Fanfic : Gundam Wing

Auteurs : L’idée principale est de PPCU, les autres ont étés trouvées par l’association de PPCU, CC et Lou, mais c’est la plus courageuse (c’est-à-dire moi) qui écrit: Lou.

Style : POV de 2, OOC, portnaouak, délire, yaoï 2+1...

Disclamer : Aucun film sur la vie des langoustes n’est prévu durant cette fic. Le commandant de bord vous rappelle qu’il est déconseillé de manger pendant cette lecture. Veuillez attacher vos ceintures. La compagnie Air Loufoque vous souhaite une bonne lecture et un bon voyage.

Note : ********** indique une coupure dans le temps.

Note 2 : Comme d’habitude, il y a beaucoup de petites notes débiles qui ne servent pas à grand chose, mais qui sont quand même bien marrantes.

Pour m’écrire: voici mon mail loulavenusienne@yahoo.fr . Attention, je n’accepterais que des mails de sympathies ou d’encouragements, tout mail d’insultes sera renvoyé à son envoyeur!

 

 

 

Allô Sally? On a un problème.

 

 

Chapitre 1: Comme quoi il ne faut jamais se mêler des affaires des autres.

 

 

VLAN! Pour une fois que je fais tranquillement la sieste sur le canapé, il faut qu’il y ait un enfoiré qui claque la porte d’entrée[1]. Je me tourne vers la porte du salon, et je vois disparaître par les escaliers le plus beau fessier jamais entré dans un spandex!

« Bon, dis-je à voix basse, qu’est-ce qui a bien pu énerver Heero à ce point ? » Parce qu’il faut bien se le dire, Heero qui claque une porte c’est rare. Généralement il rentre le plus silencieusement du monde chez les gens, histoire de pouvoir les tuer discrètement ou bien pour envoyer l’un de ses virus informatiques. Deux hypothèses me viennent à l’esprit: soit Mister Freeze a croisé Miss Pot-de-colle-rose qui, comme son nom l’indique, ne l’a pas lâché d’une semelle, soit c’est une mission de Robocop[2]. Pour le savoir, il n’existe qu’un moyen: aller directement poser la question à mon japonais préféré.

Avec un gros soupir, je me décide à me lever et je monte les escaliers jusqu’à sa piole. Je frappe mais rentre sans attendre la réponse: de toutes façons, ça ne servirait à rien d’attendre, vu comme il est causant mon copain. Heureusement que j’ai l’habitude d’être accueilli par un revolver pointé sur moi, car c’est exactement ce qui m’arrive. Je me demande pourquoi Heero réagit toujours ainsi quand quelqu’un rentre chez lui en frappant à la porte. Comme si des personnes males intentionnées aller prendre la peine d’être polies avant de le tuer!!!

 

« Alors Hee-chan, qu’est-ce qui ne va pas? Je lui demande alors qu’il baisse son arme. D’après sa position, je dirais qu’il était en train de faire les cent pas avant mon entrée.

- Hn.

- Dois-je traduire cela par « C’est l’aut’pouf qui arrête pas de m’embêter » ou par « C’est à cause du méssant cyborg »? Dis-je en prenant un voix de petit garçon boudeur.

- Baka.

- Oui, moi aussi je t’aime. Pourquoi est-ce que mes déclarations d’amour sont toujours prises comme des blagues?… Euh… Duo, tu feras ton analyse psychologique plus tard!

- …

- Tu ne veux pas me répondre?

- …

- Tu ne veux vraiment pas me dire ce qui ce passe pour te mettre tellement en colère?

- Rien, lâche-t-il sans me regarder.

- Et tu crois que je vais te croire alors que tu as quasiment défoncer la porte d’entrée.

- …[3]

- De toutes façons, je ne bougerais pas d’ici tant que tu ne m’aura pas répondu. Je m’assois sur le lit, enlève mes chaussures, m’installe confortablement contre l’oreiller et croise les bras derrière la tête. Et pour donner encore plus de poids au fait que je compte rester un petit bout de temps, je me mets à chanter « les 100 bouteilles de bières posées sur un mur[4] ». J’ai remarqué que peu de personnes tiennent jusqu’à cent ^__^

- …

- 99 bouteilles de bières sont posées sur un murs, 99 bouteilles de bières sont posées sur un murs, si une bouteille tombe accidentellement, il reste 98 bouteilles de bières posées sur le mur.

- …

- 98 bouteilles…

- …

- 97...

- …

- 96 …

- …

- Quatre-vingt quinz

- Assez, explose-t-il. Tiens, il a tenu moins longtemps que Tro-man le jour où j’ai voulut savoir quel cadeau de Noël il allait offrir à Katoru.

- Alors accouche.

- … C’est J, lâche-t-il avec réticence.

- Qu’est-ce qu’il a encore fait l’autre taré cybernétique?

- … Une mission.

-  Et? Ça m’énerve. Avec lui, pour avoir une info, il faut lui tirer les vers du nez mots par mots!

- … veux pas la faire., marmonne-t-il.

- Hein? Parle plus fort, y a mon sonotone qui est en panne.

- Veux pas la faire.

- Et alors, qu’est-ce qui t’oblige à y aller ?

- D’après J, je serais le seul assez qualifié pour l’exécuter.

- Et en quoi elle consiste ta mission?

- Peux pas te le dire, me répond-t-il en se retournant, gêné, me signifiant ainsi que la conversation est finie.

- Puisque c’est comme ça… »

 

Et je sors de la chambre, furieux contre moi qui n’arrive pas à faire parler plus l’homme de mes rêves les plus osés, furieux contre ce fantasme ambulant qui est têtu comme un troupeau de mules, et furieux contre J qui demande toujours l’impossible à son … hum, comment nommé Heero du point de vue de ce malade? … son cobaye. En plus c’est à cause de ce barge que j’ai pas pu finir le rêve dans lequel Heero me faisait passionnément l’amour… Rah! Je suis tellement énervé que je crois que je vais aller lui toucher deux mots au prof Je-n’aimais-pas-mon-corps-alors-je-l’ai-transformé-en-machine.

 

**********

 

Humpf! Qui c’est qui s’amuse à jouer de la batterie à 6h du mat? Ah! Je crois que c’est dans ma tête. P’tain, j’ai jamais eu de gueule de bois aussi carabinée! Qu’est-ce que j’ai bien pu faire cette nuit? … Aïe, c’est pas bon ça d’avoir encore plus mal au crâne quand on réfléchit. Bon, c’est pas la peine de forcer, je risque de me faire hernie mentale[5]. En plus, ça reviendra bien tout seul. C’est dommage, j’aimerais bien me souvenir, parce que y a que lorsque je suis super content de moi que je me bourre la gueule. Et là, avec ce que j’ai dans la tronche, j’ai au moins du réussir à mettre Heero dans mon lit!

Bon, c’est pas tout ça, mais faut que j’aille me chercher une aspirine… Tiens, c’est bizarre, je ne me souviens pas avoir perdu du poids ces temps-ci, pourtant je flotte dans mon pyjama. On dirait qu’il est trop grand d’au moins deux tailles … Il faudra que je demande à G si c’est normal que mes pantoufles soient devenues trop grandes pour moi en une nuit… Pourtant c’est la bonne pointure… Si c’est une blague… Ça peut pas être une blague, y a que moi qui ai le sens de l’humour suffisamment tordu pour penser à changer les affaires des autres pendant leurs sommeils… Faut vraiment que je prenne une aspirine!

Dans le couloir, je croise le regard d’un Heero tout ensommeillé, qui me fixe bizarrement, et qui, apparemment, retourne se coucher.

Dans la salle de bain, je trouve enfin le cachet tant désiré, mais comme on ne fais jamais de chose simple ici, il n’y a pas de verre, et je suis obligé de me diriger vers la cuisine. J’y vais à tous petits pas, car y a maintenant tout un orchestre de percussions qui s’amuse à répéter dans ma pauvre caboche.

Dans la cuisine, y a que Katoru et Wufei, le premier servant le thé au second, qui lit le journal[6].

« ‘Lut Quat, ’lut Wu », dis-je en traînant mes pieds[7] jusqu’au placard, puis jusqu’au robinet. Quand je me retourne, après avoir bu le cachet miracle contre les maux de tête, je m’aperçois que Katoru me fixe, la bouche ouverte, et que le thé déborde allègrement du bol du chinois.

« Hé, attention », lâche ce dernier en se levant alors que le liquide chaud lui tombe sur les cuisses. Puis il regarde dans ma direction, et il se rassoit, ou tout du moins il essaye, mais il rate sa chaise et il se retrouve les quatre fers en l’air.

 

« Mais qu’est-ce qui t’es arrivé Duo? Me demande mon ami empathe, l’air ahuri.

- J’m’en souviens pas. Mais j’ai dû trop faire la fête parce que j’ai une gueule de bois terrible… Wu, soit gentil, ferme la bouche je peux voir tes amygdales d’ici.

- Tu vas souvent dans des boites de travelos? Me demande le chinois une fois qu’il a réussit à se remettre les zygomatiques en place.

- C’est quoi cette question débile Chang?! »

 

Il est sur le point de me répondre, quand Trowa entre à son tour dans la cuisine. Il regarde tout le monde (c’est sa façon à lui de dire bonjour le matin), et quand son regard se pose sur moi, il a lui aussi un drôle de réaction: il se tourne vers nos deux amis, et leur demande:

« C’est qui cette fille? »

 

J’ai comme l’impression qu’il y a un problème quelque part parce que moi, je vois pas de fille à l’horizon. En plus, ils vont finir par me vexer s’ils continuent à me regarder comme une bête curieuse

 

« C’est à cause de mes cheveux détachés que tu demandes ça, Tro-chan?

- …[8]

- Mais arrêtez de me fixer comme ça! J’ai du noir sur le nez ou quoi?

- Non, me répond Qua-chan avec le plus grand sérieux. Tu as des seins!

-Arrête de déconn… KYYYAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHH!!!!! »

 

A suivre.

 

Duo, hystérique : AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH!

Lou : Quoi? Qu’est-ce qu’il y a? T’as peur d’une souris ou quoi!

Duo, toujours hystérique : Tu m’as transformé en fiiiiiiiiiiiiiiiiiiiille!

Lou : Théoriquement, l’idée n’étant pas de moi, ce n’est donc pas de ma faute!

Duo : Oui, mais c’est toi qui écrit!

Lou : Tu vas pas me dire que ça te plaît pas d’être une fille?

Duo : Tu veux vraiment que je sois franc avec toi???

Lou, se tournant vers les autres G-boys : Et vous les mecs, il vous plaît pas Dudule comme ça?

Heero, regardant Duo : #oOo#

Quatre, regardant Trowa : Tu sais, moi je suis homo!

Trowa, regardant Quatre : Pareil!

Wufei, ne regardant personne : Sans commentaire!

Duo : Et comment ça se fait que je me sois transformé en fille pendant la nuit???

Lou, mystérieuse : Ça, tu le sauras dans le prochain chapitre.

 

 



[1] Lou: J’ai horreur qu’on me réveille quand je dors!!! Alors Duo aussi!

[2] Heero, Réléna et J. Si vous avez ce tiercé dans l’ordre, vous avez gagné…

[3] Promis, le Heero de cette fic n’est pas issu d’un croisement génétique avec Trowa.

[4] Dans un épisode de « Star Gate: SG-1 » c’est ce que chante O’Neill et Tealc pour emm… embêter leurs geôliers.

[5] C’est dans le sketch du « Mannequin ».

[6] Quatre: Dis, tu trouves pas que ça fait vieux couple là?Lou: Y a que toi pour penser à des choses comme ça ^___^

[7] Rappel: ses pantoufles sont trop grandes pour lui, et c’est le seul moyen pour pas qu’il les perde.

[8] Je sais que c’est dur, mais essayez de vous imaginer un Trowa super surpris.



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