Fanfic : Gundam
Wing.
Auteur:
Chtite Coccinelle… Je suis toute seule pour écrire : c’est une
première !
Style : POV de 3,
sérieux (Hé oui ! Ca m’arrive de faire du sérieux… mais c’est assez rare en
général !). Euh… pour celles et ceux qui sont VRAIMENT très tordu(e)s,
peut-être du Victor+3 ???
Disclamer : *Trowa ne m’appartient pas, ni
l’histoire de fond (que vous avez découverte dans les épisodes de GW, et
peut-être un peu dans Episode 0
de GW), mais le reste est sorti de mon cerveau. J’ai remodelé l’enfance
et l’adolescence de ce pilote de Gundam à mon idée, alors ne me jetez pas la
pierre, car beaucoup l’ont fait pour 2 (surtout), mais aussi 1. Enfin, Victor et
les types en costumes noirs sont miens. Par contre, je m’excuse, mais je ne
connais pas exactement la description du Docteur S, alors je lui ai
seulement mis un nez en forme de bec d’aigle.
*Les indications ++ abc++ sont des indications
scéniques et des pensées de 3 pendant les dialogues.
Avertissements : * Le style de
l’histoire pourrait surprendre, mais j’ai essayé d’être la plus fidèle au
genre : si vous voulez lire des romans dans ce style, il y a Bridget
Jones (2 livres extrêmement drôles), Papa Longues Jambes (pour les
plus jeunes, et ceux qui étaient fans de l’animé du même nom), Anne
Franck (mais ça finit mal !), et bien d’autres si vous cherchez
bien.
* Pour les fans
de yaoï, de shonen aï, et autres petites démonstrations amoureuses, je m’excuse
de tout mon cœur, mais cette histoire n’en comportera pas, ou si peu que je les
classe plus dans une catégorie ‘amitié’ qu’autre chose.
* Il paraît
qu’un POV de 3 est à collectionner, cependant, je souhaite une demande dans
les formes pour voir cette fic dans des sites auxquels je ne l’aurai pas
confiée : c’est mon œuvre, et j’y tiens ! Si vous me trouvez un
peu trop stricte et immodeste sur ce point, c’est que ma webmastrice préférée et
officielle a déjà trouvé une de mes fics qui se baladait sur des sites non
autorisés par moi et ma co-auteur régulière (Lou la Vénusienne). Merci
d’avance de respecter mon souhait.
15 Août 191 après
colonisation, à Rio de Janeiro :
Cela
fait une semaine que je me suis échappé du repère brésilien des
mercenaires, et je commence ce journal pour laisser une marque de mon passage
dans cet univers. Cela me permet aussi de ne pas perdre le fil du temps… et de
me retrouver dans cet environnement inconnu… de ne plus perdre la
mémoire !
Je suis arrivé à Rio de
Janeiro par un des embranchements du delta de l’Amazonie, puis par des chemins à
peine visibles dans la jungle amazonienne. Enfin, j’ai été transporté jusqu’à la
ville sur des ballots de café déposés sur la remorque d’un vieux camion rouillé.
Pour remercier le chauffeur, et surtout parce qu’on était en panne, je suis
passé sous le camion et j’ai réparé la fuite d’huile due au liquide de frein qui
avait rongé les jointures de son contenaire[1].
Cela a surpris le
conducteur du camion, que je sache réparer un tel engin avec presque rien. Il
m’a même appelé ‘Mac Gyver’. Je n’ai pas compris ce qu’il voulait dire[2],
mais j’ai haussé les épaules : ça me faisait plaisir, ce compliment, mais
si les mercenaires m’ont appris quelque chose de fondamental pour rester en vie
(à part à me servir de toutes sortes d’armes), c’est bien de ne jamais laissé
échapper un quelconque sentiment de mon attitude et d’avoir toujours la tête
froide, en toutes circonstances. Ca m’a permis d’échapper très souvent à
quelques tortures infligées par un des ivrognes du groupe.
Cependant, mon geste de
mécanicien a eu un effet qui je l’espère me sera bénéfique, et grâce auquel
j’espère bien échapper à mes tortionnaires qui me poursuivent sans doute. En
effet, le brave homme m’a alors confié que des hommes en costumes trois pièces
recherchaient des personnes capables de se servir d’une clé de 12 pour réparer
toutes sortes d’engins sur L3. Il m’a confié que je les trouverais à la
Capitainerie du port (ou dans les bars alentours) et m’a demandé si je voulais
qu’il m’y emmène. J’ai refusé, et je me suis fait déposer à l’entrée d’un
bidonville, sur les hauteurs de la métropole brésilienne. Si on m’a suivit
jusqu’ici, je veux pouvoir faire perdre ma trace dans les profondeurs de la
banlieue de Rio. C’est pourquoi j’ai passé tout l’après-midi dans le labyrinthe
de la ville, à brouiller les pistes : c’est un travail dans lequel je suis
extrêmement fort !
Il était tard quand je
me suis décidé à partir dans le centre. C’est alors que je suis passé à côté du
zoo, dans lequel je suis rentré. J’ai immédiatement remarqué, derrière des
barrières, les soigneurs des fauves en prise avec un lion ombrageux : la
pauvre bête s’était visiblement blessé et ces imbéciles, avec leurs airs
menaçants et leurs armes, le harcelaient !
Je me suis approché,
j’ai franchi la ridicule frontière entre les animaux et les visiteurs et, tout
en regardant le lion dans les yeux, j’ai tendu la main vers sa crinière. Les
gardiens n’en revenaient pas de mon audace et voulurent me retenir, mais j’étais
déjà dans les pattes de ce fier félin géant de la savane qui appréciait tant mes
caresses. J’ai réussi à trouver l’écharde de 5 cm qu’il avait dans la patte et à
lui retirer sans qu’il ne montre la moindre agressivité : au contraire, ses
yeux me témoignaient toute sa reconnaissance pour mon
intervention.
Quand je suis sorti de
l’enclos, j’ai entendu des applaudissements venant de quelques badauds, puis un
soigneur m’a fait signe de m’approcher. Il m’a remercié, puis m’a demandé ce que
je désirais comme récompense. « Un logement pour la nuit. » Il a eu
l’air surpris, mais m’a emmené vers des baraques au fond de l’animalerie. Il m’a
montré ma chambre, petite pièce aux chaudes couleurs d’été, avec pour tout
mobilier un lit, une table, une chaise et une armoire murale : petit mais
fonctionnel, juste ce qu’il me faut !
Ensuite, il m’a emmené
au restaurant du personnel où j’ai pris un repas en silence, écoutant les
conversations environnantes. C’est comme cela que j’ai eu confirmation de
l’information que m’avait confiée le camionneur : on recherche des mécanos
pour L3. Le chef des soigneurs m’a aussi proposé de m’engager pour m’occuper des
fauves. J’ai accepté, même si c’est pour seulement quelques jours, car avant de
partir pour L3, il faut sûrement faire ses preuves, et donc j’aurais besoin d’un
peu d’argent, et j’aurais également un toit sûr pour
dormir.
Après manger, je suis
retourné voir le lion, qui s’appelle Victor[3],
et il m’a accueilli par un petit grognement de bienvenue. Et m’a permis de me
blottir un instant contre son flanc.
Ensuite, je suis
retourné vers mes quartiers. En chemin, une grande femme m’a donné deux
chandelles, un stylo et ce cahier rouge : «Pour que tu gardes un souvenir
d’ici, même s’il faut que tu l’écrives pour conserver quelque chose. » Je
crois qu’elle voulait me faire comprendre que si j’ai des problèmes, ou d’autres
choses qui m’arrivent, et que je ne peux me confier à quiconque, cela me fera du
bien d’inscrire les évènements de ma vie dans un journal
intime…
Elle n’a pas eu
tort.
22 Août 191 après
colonisation, dans une navette spatiale, direction
L3 :
Je viens de monter à
bord de la navette, et je suis tellement excité (même si ça ne se voit pas
extérieurement) que je ne peux pas me retenir de me
confier.
Pendant la semaine qui
vient de s’écouler, j’ai travaillé au zoo, en aidant aux soins des lions, mais
j’avais mes après-midi de libre, alors j’en ai profité.
Le premier après-midi,
le 16 donc, je suis allé faire quelques courses : le directeur du zoo,
ayant appris mon geste de la veille sur Victor[4],
m’avait donné 60$ de récompense[5].
J’ai donc acheté des vêtements pour me présenter aux hommes de L3. C’est-à-dire
des jeans bleus, deux chemises beiges, un pull à col roulé vert[6]
et des sous-vêtements[7].
Mes chaussures, des rangers, étaient pratiquement neuves. En effet, pour les
mercenaires, des chaussures en parfait état étaient très important, pour pouvoir
effectuer, le mieux possible, quelques marches forcées au besoin des déconvenues
rencontrées par le groupe, mêmes si elles étaient relativement rares. J’ai
également pensé qu’il me fallait des outils à la ceinture.
Lorsque je suis rentré
avec mes achats, la grande femme que j’avais croisé la veille au soir m’a fait
un clin d’œil et un grand sourire chaleureux, puis m’a proposé de rincer mes
affaires. C’est la première fois qu’on veut s’occuper de moi sans qu’aucun
intérêt ne soit en jeu. J’en suis tout ému, et je rougis légèrement en
acceptant. Elle me confie alors que je lui rappelle son fils quand il avait mon
âge, et qu’elle aimerait qu’on s’occupe de lui comme elle le fait pour moi.
Finalement, elle a un léger intérêt à sa gentillesse envers moi, mais ce n’est
pas grave : j’ai l’impression qu’elle veut que nous soyons amis, et j’aime
bien cette idée.
Ce soir là, je suis
retourné me blottir contre Victor, et je lui ai raconté ma journée, tout en le
caressant : malgré ses kilos de muscle et de force, il ronronnait comme un
chaton !
Le deuxième après-midi,
je suis allé à la Capitainerie, et j’ai observé l’activité du port. Deux cargos
remplis d’épices, de bois précieux, de café et de cacao, s’éloignaient vers la
pleine mer ; un chalutier revenait de sa sortie en mer avec ses cales
pleines de poissons ; un bateau de croisière s’amarrait plus loin… Je
remarquais enfin un attroupement atypique dans ce port : des dizaines
d’hommes ou d’adolescents, alignés devant la porte d’un entrepôt, semblaient
attendre leur tour de passage. Ils avaient tous des outils de mécaniciens à la
main, à la ceinture, ou dans une boîte.
A la porte de
l’entrepôt, je remarque un écriteau annonçant ce que je
cherchais : "Départ pour L3 pour des mécaniciens compétents." Dessous,
une feuille expliquait les conditions d’embauche. Je me suis approché pour la
lire. Il fallait être capable de remonter tout un engrenage de machines
agricoles, en aussi peu de temps que possible, et avec ses propres outils. L’âge
importait peu, mais il fallait pouvoir faire fonctionner l’engin à la fin.
L’entrepôt était ouvert toute la journée, de 8h00 à 20h00, sans interruption. Vu
le monde qui attendait, je me suis décidé à revenir le lendemain à
12h15.
Et je suis reparti au
zoo. Alors que j’arrivais, j’ai vu un des gardiens qui s’escrimait à faire
démarrer une tondeuse à gazon, sans succès. J’ai aussitôt proposé mon aide, et
j’ai filé en direction de ma chambre pour me munir de mes différents outils. La
réparation a été assez facile, et en une demi-heure, le gardien a pu tondre la
pelouse du parc zoologique. Et à moi, ça m’a fait un petit
entraînement.
Le soir, je suis
retourné voir Victor, et quand je lui ai raconté ma décision de participer à
cette ‘compétition’ de mécaniciens le lendemain à midi, il a semblait approuver
et même m’encourager.
Le 18 après-midi, je
suis donc retourné au port. En chemin, j’ai croisé des hommes, avec des outils
de mécanos, qui avaient l’air dépité, mais je ne me suis pas découragé. En
effet, j’ai un don pour réparer et reconstruire n’importe quoi depuis que je
sais tenir une clé à mollette[8].
En arrivant devant la
porte de l’entrepôt où se déroulait le ‘concours’ auquel j’avais décidé de
participer, je me suis félicité d’avoir choisi une telle heure : il n’y
avait que trois personnes avant moi, et l’homme à l’entrée nous a tous fait
entrer en même temps.
Tout d’abord, il y avait
un formulaire de présentation à remplir. Dès la première question j’ai été
embêté : que mettre sous la rubrique ‘NOM PRÉNOM’ ? Je ne peux pas
inscrire « Sans Nom », comme m’appelaient les mercenaires ! J’ai
regardé autour de moi, et j’ai remarqué une caisse en bois avec le chiffre 3
écrit dessus. Je n’ai hésité qu’une seconde, et j’ai marqué « Dubois
Trowa[9] ».
Puis j’ai continué à remplir ma fiche de renseignement.
Dès que j’ai eu fini de
la remplir, l’homme qui me l’avait tendu me place devant un tas de ferraille.
Puis, j’attends que tous soient placés devant leur tas. Enfin, un homme très
grand, en costume noir, installé sur un siège à côté d’un homme en blouse
blanche[10],
nous explique froidement ce que nous devons faire : reconstruire un
tracteur, le plus rapidement possible.
J’observe discrètement
les autres, et je remarque qu’il y en a un qui blêmit, un qui s’élance vers son
tas, ou plutôt son tracteur, sans prendre le temps de réfléchir, et le dernier
qui se met à siffler, visiblement impressionné par le travail qui l’attend, puis
qui s’éloigne en direction de la porte. En fait, je suis le seul à réellement
savoir ce que je fais !
Je regarde alors
attentivement les pièces devant moi, et je remarque les morceaux du moteur. Je
m’approche pour les séparer du reste, et pour monter la pièce principale de
l’engin agricole. Puis je m’immerge dans ma tâche. Je suis cependant sur mes
gardes, comme toujours : les habitudes prises chez les mercenaires
resteront, je crois, très profondément ancrées en moi, et pour
longtemps.
Comme je m’en doutais,
je suis le premier à avoir fini la reconstruction de l’engin, les autres n’ayant
assemblé que des pièces disparates. Je regarde l’heure : cela fait à peine
45 minutes que je bricole !
C’est alors que je me
retourne vers l’homme en noir et le scientifique : ils m’observent
attentivement, en parlant à voix basse. Puis un grand gaillard s’approche de mon
tracteur après un signe de la blouse blanche, et tourne la clé de contact. Mon
cœur se sert en attendant le bruit du moteur. Il se met alors à ronronner, et le
changement de vitesse se fait sans aucun grincement. Je viens d’étonner tous
ceux qui se trouvent avec moi dans le hangar. Peut-être suis-je le plus rapide,
ou le plus jeune, mais je crois que je peux préparer mes affaires pour
L3 !
Néanmoins, je ne montre
pas ma satisfaction : on pourrait ne pas me prendre. Je m’approche de la
porte, pour retourner au zoo, mais l’homme qui était monté dans le tracteur me
fait signe d’aller voir les deux hommes assis, qui sont apparemment les chefs de
cette expédition. Le grand en costume me fait alors, en
français :
« Tu as réussit
avec panache notre épreuve, mais te sens-tu capable de travailler sur
L3 ?
-
Oui,
monsieur. J’en suis tout à fait capable. ++Ma réponse dans cette langue, et
avec aucun accent, le surprend un peu. Mais j’avais bien compris que c’était un
test ! ++
-
Où
as-tu appris le français ? ++me demande le scientifique. Il a des yeux
froids, un nez en bec d’aigle, et me paraît inflexible.
++
-
Je suis
français. »
En
fait, je suis bien français, tout du moins c’est quelque chose dont je me
souviens (ou crois me souvenir) malgré mon amnésie. Mais ce sont les mercenaires
qui m’ont enseigné les différentes langues que je maîtrise parfaitement. En
effet, il fallait pouvoir s’intégrer dans une population, sans attirer
l’attention des autorités par un quelconque accent étranger. En outre, je crois
que ce que j’ai répondu est un bon point pour moi : les yeux de mes
interlocuteurs se sont allumés d’intérêt, et ils se sont remis à chuchoter entre
eux, trop bas pour que je puisse saisir un terme de leurs
paroles.
Puis le
scientifique reprend :
«
D’après ta fiche, tu habites au zoo en ce moment…
-
Je
travaille avec les lions, et je les soigne. ++Mon interruption empêche une
question qui aurait pu me mettre dans l’embarras et dans un état de faiblesse
face à ces deux oiseaux de proies cherchant, justement, une proie. De plus, elle
a permis de mettre en évidence une de mes qualités : le courage face à un
danger palpable, même si Victor n’est vraiment pas un danger[11]!
L’oiseau de proie en noir se poursuit vite l’interrogatoire.
++
-
Pourras-tu
t’en aller rapidement, malgré cet emploi ?
-
Oui, je
ne suis là que pour dépanner. Le directeur sait que je ne veux pas rester
longtemps à Rio.
-
Mais
resteras-tu longtemps sur L3 ? ++Question piège du bec d’aigle !
++
-
Je
recherche un emploi où exercer mon don pour la mécanique. Si vous me le
proposez, je resterais. ++Je crois qu’il ne faut pas être trop modeste avec
eux. De plus, s’ils recherchent réellement d’excellents mécaniciens, ils ne me
laisseront pas partir. ++
-
Nous te
contacterons au zoo. ++Le savant vient de parler après un petit silence
durant lequel il y avait encore eu un échange de regard entre les deux chefs.
++Tu peux d’ores et déjà préparer tes
affaires ! »
J’acquiesce
d’un signe de tête, qui passe aussi pour un salut, puis je pars, direction
Victor !
Les
trois jours suivant, je les ai passés au zoo, à m’occuper de tous les fauves,
durant toute la journée. Ca m’a permis de ne pas être aussi excité qu’une puce,
et puis, ça m’occupe : je ne suis pas arrivé à ne rien faire pendant mes
congés.
Le
directeur du zoo a été déçu d’apprendre mon départ prochain, mais il m’a assuré
que, si je revenais, j’aurais une place. Après, il m’a donné mon salaire de la
semaine.
Enfin,
ce matin de très bonne heure, on est venu me chercher pour le départ de la
navette pour L3. Ils ont été surpris de ne voir qu’un ballot sur mon épaule,
mais je l’ai haussé face à leurs questions.
Et
maintenant, je suis installé dans la navette… Je vais en profiter pour tout
observer autour de moi, et me faire des idées précises sur mes compagnons. Nous
ne sommes qu’une dizaine à avoir été choisis, et je suis le plus jeune, comme je
m’en doutais déjà. Les autres ont entre 20 et 40 ans, doivent certainement être
excellent dans leur branche, mais ne prisent pas la discrétion et la réflexion,
contrairement à moi, et à ce que j’ai appris. Je ne crois pas que je me ferais
des amis d’eux…
Victor
me manque !
A
SUIVRE…
[1] CC :
Je ne connais absolument rien à la mécanique automobile : j’espère que ça
ne se voit pas trop ! ^__^ ;
[2] Il n’y a
pas la télé chez les mercenaires ! Il peut donc pas savoir ! A ce
propos, je salue le monsieur qui venait toujours réparer les conneries de mes
profs avec les rétros informatisés de l’amphi, et qu’on appelait Mac
Gyver.
[3] CC :
Pour les tordu(e)s, voici le début de Victor+3 !!! … Mais je vous assure
que je ne fais pas dans la zoophilie !
[4] Pas
d’esprit mal placé je vous prie !
[5] Ca équivaut
deux de mes soirées de Baby-sitting ! … Viens là Victor, que je me fasse du
fric en t’enlevant une écharde !
[6] Il a déjà
son ‘uniforme’ pour devenir ‘Trowa Barton, pilote de Heavy Arms’, c’est-à-dire
son jean et son pull !
[7] Non je ne
les énumèrerai pas ! Vicieuses !
[8] Non, Trowa
n’est pas modeste, mais il sait parfaitement définir ses qualités et ses
défauts, dont la fausse modestie ne fait pas partie : il a horreur (selon
moi) des hypocrites, et ne veut pas en faire
partie !
[9] Barton est un nom que lui donne plus
tard le Doctor S. Je ne me souviens plus du nom qu’il avait avant, alors je lui
en ai choisit un qui est très courant en France (le plus courant étant
Martin).
[10] Voici le Doctor
S !
[11] Il parle pour lui ! Parce que je
vous déconseille fortement de vous approcher d’un lion autre qu’une
peluche !