Fanfic : Gundam Wing.

Auteur : Lou-la-Vénusienne, grâce aux idées combinées de ma sœur et du gourou adjoint de ma secte.

Style : transsexuel ^___^ , délire, portnaouak, peut-on toujours dire yaoï??? 2+1, OOC, POV de 2...

Disclaimer : Après ce que j’ai fait à un des persos, je peux le garder n’est-ce pas?

Pour m’écrire : loulavenusienne@yahoo.fr .

 

Allô Sally? On a un problème.

 

Chapitre 2: Une expérience plus que douteuse.

 

« AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHH^[1]!

- C’est pas bientôt fini ce rafus, s’exclame Heero en passant à côté de moi, ce qui me fait taire. Il se sert un café noir, en boit une gorgée et enfin se tourne vers moi. La seconde gorgée est recrachée dans un bruit de toux. Non, dit-il quand il peut enfin parler, il n’a pas osé!

- Qui n’a pas osé quoi? Je ne sais pas si c’est dû au fait que j’ai une… une… une poitrine, mais ma voix à virée à l’aiguë.

- Quelle est la dernière chose dont tu te souviennes? Me demande alors Heero d’un ton extrêmement sérieux.

- Euh… Je réfléchis vite, ce qui est difficile vu que j’ai encore plus mal au crâne que tout à l’heure. Je me rappelle que j’étais en train de faire une sieste quand tu es rentré très énervé. Je suis monté te parler, tu m’as dit que c’était à cause de J, alors je suis allé le voir et… c’est tout!

- … Il me fixe, l’air hagard, et fini par dire: Mais c’était il y a un mois!

-QUOI?

- J’aurais dû m’en doutait quand tu n’es pas rentré le soir, marmonne-t-il.

- Te doutais de quoi? Mes trois autres amis viennent de me rejoindre dans mes questions. Peut-être que ça aura plus de poids si on est plus nombreux à l’interroger.

- J t’a transformé en fille, me dit-il, en me regardant droit dans les yeux.

- On avait remarqué que c’était une fille, lâche Wu, on n’est pas aveugle.

- Totalement, poursuit Heero, implacable.

- Comment ça totalement? Je tourne vraiment au soprano là.

- Ben, va aux toilettes,» me répond le japonais en haussant les épaules. 

 

Je quitte la cuisine comme un(e)  somnambule, et je me dirige vers la salle de bain. Je rentre dans cette pièce, me mets face au miroir et me déshabille… Oh God! Je suis devenu réellement une fille! Les… Mes seins n’ont pas du tout l’air d’être en silicone, et mon pénis… Pfuit! Disparu! Moi qui en étais si fier.

En plus, je commence à comprendre pourquoi mes vêtements me semblaient grands tout à l’heure: ma taille c’est affinée, mes hanches se sont arrondies, mes épaules sont plus fines… JE SUIS UNE FILLE!

 

Quand je retourne dans la cuisine après avoir ré-enfilé mon pyjama trop grand, je prend un verre, sort une bouteille de scotch (qui ne sert normalement que lorsque l’un des profs mads vient nous rendre visite), et je m’en sers une bonne dose… Rah! Ca brûle la gorge, mais ça a le mérite de me remettre les idées en place.

Katoru, qui comme tout bon musulman pratiquant ne boit pas une goutte d’alcool, m’enlève la bouteille, et la range dans un placard, loin de moi.

Comme tous mes amis se sont assis autour de la table pendant mon absence, je prends moi aussi une chaise, et je les rejoins.

 

« Alors, je demande, même si ma voix continu à dérailler, comment il a fait cet enfoiré de mes deux?

- Tu te souviens que je t’ai dit que J m’avait confié une mission que je ne voulais pas faire? Que j’aime pas ça façon de répondre à une question en en posant une autre!!! Ca me fait grincer des dents.

- Oui! Très bien.

- Ben, maintenant c’est toi qui vas devoir l’accomplir!

- Quoi? Tu veux dire qu’il m’a transformé en fille pour une mission?!

- Exact!

- Mais c’est affreux, s’exclame Quatre. Comment peut-on faire une chose pareille sur un être humain non consentant, et en plus même pas préparer psychologiquement au changement de sexe?

- Euh, Quatre, dis-je perplexe des pensées exprimées par mon ami, le plus affreux c’est surtout de savoir si je vais retrouver un jour ma condition masculine.

- Tu sais, me répond-il en souriant, mes sœurs sont très heureuses d’être des filles.

- Ouais, mais tes sœurs elles sont nées comme ça! Il est très intelligent, mais parfois je me demande s’il est pas un peu trop naïf.

- Revenons à nos moutons, dit Wufei en regardant Heero. Comment J a réussit à transformer Duo en fille en un mois ?

- Euh… J’ai une question, fais-je juste avant que Heero n’ouvre la bouche pour répondre. Comment ça se fait que vous ne vous soyez pas inquiétés de ma disparition si j’ai été absent pendant un mois entier?

- Nous recevions des mails de toi tous les jours, et il y avait un mot sur la table de la cuisine disant que tu étais parti seul en mission, me répond Trowa.

- Si tu veux, je les ai tous conservés, me confie Quatre. Il se lève et monte sûrement dans sa chambre pour les chercher. En effet, deux minutes plus tard, il est de retour et il me tend le message dactylographié et les mails tirés de l’imprimante.

- Les mecs, dis-je en lisant le mot puis les mails, vous m’avez déjà entendu employé un mot tel que « subrepticement »? Je sais même pas ce que ça veut dire alors comment je pourrais faire pour l’employer???

- Ca veut dire clandestinement, me répond Wu.

- Merci, je dormirais moins con ce soir.

- Moins conne, me corrige Wufei avec un petit sourire énervant.

- Ouais, c’est ça, je marmonne. J’espère qu’il va pas me faire sentir tout le temps que je suis une femme maintenant. Manquerait plus qu’il me donne du "onna" à tout bout de champs.

- En fait, je n’en sais rien, dit Heero alors qu’un silence plane dans la pièce.

- Tu peux répéter la question? Je suis pas bête, loin de là, mais j’ai la très nette impression d’avoir raté un épisode.

- Je ne sais pas comment J a réussit à transformer Duo en fille, reprend le japonais de mon cœur.

- Et si on pose la question à J? demande innocemment Quatre.

- Tu crois qu’il va répondre?! Je parie tout ce que tu veux qu’il est si fier de ce qu’il m’a fait qu’il ne va sûrement pas nous répondre, histoire de d’abord faire breveté son expérience douteuse.

- La seule solution, dit Trowa, ce serait d’appeler Sally pour qu’elle viennent t’examiner.

- Mais je ne suis pas malade!

- Oui mais elle pourra peut-être nous dire ce qui c’est passé, me rassure Quatre. Allez, suis-moi, poursuit-il en me prenant par le bras, j’ai acheté des vêtements pour mes sœurs, peut-être qu’il y a ta taille?

- Tu crois que t’a aussi des chaussures à ma pointure? Je le supplie presque, tant j’en ai marre de devoir recroquevillé mes orteils pour pouvoir faire tenir mes pantoufles.

- On peut toujours demandé à Sally de t’en amener, me répond-il en souriant.

- Il faudrait peut-être lui expliquer ce qui m’est arrivé avant qu’elle vienne, non?

- T’as raison, approuve l’arabe. Je lui téléphone. »

Il est vraiment sympa, Katoru, mais il y a un piti problème : tous les vêtements de femmes qu’il a ce sont des robes, des jupes!!! Je ne vais certainement pas m’habiller ainsi! Et puis, y a un autre problème : mes sous-vêtements ne me vont plus : ils sont devenus, comme le reste de mes affaires, trop grands. Et puis maintenant à quoi ça me servirait de porter des caleçons moule-burnes si y a plus rien à mouler, hein?

Finalement, quand Quatre frappe à la porte de sa chambre où je me suis enfermé(e), je suis affalé sur le lit, face à l’armoire ouverte, toujours en pyjama, et des larmes coulent sur ma masculinité perdue. Je sais, je sais « Boys don’t cry », mais comme je suis plus un « boy »…

En me voyant pleurer, Quatre s’approche de moi et me sert dans ses bras, puis il va me chercher un grand bol de glace au chocolat (d’après lui, c’est le meilleur remède contre les coups de cafards) : ça fait du bien parfois de se faire chouchouter!

Du coups, quand Sally arrive avec une grande valise, elle me trouve avec une grande moustache de chocolat autour de la bouche : j’ai jamais réussit à manger une glace sans m’en mettre jusqu’aux oreilles ^__~

« Ben ça alors! S’exclame le médecin des résistants.

- C’est bluffant, hein?

- Tout à fait bluffant Wufei, approuve Sally.

- Dites, quand vous aurez fini de parler de moi comme si j’étais une chose stupide et sourde, Sally pourrait m’examiner! C’est vrai ça, c’est énervant d’entendre parler de soi comme si on n’était pas là.

- C’est juste, acquiesce la jeune femme. Messieurs,  sortez je vous pris… Pas toi Duo!

- Désolé, fais-je contrit, y a peu j’étais encore un homme. »

 

Elle me sourit et ferme la porte derrière Quatre. Puis elle ouvre sa valise et en sort des sous-vêtements féminins, un jean, un pull col V.

« Tiens, me dit-elle en me lançant une petite culotte en coton blanc et un soutiens-gorge de la même couleur, essaye. »Puis elle se retourne pour me laisser un brin d’intimité.

Pour la culotte, pas de problème, je trouve l’endroit grâce à l’étiquette… Chouette, elle me va! Pour le soutif, c’est plus compliqué : je sais comment ça s’enlève, mais comment ça se met ce machin-là?

« Euh, Sally, tu peux m’aider s’il te plaît? »

En un temps trois mouvements, elle m’a mis mon soutif.

« Ca va, il sert pas trop? Me demande-t-elle en m’ajustant les bretelles.

- Non, je crois que c’est bon. Comment t’as fait pour savoir quelle taille il me faudrait?

- J’ai un logiciel de morphing sur mon ordi. Il est génial car il va respecter les proportions des gens. D’habitude je m’en sers quand je dois trouver une nouvelle apparence pour l’un des résistants. Et quand Quatre m’a appelé, j’ai entré ta photo dans ce logiciel, j’ai tapé fille, et je t’ai eu devant moi, avec les différentes tailles qui t’iraient. Elle sort un papier imprimé et le lit. Alors, je t’annonce que tu chausses désormais du 37, que tu ne pèses plus que 48 kilos^[2], que ta taille de vêtements est le 38 ou le 36, et que ta taille de soutif est du 90C.

- Je comprends maintenant pourquoi mes pantoufles sont devenues trop grandes : je chaussais de 41!… Tu me file le jean et le pull, je commence à avoir froid.

- Je vais d’abord t’examiner, me répond-t-elle en sortant une drôle de machine de son sac. C’est une nouvelle sorte d’échographe, m’explique-t-elle en le branchant sur le secteur. On s’en sert pour détecter les anomalies du système digestif, ou de la prostate, ou encore sur les ovaires.

- Et tu vas en faire quoi? Elle vient de me faire allonger, et je frissonne alors qu’elle me met sur le ventre un gel très froid.

- Je vais vérifier si on t’a fait une opération. »

 

Elle se met alors à me passer sur le ventre un truc qui ressemble à la machine des caissières pour choper les codes barres sur les sachets de chips. En même temps, elle regarde une petite télé. Je la vois froncer les sourcils, et repasser sa machine au raz de l’élastique de ma culotte.

 

« Y a quelque chose qui ne va pas? Je demande inquiète (s’il faut que je m’y fasse, autant commencer dès maintenant à utiliser le féminin, n’est-ce pas?)

- Tu as des ovaires!

- Hein? Je m’exclame en essayant de me relever, mais elle me met une main sur l’épaule et m’oblige à me recoucher.

- Il n’y a aucune cicatrice, poursuit-elle, toujours en regardant l’écran.

- Ce qui veut dire? Elle tourne enfin son regard vers moi.

- Il n’y a pas eu la moindre opération chirurgicale!

- Mais comment J a fait pour me transformer en fille alors?

- Je ne sais pas, mais je dois faire un examen plus approfondi, me répond-t-elle en sortant une seringue. Je vais d’abord analyser ton sang, et puis je vais te faire un examen gynécologique.

- C’est vraiment nécessaire? Ma voix vient encore de dérailler vers les aiguës.

- Il faut savoir si tu es normalement constituée, en tant que fille », me réplique-t-elle en sortant des gants. 

 

 

Finalement, c’est désagréable, mais elle m’a assuré que j’étais une femme très normale… Elle m’a prise un peu de sang, et m’a dit qu’elle allait l’examiner immédiatement. Elle a rajouté qu’elle repasserait dans l’après-midi pour m’apporter les résultat. Ensuite, elle m’a tendu le jean et le pull, et elle m’a laissée m’habiller.

 

Je sors enfin de la chambre de Quatre, et je me dirige vers la cuisine, où les voix de mes amis me parviennent.

Quand j’entre, un grand silence se fait. Je remarque que Sally n’est plus là.

 

« Alors? Me demande Quatre, anxieux. Je crois que c’est le fait que les autres soient tous inquiets qui le rend anxieux.

- Ben, Sally ne vous a rien dit?

- Non, secret professionnel, me répond Trowa.

- Ben, je suis une fille normale.

- … Ils me regardent tous les quatre avec de grands yeux surpris.

- Tu veux dire que… commence Quatre.

- Que j’ai des ovaires et un clitoris à la place des testicules et du pénis. Bon, ça a le mérite d’être clair et net, mais aussi celui de les faire tous rougir. Quoi?! Il faut toujours appeler un chat, un chat!

- Dans ton cas, ce serait plutôt une chatte, rigole Wu.

- Tiens, tu fais de l’humour maintenant, je lance, un peu vexée. Bon, revenons à nos brebis, je reprends en souriant (moi aussi j’ai de l’humour), Sally a dit qu’elle reviendrait cet après-midi.

- Elle a trouvé comment J a fait? Me demande Heero, en fuyant mon regard. J’ai la très nette impression qu’il se sent responsable de ce qui m’arrive.

- Non. Il n’y a aucun signe de chirurgie. Et puis même, quand un homme veut devenir une femme, on ne lui greffe pas les organes génitaux féminins, ni des glandes mammaires en prime! Bon, pour le coup, plus personne ne me regarde, et ils sont tous rouges comme une tomate trop mûre! Qu’est-ce que vous êtes prudes!

- C’est toi qui parle de chose… dont on ne parle pas entre homme d’habitude, me réplique Wufei.

- Ouais, mais moi, je ne suis plus un homme.

- Je me demande… commence Trowa.

- Oui? Encourage son amant.

- Si Sally, Hilde ou Catherine ne devrait pas venir habiter ici quelque temps.

- Pourquoi? Demande Heero.

- Ben, poursuit le français qui d’habitude n’est pas autant bavard, si Duo a des questions, l’une d’elle pourra y répondre.

- Bonne idée, j’approuve avec enthousiasme.

- Pas Catherine, dit Wu. Elle ne fait pas parti de la résistance, et si on la voyait avec nous, elle aurait des problèmes.

- Ok, consent Tro-man.

- Sally alors, dit Heero. C’est la plus qualifiée si jamais Duo a un problème.

- Et pourquoi pas Sally et Hilde?

- Non, on n’a pas assez de place, répond Wu en secouant la tête.

- Question : où Sally va dormir? Ah ah! J’ai pensé à une question à laquelle les autres n’ont pas songé.

- Dans ma chambre, lance Trowa. Moi j’irai dormir dans celle de Quatre.

- Bon, ben il reste plus qu’à la convaincre de rester, dis-je en me levant. Qui prépare à manger? Je demande en les regardant tous les uns après les autres. Eux, me fixent… Non! C’est pas parce que je suis devenu une femme que je dois faire les corvées ménagères! En plus, qui vous dit que le talent culinaire s’acquière automatiquement chez les femmes?!

- Ca vous dit un resto chinois? » Demande alors Wufei. Il doit encore se souvenir de la dernière fois où il a été malade à cause de ma cuisine. C’est quand même pas ma faute si le sel et le sucre sont dans les bouteilles similaires!!!

 

Quand nous revenons après avoir mangé le plus de nems possibles, nous trouvons Sally dans la salle à manger. Pas la peine de lui demander comment elle est entrée, il suffira de faire changer le serrure de la porte d’entrée.

 

« T’as trouvé? C’est magnifique, à force de vivre les uns avec les autres, on fini par être synchrone dans nos questions.

- Oui. J a utilisé un rétrovirus.

- Quésaco? c’est peut-être pas une question très intelligente, mais j’ai pas fait d’étude de bio ni de médecine alors…

- C’est une espèce de virus qui contient de l’ARN qui est retranscrit en ADN quand il infecte une cellule vivante. Le virus du sida, par exemple, est un rétrovirus^[3].

- C’est quoi l’ARN? Ce coup ci, c’est Trowa qui a posé la question.

- Pour être simple, c’est ce qui sert normalement à traduire notre code génétique en protéines, explique le docteur Pô.

- Mais comment un rétrovirus a pu transformer Duo en femme? Demande Quatre.

- Tout simplement parce que J l’a modifié dans ce sens. Il a inséré dans son virus une enzyme qui va aller attaquer le chromosome Y et le remplacer par un chromosome X. En voyant nos mines perplexes, elle explique : chez l’homme, il y a un chromosome X et un autre Y, ce qui fait de lui un mâle, et chez la femme, il y a deux chromosomes X. Donc, si le virus détruit le Y et le remplace en X on transforme un homme en femme^[4].

- Et tu crois que je vais redevenir un homme un jour?

- Je n’en sais rien, me répond-t-elle franchement. Il faudrait aller voir J.

- Bonne idée. Si on y aller maintenant? »

 

Comme m’a proposition est approuvé, nous nous dirigeons tous (et toutes) vers le labo du prof cybernétique.

 

« Bien sûr qu’il pourra redevenir un homme, nous répond J alors que nous l’interrogeons. Mais seulement lorsqu’il aura accomplis la mission pour laquelle je l’ai métamorphisé.

- Lâche moi, dis-je au français, je vais le réduire en bouilli! Je m’exclame en me ruant vers lui.

- Certainement pas, me répond Trowa en me serrant un peu plus fort. Si tu le massacres, comment crois-tu que tu pourra redevenir un homme ?

- Et quelle est cette mission? Demande Heero, alors que je me calme.

- Vous introduire dans un concours de mode organisé par la fondation Romefeller. Le général Kushrenada y sera en temps que membre jury. D’après nos informateurs, il devrait remettre des plans d’une nouvelle arme révolutionnaire qui pourrait très bien détruire le gundamium. Vous devrez donc récupérer ces plans et les échanger contre d’autres falsifiés.

- Mais on aurait très bien pu faire cette mission sans transformer l’un de nous en fille, proteste Quatre.

- Il est beaucoup plus facile pour un mannequin de s’approcher du jury, explique J avec un sourire démoniaque sur le visage.

- Et on n’aurait pas pu utiliser un maquillage, des rembourrages, au lieu de faire ça? Insiste l’héritier de la famille Winner.

- Non, c’est un défilé de sous-vêtements féminin. »

 

A suivre.

 

Duo, se ruant sur la ficeuse : Je vais la tuer.

Lou : C’est même pas moi!

Duo : Ah oui?! Et c’est qui alors? Ton lapin blanc?

Lou : Laisse mon piti Bourru hors de tout cela! Lui il ne fait que manger ses carottes.

Bourru, d’accord : Scronch, scronch, scronch.

Quatre, gratouillant la tête du lapin : Qu’il est mignon!

Lou, contente : N’est-ce pas?

Trowa : Il a les yeux rouges.

Lou, philosophe : Normal pour un albinos!

Duo, hystérique : Et qu’est-ce que tu vas faire pour moiiiiiiiiiiiiiiiiii?

Lou : Toi, tu vas aller défiler en soutif et en string devant des milliers de personnes.

Duo : JAMAIS!

Lou : Tu peux protester autant que tu veux, de toutes façons t’as pas ton mot à dire.

Heero, chuchautant à l’oreille de la ficeuse : T’as un appareil photo?

Lou, répondant de la même façon à Heero : Bien sûr!

Duo, soupçonneux : Qu’est-ce que vous manigancer tous les deux?

Lou et Heero, l’air innocent : Nous… Rien!