Titre : Souffrance éternelle 5/?

Auteur : Calliope

Genre : Retour à la maison, raconte-moi ton histoire, yaoi, OOC de Heero

Couple : Vous verrez bien… y a au moins du 4+3+4 et du 5+S+5.

Base : GW du pur, du vrai, du beau !

Disclaimer : Dans ma folie furieuse, j’ai cru qu’il ne m’appartenaient pas. Pourquoi m’a-t-on empêchée de revenir à la réalité ? Enfin bref, Vinz, Florent et Schatz sont à moi… les autres non et je le regrette fortement, bien que je pense qu’ils soient soulagés par cette situation !

Pitite note toute courte : Ce fic touche à sa fin (enfin) mais il y aura normalement deux épilogues et une vignette qui suivront (mais je ne sais pas quand).

Les @ sont toujours les trous temporels ou changement de POV ou de lieu. En gros c’est pour couper le récit.

 

 

Chapitre 5 : Ça finit bien, mais…

 

 

-          Les gundams nous attaquent !

Heero se réveilla en sursaut. « Alors là je suis vraiment bon pour le dernier étage[1]. J’entends des mots de mon passé. » Pourtant mû par sa curiosité, il se leva et voulut sortir quand il s’aperçut que le système de sécurité s’était enclenché et que la porte était verrouillée. Dans le couloir, il pouvait entendre les restes d’une bataille.

 

Soudain, un Florent hilare surgit dans sa chambre.

-          Alors, prêt à partir ?

-          Nani ?

-          Ben oui. Tes vacances touchent à leur fin et tes copains sont venus te chercher.

-         

-          Ok. Prends tes affaires et suis-moi !

 

Heero suivit son guide au travers du dédale de couloirs de l’hôpital, taisant la question qui lui brûlait pourtant les lèvres[2] « Mais qu’est-ce qui se passe bon sang ? ».

En passant devant la salle de télé-surveillance, où étaient regroupés tous les écrans reliés aux caméras, il pu apercevoir à sa grande surprise les gundams. « C’est impossible ils ont été détruits. Mais pourtant je les aperçois et j’entends le bruit de la bataille qui fait rage dehors. Tiens mais qu’est-ce que ? *lapine en short moulant qui passe devant ces yeux avec un panneau où est marqué “Hallu n°1”* On dirait un bâtiment militaire à côté du Wing. Du Wing ? Mais je suis là. Et puis si Duo est mort, comment se fait-il que je vois cinq gundams ? Est-ce que ça signifierait que…[3] ».

 

Une intervention de Florent le tira brusquement de ses pensées.

-          Heero ! Ça fait deux cents ans que je t’appelle !

-          ‘scuse moi, je pensais.

-          Pense après. Maintenant qu’on est sorti, il faut rejoindre le point de ralliement avant que la Pétasse Rose[4] ne lance ses chiens de garde à ta poursuite.

-          Et les autres ?

-          Ils seront là, t’inquiète.

 

Après une longue course qui lui parut durer des heures, ils arrivèrent enfin à une bicoque, assez cossue, qu’il reconnut comme ayant été l’une de leurs anciennes planques.

Quand ils furent entrés, Florent lui expliqua brièvement que les autres n’allaient pas tarder et qu’il pouvait se reposer en les attendant.

 

-          Et toi ?

-          Il faut que je te laisse. Je dois aller faire un rapport à mon contact.

-          Euh… ben alors vas-y.

 

Florent le laissa au milieu du séjour, avec un sentiment de désœuvrement naissant[5].

 

-          Ok ok. Ben puisque je dois poireauter, autant le faire intelligemment et aller pioncer.

 

Sur ce, il joignit geste à ses paroles.

 

@@@@@@@@@@

 

Heero se réveilla au son du “Heeeeeeeeeeeeero, tu es quelque part ?” lancé par Quatre. « Quatre ? Alors je ne rêvais pas ? Je suis enfin sorti de[6] cet enfer ! ». Il se précipita lentement[7] dans l’escalier et fut accueilli par un boulet de canon blond et faisant dans les 1m80, à vue de nez, à présent.

 

-          Quatre tu es lourd ! Wufei. Trowa. Je suis content de vous revoir. Vous m’avez tellement manqué !

-          Et tu crois peut-être que tu ne nous a pas manqué, toi ? On se faisait du mouron pour ta petite personne, Yuy, fit une voix derrière lui[8].

-          Sally ? Toi aussi tu m’as manqué, surtout tes examens intimes sur ma personne *Blaff la claque qu’il avait pas vu venir*, non je plaisante. Mais qu’est-ce que tu fais là ?

-          Sally vit avec nous depuis qu’elle a épousé Trowa, répondit Quatre avant que l’interpellée ne puisse en placer une.

-          WINNER !! Tu sais très bien que Sally est MA femme et que toi TON mari c’est Barton !

-          Ben quoi Wufei ? C’était juste pour voir comment Heero réagirait. *moue quatroyenne*

-          Vous vous êtes mariés ? Toutes mes félicitations, leur dit Heero la voix emprunte d’amertume.

-          Bon on vous laisse tous les deux, on va faire un peu de lèche-vitrine mais on sera rentré dans moins d’un heure. Je suis sûre que Quatre à plein de choses à te raconter ! déclara Sally en traînant Wufei et Trowa derrière elle vers les étages afin de prendre le nécessaire pour faire de petites emplettes, à savoir Miss Visa et ses petites sœurs, puis repassa en trombe devant Heero et Quatre et disparut en claquant presque la porte, bruit couvrant les protestations véhémentes de ses deux pauvres victimes[9].

 

Quatre remercia Sally ,bien qu’elle n’entendit rien, avant d’aller dans la cuisine et d’en revenir les bras chargés d’un plateau de thé et de petits gâteaux, puis d’entraîner Heero vers les étages prétextant un vague “On sera mieux installés dans une chambre pour parler[10]”.

 

@@@@@@@@@@

 

-          Heero tu ne dis rien depuis près d’1/2 heure. Je pensais que tu aurais plein de questions à poser !

-          Je sais Quatre, mais vous avez tellement changé. Regarde-toi comme tu as grandi ! Mais tu n’as rien perdu de ta gentillesse ! Quand est-ce que vous vous êtes mariés ?

-          Il y a environ 4 mois. On a fait un double mariage. Mais je pense que nous devrions éviter ce sujet pour le moment.

-          Oui tu as raison. Au fait, c’était quel enregistrement de nos combats que tu as diffusé sur les écrans de contrôle de l’hôpital ? Et comment as-tu fait pour les bruits du combat ?

-          Pour le bruit on a demandé à un ingénieur du son de nous le reproduire et ensuite Trowa a piraté les hauts-parleurs de l’hôpital pour diffuser la bande. Mais comment as-tu deviné pour l’enregistrement ?

-          Il y avait Wing et Deathscythe dessus.

-          Oh je vois. Mais tu sais c’était le seul moyen pour te faire sortir tout en détournant l’attention de toi.

-          Tu aurais pu la faire porter sur les autres patients.

-          Quels patients ? Tu étais le seul patient de tout l’hôpital ! Tout le reste n’était que des hologrammes, des acteurs et des médecins engagés par Relena. On peut dire qu’elle a vraiment tout fait pour étouffer l’affaire !

-          Alors tout ce que j’ai vécu n’était qu’une illusion[11] ?

-          Oui. Je vais tout te raconter si tu promets de ne pas m’interrompre.

-          Dans le détail ?

-          Dans le détail.

 

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    -    Pour commencer, cela fait environ cinq mois que tu es enfermé dans cet institut. Mais nous nous sommes seulement rendus compte de ta disparition un mois après.

Tous les mois, Duo et moi avions l’habitude de nous rencontrer pour une sortie. Seulement il y a quatre mois, il n’est pas venu au rendez-vous et j’ai commencé à m’inquiéter. J’ai bien essayé de le joindre, mais à chaque fois on me disait que le numéro n’existait plus et comme je ne connaissais pas son adresse, je ne pouvais pas me déplacer pour me rendre compte la situation par moi-même.

J’ai alors entreprit de réunir Wufei, Sally et Hilde pour débuter des recherches.

Au bout d’un mois, alors que nous allions abandonner l’idée de le retrouver un jour, un homme est entré en contact avec nous, se disant témoin de toute la scène, nous apprenant que Duo était mort et que tu avais été interné. Peu après nous avons su que Relena était derrière tout ça et qu’elle avait fait du bon boulot pour effacer toutes traces de cet événement.

Nous avons alors redoublé nos recherche, et, il y a environ deux semaines, Hilde nous a informés que l’un de ses contacts t’avait retrouvé et nous préparait le terrain. Ce contact, qui préférait rester dans l’anonymat, nous a avoué qu’il veillait sur toi pendant ton isolement.

Enfin bref, il y a deux jours, il est de nouveau entré en contact avec nous en nous disant que c’était le moment propice pour venir te récupérer.

Pour faire diversion nous avons utilisé le seul enregistrement qu’OZ avait fait de nos combat et, comme je l’ai déjà dit précédemment, le bruitage du combat a été fait par un ingénieur du son qui travaillait autrefois comme sweeper…

Heero ? Heero, est-ce que ça va ?

 

Quatre l’enserra et l’attira à lui de façon à ce que sa tête repose sur son cœur.

 

-          Heero, je comprends ta douleur et sache que tu devrais te confier, si ce n’est pas à moi, que ce soit au moins à Trowa ou à Wufei. Mais n’oublie pas que rien ne t’y oblige.

 

Quatre regarda Heero. Son visage reflétait une expression indéchiffrable, mais où l’on sentait néanmoins une prédominance de la douleur.

 

-          M… Merci Quatre. J’ignorais que cela faisait aussi longtemps que j’étais enfermé. Tu sais il faisait tout leur possible pour m’enlever mes repères et je crois bien qu’ils y sont parvenus.

-          Tu veux m’en parler ou tu préfère que ce soit à quelqu’un d’autre ?

-          Non. Je veux te le dire à toi puisque tu as accepté de me dire tout ce qui c’était passé depuis ma disparition.

 

@@@@@@@@@@

/POV Quatre/

 

Tout du long de son récit je sentis mes traits s’agrandir de stupeur. Ce qu’ils lui avaient fait subir ne correspondait en rien à ce que j’imaginais. Il avait une totale liberté de mouvement dans l’enceinte du centre et, régulièrement, il devait consulter le psychiatre en chef, un certain Docteur Schatz, au sujet de l’avancement d’un programme de réinsertion, mais je n’ai pas bien saisi ce que c’était en réalité. Si ce n’était la présence de Relena, on aurait pu croire à des vacances. Ce qui me choquais le plus était le fait qu’on l’avait maintenu dans l’ignorance de tout ce qui se passait en dehors de l’hôpital, comme du temps qu’il y avait passer ou de son emplacement exact. Et de surcroît, il ignorait complètement que, mis à part le personnel “médical” et Relena, il était le seul être vivant en ces lieux. Relena avait été horrible. Elle avait créé un environnement “parfait” et destinait Heero à une existence d’enfant bulle en sa charmante compagnie. A côté d’elle, Machiavel est l’ange le plus pur que la Terre ait jamais porté[12] !

Ce qui retint le plus mon attention fut le moment où il m’avoua qu’il avait revu Duo peu de temps avant que nous ne soyons intervenus. Et mon doute devait se voir comme le nez au milieu de la figure car il interrompit son récit.

-          Je sais que ça semble fou. Même à moi, parfois, il m’arrive de penser que je n’ai fait que rêver, mais tout ceci est bien réel. Je ne t’en veux pas si tu n’arrives pas à me croire. Je ne t’en demande pas tant.

 

Avant que je n’ai pu lui répondre, il se leva et ajouta :

 

-          Au fait, et si on allait rejoindre les autres au salon ?

 

Je le suivis en bas, surpris qu’il ait pris l’initiative de se joindre aux autres de lui-même.

 

/Fin POV/

@@@@@@@@@@

 

-          Heero ! Je suis si contente de te revoir !

-          Hilde, tu m’étouffes !

-          En fait je suis juste passée pour voir si tout c’était bien passé. Florent a bien essayé de m’en persuader, mais il fallait que j’en soit sûre à 100%[13].

-          Florent ?!?!

-          Ben oui, mon fiancé[14] ! Quand il m’a dit, il y a quelques temps, quand je l’ai revu, qu’une bombe japonaise aux yeux bleus voulait revoir les g-boys, j’ai tout de suite pensé à toi…

-          ???

-          Dès que j’ai eu fini de le frapper pour le terme qu’il avait utilisé pour te décrire.

-          Alors c’était toi son contact !

-          Ben oui, tu pensais à qui ?

-          A Wufei.

-          Quoiiiiiiiiii !!!!! hurlèrent Sally et Wufei d’une même voix. Tu tiens vraiment à nous fâcher, ou quoi ?

-          Sally, retourne t’occuper de ton homme et laisse-moi discuter tranquillement avec Heero ! Donc je disais, reprit-elle en se tournant vers le principal intéressé, si tu avais vu la tête de Quatre quand je leur ai dit que l’on t’avait retrouvé ! C’était impayable ! Pour le reste, je crois qu’il t’a tout raconté.

-          Merci Hilde. Tu pourras dire aux autres que je suis allé me reposer. Ça fait beaucoup trop d’émotions en l’espace de quelques heures.

-          Bien sûr. Et puis maintenant, tu es chez toi ici… car ils refuseront de te laisser repartir par peur de te perdre de nouveau.

 

Mais la fin de la phrase n’atteignit pas les oreilles de Heero.

 

OWARI OR TBC ?

 

- Le 4 décembre 2002 -

 




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Calliope : Jajajajajajaja ! Ça y é !!!! L’est plus dans l’asile de dingos le Heero !!! Il y a mis le temps quand même, mais bon le principal est qu’il soit rentré sain (à quelque chose près on peut le considérer comme sain de corps parce que l’esprit c’est pas trop ça) et sauf !

Ak : Il est peut-être rentré au bercail, mais ça fait pas revenir Duo…

Heero : *sigh* (l’est en pleine déprime la pov’ chtite chose)

Duo : Comment ça je reviens pas ?!!!!!!!!!

Quatre *lui tapote doucement sur l’épaule* : Ben heu…. Comment t’expliquer ça sans trop te traumatiser…

Calliope : T’ES MORT !! Tu peux PAS revenir, t’es un cadavre ! Refroidi, raide, congelé, une crevure, tu piges ?!!!!

Duo *Shocked* : @_@ gneeeeeeeeee

Ak : C’est ça que t’appelles dans la délicatesse ? C’est malin, l’est complètement out maintenant ! Comment tu comptes négocier ton lemon avec une loque humaine ?

Calliope : QUEL LEMON ?!?!?!?! Qu’est’ce tu m’chies toi ?

Ak : Ben un lemon quoi…. Heero va quand même pas se taper un macchabée ! C’est de la nécrophilie !! …….. Quoique, ça pourrait être pas mal dans le genre gore….

G-Boys : HEIN ?!?!?!?!?!?!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Calliope : ..... Eurk !!!

Heero *dégueule son thé et ses petits gâteaux, son repas du soir, de midi, son petit déj’ et jusqu’à ses repas de la semaine précédente* (l’a l’imagination trop fertile le pauvre)

Ak : Ben quoi ?… Ça vous plaît pas ?….. Non ? …. A ce point ?

G-Boys&Calliope *regard noir*

Ak : Méheuh !….. Ou alors Heerotouttraumatisé qui se fait consoler par les autres et ça donne un truc à… *compte* Quatre, Trowa, Fei, Sally, Florent, Hilde… Sally et Hilde ?! … nan, on les vire, juste les mecs… Donc ça fait un truc à 5 !!! ^________________^

Calliope : Indécrottable !!! Tu fais chier à toujours vouloir réécrire les fins des fics des autres !!!!!!!!!!!!!!!!

Ak : Hu ? Kécém’chie ?

Heero, en aparté à Calliope qui désespère : Dis, il fonctionne toujours ton asile avec tous les hologrammes ?

Calliope : Ben ouais pourquoi ?

Heero *regard en douce à Ak qui se doute de rien* : Ho pour rien, pour rien…

Calliope, en aparté avec les g-boys profondément choqués : Ainsi vous avez un petit aperçu de ce que je subis tous les jours de ma pauvre vie… on peut presque dire qu’Ak est vraiment THE Queen dans son domaine et puis vous savez ce que dis le dicton…

G-boys, à voix très basse : Non quoi ?

Calliope, à voix moins basse : God saves THE Queen and THE Queen saves the gode !!! Ahahahahahahah !!!

Quatre : ###-_-### Oh my God…

G-boys : Dis Calliope-chan… on connaît un endroit magnifique où il reste une place en pension, d’ailleurs il est recommandé par Ak.

Calliope : Je vois l’genre… Dites les garçons…

G-boys : Vi ? *voient Calliope retournant sa casquette et décrochant quelque chose de sa ceinture*

Calliope : POKEBALL GOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO !!!!!!

Ak : Ayeuh mes oreilleuh ! P’tain qu’est-ce t’as encore glandé et ils sont passés où les p’tits bisho, j’ai deux mots à leur dire.

Calliope *qui saute de partout comme Tigrou et puis qui brandit fièrement, après s’être calmée, cinq petites boules rouges et blanches* : J’ai capturé tous les poké-gboys ! Nyark Nyark Nyark.

Ak : Privée de manga jusqu’à ce que tu redeviennes saine d’esprit !

Calliope : Je peux pas redevenir ce que je n’étais déjà pas avant !!! bleblelbleble !!!

Ak : --__--°°°°°° …… Bon on va arrêter le massacre et pis on va aussi vous dire au revoir et à p’tet une prochaine fois.



[1] Petite précision : dans un asile, le dernier étage est réservé aux fous furieux (ou plus haut degré de folie).

[2] Mais qu’est-ce que c’est que ce binz ????

[3] Oui j’ai décidé de faire chier mon monde jusqu’au bout en coupant sans arrêt les réflexions de Heero sur le pourquoi du parce que..

[4] Ben oui les initiales P.R. (Peacecraft Relena) peuvent aussi se traduirent de cette manière.

[5] Il n’a qu’à taper un rapport au prof J ça l’occupera au moins dix bonnes minutes… Oh j’oubliais ! J est mort. Mais que va-t-il donc pouvoir bien faire ?

[6] … l’auberge. MDRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR !

[7] N’oubliez pas que c’est Heero dont on parle et même si je dois reconnaître qu’il est un ch’tit peu OOC dans ce chapitre, je n’ai pas osé pousser l’OOC jusqu’à le départir de son flegme légendaire.

[8] Arg c’était Relena ! *se frotte la joue parce que viens de ce faire frapper par tous les lecteurs* Ok, je plaisante, mais c’est pas dit que je recommencerai pas ! *regarde les lecteurs trèèès menaçant* Peut-être que si finalement.

[9] Oh mon Dieu les pauvres p’tites choses. Pourtant c’est pas si terribles les soldes… la preuve, je suis encore vivante après 8h de Lèche-vitrine à Montpellier !!!!!!

[10] En tout bien tout honneur !!! Bande de pervers en tout genre. Nan mais vous voyez Quatre profiter de la situation pour se le taper ??????? Comment ça oui ? Mon dieu vous êtes pas croyables !!!! Bon d’accord, je suis pas mal non plus dans le genre !!!

[11] Il a la même réaction que Truman dans The Truman Show, quand il apprend qu’il ne vit pas dans la réalité !

[12] Quatre : Beuh je croyais que c’était moi ! Calliope : Oui mais je doute que tu aies apprécié d’être comparé avec Relena. Quatre : T’as pas tort sur ce coup là. Machiavel : Et moi, tu crois que ça m’enchante cette situation ? Calliope : Non, mais c’est le cadet de mes soucis !

[13] Ah la la les femmes ! Faut toujours qu’elles vérifient les dires des autres… et heureusement d’ailleurs !

[14] Vous ne vous y attendiez pas à celle-là, hein ?