenouilla ensuite face à la porte et introduisit la fine lame de métal dans la serrure. Quelques secondes plus tard, dans un imperceptible « clic », la porte céda.

Duo se redressa alors lentement, sortit son couteau, et s’apprêta à entrer. La pièce était plongée dans la pénombre, mais il distingua qu’elle était encombrée de tout un bazar qu’il ne put identifier, ce qui n’allait pas faciliter sa progression. S’il heurtait le moindre truc, il était foutu. Avançant prudemment, se fondant dans l’ombre, il parvint à se glisser entre les divers objets qui jonchaient le sol et à rejoindre la porte d’où provenait une faible lumière. Il s’adossa au mur un instant, pris une grande inspiration et risqua un œil à l’intérieur.

J était là, lui tournant le dos.

Il n’avait jamais vu le professeur en entier, pour la simple et bonne raison qu’il ne communiquait avec eux que par visiophone, mais il en conclut immédiatement qu’il aurait pu se passer d’une telle rencontre. Il ne semblait plus y avoir grand chose d’humain dans le corps du vieillard…

Reprenant ses esprits, il repoussa au fond de lui le sentiment de répulsion qui grandissait en lui à la vue du professeur, le remplaçant par toute sa haine pour lui, la haine qu’il allait déchaîner su lui pour lui faire payer, lui faire payer pour Heero, lui faire payer pour Reï… Sa fureur montait inexorablement en lui, et bientôt, il sentit toute la puissance et la rage de Shinigami courrant dans ses veines, battant douloureusement à ses tempes…

Sans un bruit, une faction de seconde plus tard, une lame se pressait sur la gorge du professeur, et Duo se surprit à prier pour qu’elle ne soit pas robotique. Un silence tendu s’installa entre eux, que seule la respiration sifflante de J vint troubler.

- 02, fit soudain la voix grinçante de J.

- Vieille raclure, répondit Duo d’une voix basse, si différente de son timbre joyeux.

Il fit alors tourner J pour lui faire face, la pointe de son couteau toujours sur sa gorge, puis lui adressa un sourire cruel, lui signifiant qu’il avait bien l’intention de lui faire payer toutes les atrocités qu’il avait commises.

Le fixant droit dans les yeux au travers de ses lunettes, J s’adressa à lui d’une voix éraillée emprunte cependant d’un certain mépris.

- Tu n’es pas en Méditerranée à ce que je vois… Mes chers collègues ont jugé bon de me trahir à ce qu’il me semble… Bande de vieux fous, ils n’ont jamais compris toute la beauté de ce que je fais…

- S’il y a bien une personne ici qui mérite d’être traité de vieux fou, c’est toi, siffla Duo entre ses dents.

J se contenta de ricaner, sans paraître se soucier le moins du monde d’être en face d’un Shinigami très très en colère… Mais Duo ne tint pas compte de ses moqueries. Il se saisit qu’une chaîne qui traînait sur ce qui lui semblait être une table d’expériences et attacha solidement le professeur à un des pieds de la table sus-nommée. Lui jetant un regard méprisant, il s’empara du visiophone et appela directement Quatre.

- Duo !! C’est toi ! Mais.. où es-tu ? demanda le petit blond.

- Je l’ai retrouvé, fit Duo, l’air sombre, avant d’orienter le visiophone de manière à ce que Quatre vit le professeur J ligoté à sa table.

- Duo…

- Dis aux autres de se préparer, je t’envoie mes coordonnées, le coupa l’américain. Il est grand temps que le vieux répare tout ce qu’il a fait.

- Pas question ! s’écria le savant de toute la force de sa voix enrouée.

- C’est ce qu’on verra, gronda Duo avec un regard mauvais au professeur.

- Duo, ne fais surtout pas de bêtises, lui recommanda Quatre, soudain inquiet. Il ne nous sera d’aucune utilité s’il n’est plus capable d’opérer…

- Ne t’inquiètes pas Quat’ ! Lança Duo, son grand sourire de gamin farceur plaqué sur le visage.

Mais Quatre ne s’y trompa pas. Ses yeux avaient gardé la froideur implacable de l’assassin.

- Je te fais confiance, finit-il quand même par dire avant de raccrocher, s’assurant qu’il avait bien reçu les coordonnées de Duo.

L’américain fit une pause après que l’écran soit redevenu noir, puis il se retourna vers le professeur, l’air plus menaçant que jamais.

- Bien, alors comme ça tu vas refuser de coopérer ? Tant pis… A nous deux, demi-boite de conserve rouillée…

 

* * *

Quatre raccrocha le visiophone, plus inquiet que jamais. Les choses sérieuses allaient commencer pour de bon, et cette fois, ils ne pouvaient plus reculer. Il entra dans le salon d’un pas décidé, son instinct de meneur reprenant le dessus.

- Très bien, annonça-t-il devant les autres qui le dévisageaient. Nous allons nous rendre à ces coordonnées, dit-il en tendant le papier à Trowa, c’est là que le professeur J a été localisé. Il faudra être le plus discrets possibles pendant le transferts, c’est pourquoi nous ne prendront pas nos gundams. Je vais m’arranger pour louer une navette privée à l’aéroport le plus proche.

Il ne sembla pas remarquer que Rei s’était brusquement redressé sur son siège, ni que Wufei lui jetait des regards inquiets.

- Nous y allons tous, reprit-il avant que Heero n’ait pu parler pour exprimer son désaccord. Heero, il est important que tu nous accompagnes, tu es celui de nous tous qui, avec Rei, connaît le mieux le professeur J, il est très probable qu’il refuse de nous accorder sa confiance et d’opérer les modifications que Rei demande.

Il avait menti. Il détestait mentir. Mais ils n’avaient pas le choix. Dire à Heero de venir avec eux pour que J refasse de lui un être humain capable d’éprouver des sentiments sans se tordre de douleurs n’aurais sans doute pas servi à grand chose, si ce n’est le tuer dans une crise magistrale.

- Bien, maintenant, que tout le monde se prépare, départ dans une demi heure.

Sur ce, Quatre tourna les talons et entra dans la cuisine, priant pour que les autres aient la bonne idée de se disperser pour le moment en revenant le voir *après* pour les détails…

Effectivement, quelques minutes plus tard, Rei entra dans la cuisine, l’air embarrassé.

- Heu.. Quatre… Pour l’aéroport, je…

- Ne t’en fait pas, le rassura le blond, j’y ai pensé.

Rei paru grandement soulagé, son léger problème avec les détecteurs de métaux était pour lui un sujet honteux qu’il n’aimait pas aborder.

- Tu vas partir avec Wufei, vous prendrez son gungam. Je compte sur lui pour être discret un maximum, je n’aimerais pas voir débarquer les troupes de OZ en pleine opération.

- Très bien, je vais lui dire, fit Rei en s’apprêtant à retourner auprès du chinois.

Au moment de refermer la porte derrière lui, il se retourna ver le blond, resté seul au milieu de la cuisine.

- Quatre… Merci.

- De rien.

Dans un dernier sourire, Rei ferma la porte et fila se préparer. Quelques secondes plus tard, ce fut Trowa qui fit son entrée.

- C’est au Japon, dit-il en désignant les coordonnées que Quatre lui avait donné.

- Je sais…

- Ça va être un long trajet, et rien ne nous garanti que J va *correctement* opérer Heero.

- Je sais aussi, soupira l’arabe. Il faut prévenir Sally et les autres professeurs, il faut qu’ils assistent à l’opération au cas où… au cas où J déciderait de supprimer son œuvre plutôt que de défaire tout ce qu’il a fait sur lui. Il faut être ou pour faire subir ça à un être humain, mais si J l’a fait, s’il a fiat ce qui est quasiment du domaine de d’impossible, il doit être très fier de son travail, et ne va certainement pas accepter aussi facilement de refaire d’Heero un humain, à condition, bien sûr que… que ce soit possible… ajouta-t-il dans un murmure.

- Mh, approuva Trowa. Je me charge de prévenir Sally et les autres professeurs, toi, va te préparer et te reposer un peu, mon sac est déjà prêt.

- Merci… J’espère qu’ils pourront venir assez rapidement. Et surtout qu’ils seront capable de voir si jamais J décide de…

Mais il se tut, incapable de finir sa phrase. Mais les mots n’étaient pas nécessaire, Trowa avait parfaitement compris.

- Est-ce que Duo ne risque pas de… demanda-t-il, presque timidement, rechignant à douter d’un de leurs amis.

- Il sera raisonnable, du moins je l’espère, tenta de relativiser Quatre. Il sait que J est notre… et la dernière chance de Heero.

- Très bien. Je vais me préparer.

La porte se referma doucement dans son dos et Quatre resta là quelques instants, avant de se décider à aller lui aussi se préparer.

 

* * *

- Alors, tu veux toujours pas ?

Duo tournait autour de J, la tête pendant misérablement sur son épaule, toujours attaché à la table. Un son à mi-chemin entre le grognement et le gémissement s’échappa de sa gorge.

- Pardon ? demanda Duo, d’un ton impertinent, J’ai pas bien compris tout ce que t’as dit  là…

- Ja… Jamais ! parvint à articuler J.

Aussitôt, le poing de Duo entra en contact avec la mâchoire du professeur, d’une manière que l’on pourrait qualifier de… brutale. Une gifle puissante, puis une autre, et encore une autre… Les joues ridées du professeur avaient pris une teinte carmin et devaient certainement le brûler. Cependant il refusa encore. Duo avança un pied vers une de ses jambes et tâta la tibia du bout de la chaussure, testant le terrain. Ce dernier lui parut un peu dur, aussi il déchira le pantalon de J pour mettre à jour une jambe de métal qu’il n’aurait certainement pas pu blesser en tapant dessus. Souriant d’un sourire sadique, il tourna autour de J, cherchant quelles pouvaient bien être les parties organiques chez lui. Il saisit durement le bras du même côté que la jambe bionique, et lacéra la manche, dénudant de la peau. Mais même le latex le mieux imité ne peut restituer toute la texture de la peau humaine. Lentement, Duo planta le bout de sa lame dans cette apparente peau, mais le sang ne coula pas. Tranchant vers le ciel, il ouvrit une large ouverture dans le bras, dévoilant des os bioniques. L’américain se releva et gourmanda sévèrement le professeur pour lui avoir caché ce « détail », avant de lui demander s’il avait d’autres choses à lui cacher. Comme J ne répondit pas, Duo lui assena une claque retentissante qui envoya sa tête sur le côté, l’assommant à moitié.

Mécontent de ne rien tirer de bon du professeur, Duo se jucha sur un appareil en face de lui et le fixa durement, ses jambes se balançant négligemment dans le vide.

- Pourquoi ne veux-tu pas libérer Heero ? demanda-t-il soudain.

La question resta longtemps suspendue dans le silence seulement entrecoupé par la respiration rauque de J.

- Parce que… Heero est parfait… il est exactement tel que Dekim le voulait… il est… parfait… personne ne peut le battre, personne ne lui arrive à la cheville. Il est une œuvre parfaite et unique. Un chef-d’œuvre. ET PERSONNE NE DOIT LE DETRUIRE !!! s’empota soudain le vieillard dans un sursaut d’énergie. Et surtout pas toi, vile petite racaille insignifiante, rajouta-t-il dans un grondement, tu n’as pas le droit de détruire MON chef-d’œuvre. Il est l’aboutissement d’années de recherches.

Duo resta figé après cette tirade. Comment pouvait-on considérer un être humain comme un simple objet ? Comme une simple expérience ? L’américain se senti gagné par une nausée qui l’obligea à se retourner pour ôter de devant ses yeux cette créature immonde et répugnante qu’était J. Sa colère semblait vouloir exploser au dedans de lui. Elle envahissait ses veines, s’infiltrait dans tout son corps somme un poison violent, son cœur se mit à battre la chamade, il se sentait dans ses tempes, il allait exploser, il ne pouvait plus contenir sa rage…

Lentement, il se retourna vers le professeur, le regard brûlant de haine.

- Et pour votre *projet Zéro*, quelle est votre excuse ? fit-il, menaçant. Quelle est l’excuse à votre folie destructrice et meurtrière ?

- Le… Le projet Zéro est imparfait, articula difficilement J, sa voix sifflante le faisant ressembler de plus en plus à un serpent. Il n’est pas au point, ce n’est qu’une expérience ratée que j’aurais dû jeter au lieu de la conserver.

Le… jeter. Comme un objet. Un objet sans âme, sans sentiments, sans souffrance… Or Rei était un humain. Et un humain qui ressentait les choses bien plus violemment que les autres parce qu’il les découvrait à peine, parce qu’il s’éveillait à sa vie d’humain qui lui avait été refusée pendant si longtemps.

- Vous n’êtes qu’un fou… Vous n’êtes même pas digne de vivre en ce monde, malade que vous êtes…, reprit lentement Duo en pesant bien ses mots, lourds de fureur contenue.

Il s’avança vers lui, la démarche féline et menaçante, son couteau à la main…

 

Une heure plus tard, Shinigami se releva.

Une heure durant, des cris s’étaient élevés dans le silence de la nuit, rompant la quiétude du lieu.

Une heure durant, dans une navette privée, un jeune homme blond s’était blotti contre son amant, une main crispée sur le cœur, tentant de ne pas se laisser submerger par la violence d’une colère et d’une haine sans bornes.

Mais au bout de cette heure, J avait fini par accepter. Et la fureur de Shinigami s’était calmée, refluant comme une vague au fond de lui.

Avec des gestes lents, comme s’il se contenait, Duo ligota le professeur avec des chaînes et l’enferma à clé dans une pièce qui lui semblait bien être une cellule bien qu’elle fut entièrement blanche et sans aucun meuble excepté une chaise en plein milieu. Il ne voulait pas trop se poser de questions sur l’usage de cette pièce, aussi se contenta-t-il d’y enfermer au plus vite le professeur. 1[19]

S’adossant à la porte, il souffla un grand coup, se forçant à reprendre une respiration normale et à calmer les battement de son cœur. A cet instant, son téléphone sonna. Quatre s’assurait que tout allait bien. Duo en sourit, même à des centaines de kilomètres, le blondinet sentait la moindre variation d’humeur. Lui assurant que le professeur était toujours en vie et en état d’assurer une opération, il quitta la planque. Il ne craignait pas que le professeur s’échappe, il n’y avait pas de risques vu comment il l’avait attaché. Si de simples liens n’auraient pas résisté à son corps à moitié robotisé, en revanche, il lui était impossible de se défaire de ses chaînes.

D’un pas rapide, Duo retourna à son hôtel, bien décidé à aller camper dans le labo du professeur pour l’avoir constamment à l’œil. Lorsqu’il entra dans sa chambre, Spoutnik vint se frotter à ses jambes en ronronnant, lui apportant un réconfort bien nécessaire en même temps qu’il l’apaisait.

Quelques minutes plus tard, les deux compères quittaient l’hôtel, Spoutnik tournant autour des pieds de son maître, trop heureux de se retrouver à l’air libre pour rester sage. Ils retournèrent au labo, mais Duo ne s’approcha pas de la pièce où était le professeur, sentant déjà sa colère revenir. Il se contenta de s’installer dans la salle principale, au milieu de tous ces appareils inconnus. Il choisit de s’asseoir sur une chaise en posant ses pieds sur un tableau de contrôle, tandis que son chat se perchait sur les écrans de cette même table et s’allongea, laissant pendre deux pattes latérales dans le vide, sa queue remuant imperceptiblement.

Ils n’avaient toujours pas bougé quand Duo reçut un appel de Trowa, lui demandant sa position, ni quand les autres rentrèrent dans le labo.

 

A suivre…

7/07/03


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Ak : Ce chapitre est court… ça fait longtemps que j’avais plus avancé ce fic, j’ai un peu de mal à m’y remettre…

Duo : Peut-on espérer en tirer un quelconque avantage ?

Ak : Ne rêve pas trop ! Mon scénar est déjà fini ! Mais bon, j’ai pas l’inspi, alors ça va peut-être me prendre un peu plus de temps que prévu. Yaaaahhhhhh !!! Tip viens de sortir de son oral de philo !!!!!

Tip : SALAUD DE BAC !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Ak : Pas d’autre déclaration ?

Tip : euh……je peux gagner mes points de bac à la belote ?

Ak : doit pas être possible…

Tip : Bah tant pis alors !

Ak : Te reste encore les maths, tout n’est pas perdu !!! *fait la pom-pom girl avec les pompons*

Tip : je veux pas y aller !!!!!!!!! Help me !!! Donnez moi mes points !! je peux même faire le strip tease mais donnez les moi sans réfléchir !!!!!! je peux plus réfléchir !!!

Ak : Tu vas y aller, et à coups de pieds au cul si y faut !!!! Et tu peux pas décemment faire un strip à un vieux croulant pervers !!!! Fais gaffe à toi, je te surveille ! Y a pas de murs aux salles, c’est des vitres, oublie pas !!!

Tip : T_T oprimée

Quatre : bienvenue ma sœur au club des opprimés anonymes, raconte-nous tes problèmes…

Duo : Qua-chan, va pas la traumatiser… Elle, elle doit supporter Ak tous les jours, alors que nous, c’est que quand elle allume son ordi !!

Ak : Plaignez-vous en plus, bande de bishous ingrats !!! *les course avec une batte de base-ball*

*quelques heures plus tard…*

Ak : YAAAAATTAAAAAAAA !!!!!!!!!!!!! ELLE L’A EU !!!!!!!!! TIP ELLE A SON BAC !!!!!!! Samedi : fête… ^__________________________________________________________________________________^

 

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1[19] « La Chambre blanche », par Shakes Kinder Pingui. Une fois qu’on l’a lu, c’est indélébile.