Disclaimer : Les personnages et l'univers de gundam wing appartiennent à leur créateurs, sniff, y sont pô à moi!

En revanche mes travaux et les persos que j'ai créé sont ma propriété exclusive.

Bonne lecture, en espérant que ça vous passionnera!

 

 

PROLOGUE

 

 

AC 196 Après que la colonie X-8999 ai déclaré la guerre à la terre sous le commandement de mariemaia, les gundams sont réapparus sous la menace de la véritable opération météore, nombres d'homme se sont ralliés à leur cause et la paix à été sauvée de justesse, après cette attaque des mesures radicales furent prises:toutes les armes furent détruites, les gundams également.Cette nouvelle crise à marqué l'importance de l'action des préventers, une organisation fondée dans le but de maintenir la pérènitée de la paix.Les pilotes de gundams ne se sont pas ralliés officiellement à cette organisation, seul Wufei est resté auprès de Sally, chef de file des préventers.

AC 197, le 8 avril. Prise d'otage au royaume de Sank, ou était organisée une réception pour célébrer la nouvelle ère de paix qui semblait se profiler à l'horizon. Etaient réunis bon nombres de personnalités ayant joué un rôle prépondérant durant ces deux dernière années. Grâce à l'action des préventers et à l'intervention des pilotes de gundam la prise d'otage n'a pas tournée au drame. Cependant de nouvelles revendications semblaient voir le jour dans le coeur des hommes appartenant aux mystérieux corps des épyons terros...

 

 

L'aprés midi de cette chaude journée d'août touchait à sa fin, Relena tint a passer par les écuries avant de partir au gala des sphères unifiées. Dès que l'étalon la vit s'approcher, il quitta ses congénères et vint la rejoindre. Relena s'assit sur la barrière et Anìron posa sa  tête contre son ventre. Elle lui caressa doucement la joue tout en soupirant

-ce soir Anìron, il y a un gala qui vas réunir des politiciens de la terre et des colonies.Je crois que ça vas encore mal tourner, depuis quelques temps les querelles d'intérêt se multiplient, cela ne cessera-t-il jamais?

Relena garda un instant le silence semblant réfléchir au poids de ses propos.

Anìron réouvris ses yeux mis clos, comme apparament inquiet de ne plus entendre la voix de sa propriétaire.En effet depuis que sa vie avait été bouleversée et qu'elle s'était retrouvée à la tête d'un empire du jour au lendemain, Relena avait pris pour habitude de se confier au seul être qui pouvait entendre tout ce qu'elle avait sur le coeur, bien sûr il ne comprenait pas mais il restait cependant auprès d'elle comme semblant ressentir tout le poids qui reposait sur ses jeunes épaules.

Relena sourit faiblement en voyant le regard de son cheval.

-j'aimerais que tout cela cesse, que je puisse enfin vivre...Mais je ne laisserai pas la guerre recommencer, tant que j'aurais encore de l'espoir je me battrais pour préserver le droit à cette chose si belle et si fragile qu'est la vie et dont les hommes pensent pouvoir disposer, se prenant pour des d...

Subitement l'étalon releva la tête et pointa ses oreilles, observant avec attention quelque chose qui se trouvait derrière Relena.Elle réagit promptement et fit volte face.

 

-Relena.

-...Heero...que fait tu là?

Cela faisait plusieurs mois qu'elle n'avait pas reçu de nouvelles de Heero, il avait peu changé, fidèle à l'image du combattant qui émanait encore de sa personne.Elle était heureuse de le revoir, mais le plaisir que Relena avait à être auprès de lui, était  toujours largement effacé par le fait que la présence du pilote présageait à chaque fois un nouveau malheur.

-tu es prise pour cible par des hauts fonctionnaires de la terre et des colonies, en raison de ton engagement en faveur du maintien du désarmement, il semblerait que les épyons terros aient grossis leur rangs.

-cela fait maintenant bien longtemps que je suis une cible, tu es bien placé pour le savoir non?

-Relena, je suis sérieux

-Je sais bien que tout les politiques ne me portent pas dans leur coeurs et je n'ignore pas que les épyons terros aient une influence grandissante, mais c'est ainsi et je refuse de les laisser prendre du terrain en ne les affrontants pas.

Heero fronça les sourcils, Relena acceptait auparavant de le suivre, mais à présent elle ne souhaitait pas sa protection.La voix de heero se fit plus dure

-Allons, tu n'y pense pas, ils ne te laisseront pas t'en sortir ainsi.

Relena tourna les yeux en direction de Anìron, soupira puis se dirigea vers les écuries.

-Si telle est ma destinée murmura t-elle alors.

Heero la rattrapa par l'épaule, se planta devant elle et plongea ses yeux noir et pénétrant dans les siens.

-Risquer ta vie ne maintiendra en rien la paix

Relena durcit aussitôt son regard et se dégagea.

-Le temps des demies mesures est terminé Heero.

-.......En effet.Relena.

Le cliquetis du loquet de sécurité de l'arme de Heero se fit entendre, Relena se retourna et un voile de surprise recouvrit soudain son visage.Elle regarda l'homme qui avait bouleversé son existence, Heero avait son arme pointée sur elle, ses doigts placés sur la gâchette n'attendaient plus que l'ordre de se contracter pour que sa vie s'arrête a jamais. Le coup partit, tout parut se passer au ralentit. Mais la balle continua en réalité sa course et fit éclater la baie vitrée qui ornait le fond de l'écurie.

-Vas t'en Relena.

Heero la regarda une dernière fois.

-Ne leurs laissent pas le luxe de te capturer

Elle vit alors un groupe d'homme ressemblant étrangement au commando qui avait pris d'assaut le royaume de Sank il y a de ça 4 mois se diriger vers les écuries.

-Heero...

En un instant elle se ressaisit, se faufila à travers les éclats de verre et s'enfuit aussi vite qu'elle put.

Heero contracta sa mâchoire

-ça ne vas pas être ça facile de les maintenir à distance encore longtemps, mais je dois couvrir la fuite de Relena.

il tira encore 5 balles puis il se trouva sans munitions; il n'avait pas prévu de faire usage de son arme.Il fallait absolument gagner du temps...

 

-Je me rends

Heero sortit les mains en l'air.

-Ne tirez pas ordonna alors celui qui semblait diriger les opérations

les soldats abaissèrent leurs armes. Heero n'en attendit pas plus et se jeta sur un des hommes, le mis k o par un crochet du droit, ceci eu pour effet que quatre autres   

se jetèrent sur lui.

-Mais bon sang! Arrêter ce gamin! Hurla l'un des hommes de main

Heero se battit comme un beau diable mais on lui asséna un coup violent à l'abdomen, il tituba un instant, puis la crosse d'une arme s'abattit sur sa nuque et il s'effondra.

-Ce gamin comme tu dis sous officier thomas, c'est un pilote de gundam remarqua alors son supérieur qui n'était autre qu'un ancien lieutenant d'Oz, le lieutenant Onze.

 

Relena ne se retourna pas, courant aussi vite que les limites de son corps lui autorisait. Elle se trouvait vraiment la dernière des imbéciles, d'abord d'avoir cru l'espace d'un instant que ce serai Heero qui mettrait fin à ses jours, ensuite d'être obligée de le laisser à un combat incertain dont son idiotie avait été la cause. La seule chose qui lui restait à faire à présent c'était d'échapper a ses ravisseurs. Cependant les hommes en question dès que Heero fut maîtrisé reprirent leurs missions initiale.

-lieutenant, la ministre s'est fait la malle, elle se dirige vers la forêt, on vas perdre le contact visuel.

-Est-elle à portée de tir?

-Mais mon commandant, je croyais que..

-Vous n'êtes pas ici pour croire mais pour obéir!!! Hurla t-il alors              

-Pardonnez-moi, oui elle l'est

-Jefferson prenez ce fusil à lunette et faites moi plaisir, arrêter la moi.

Le sous officier avait parfaitement saisi, il s'empara de l'arme, positionna la lunette sur sa cible en mouvement, il attendit quelques secondes puis tira.

Soudain un froid poignant s'empara du corps de Relena, elle sentit l'objet métallique lui déchirer la chaire, ses jambes fléchirent, le souffle coupé, elle s'effondra.

-bravo Jefferson, joli coup, Thomas et Hanks allez la chercher, Boyd passer moi le talki.

-Ici onze vous avez fini à l'intérieur?

-affirmatif

-Il y a eu des fuites, on a un pilote de gundam sur le dos et les préventers sont peut être pas loin, dépêcher vous de nous rejoindre, on dégage d'ici.

-Bien lieutenant on arrive.

 



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