Fanfic : Gundam Wing

Auteur : Lou-la-Vénusienne, la seule, la vraie !

Style : POV de 2, hétéro (désolé pour les fans de yaoï, mais j’aime aussi écrire des fics hétéros !), OOC, délire personnel… retrouvailles !

Disclamer : Je l’avoue, les persos masculins de cette fic ne sont pas à moi… quoique ! Je les ai tellement changé qu’ils sont un peu à moi, non ? En tous cas, les persos féminins sont à moi et à ma sœur CC (elle me les a prêtées).

Note 1 : Pour ceux qui ont lu ‘Virus’ de CC et moi, vous allez retrouver Lizzie, Gabi, Nat, Mona et Lucille les 5 G-girls ! Pour les autres, allez d’abord lire ‘Virus’ et revenez lire cette fic, paske j’ai pas envie de réexpliquer qui sont ces demoiselles !!! Je fais pas parti des PME (Partisans du Moindre Effort) pour rien !

Note 2 : Ce qui est en italique, c’est les pensées de Duo pendant les dialogues, ou alors c’est des indications scéniques, c’est à dire : qui parle, la gestuelle, l’intonation de la voix…

Contexte historique : L’histoire se déroule 5 ans après ‘Virus’, la paix est installée, les G-boys travaillent pour la Fondation Peacecraft ( Arigato[1] PPCU  pour m’avoir permis d’utiliser ton invention!) mais toujours sous les ordres des profs mads ! Puisque la guerre est finie, Heero a pu décongeler ses sentiments même s’il est toujours aussi efficace dans ses missions ! Les G-boys n’ont pas revu les G-girls depuis ‘Virus’, mais ils s’écrivent des mails, des lettres et se téléphonent souvent. Avec ça, j’espère que vous apprécierez votre lecture !

Vous pouvez envoyer vos commentaire à loulavenusienne@yahoo.fr j’en serais contente.

 

Vacances !

 

Chapitre 1 : Le contrat !

Drrrrrriiiiiing ! Drrrrrriiiiiing ! Drrrrrriiii…

« ‘lo ! fis-je, encore à moitié endormi.

-   Salut Duo ! fait une voix joyeuse et féminine qu’il me semble connaître. Comment ça va ? Cette intonation chantante, malicieuse, intelligente et espiègle, mais qui sait se rendre froide et coupante comme les rayons lasers des yeux de Death Thunderstrucking[2], dit DT, c’est forcément celle de...

-   Li… Lizzie ! J’aurai dû me douter que c’était ma jumelle. Ca me fait plaisir qu’elle appelle mais ça me met qu’en même en rogne de me faire réveiller par le téléphone, surtout quand je ne l’ai pas demandé au room service  et que je suis pas dans un hôtel! Tu sais quelle heure il est ? je lui demande en baillant.Il y a combien d’heures de décéla

-   Ben, 16h30 ! fait la voix surprise de ma sœur.

-   Pas ici : il est, je regarde le réveille et m’écris, 2H30 DU MATIN ! Je me doutais qu’il était tôt, mais à ce point !

-   Désolé, p’tit frère, j’ai oublié qu’on est pas dans le même fuseau horaire ! A sa voix, j’entend qu’elle est vraiment contrite, du coup, je me radoucis.

-   C’est pas grave ! Maintenant que je suis réveillé, tu me dis pourquoi t’appelles ? je lui demande, tout en coinçant le téléphone contre mon épaule, pour m’étirer, me lever, m’asseoir à mon bureau, et prendre la photo de Lizzie dans ma main gauche, puis reprendre le téléphone en main[3]. Comme ça, en regardant sa photo j’ai l’impression qu’elle est en face de moi!

-   C’était pour te demander quand c’est tes vacances et si tu veux partir avec les filles et moi ! Bien sûr les autres G-boys sont invités aussi !

-   Euh… J’ai bien entendu le mot ‘vacances’ ? dis-je perplexe.

-   Oui, me répond-elle enthousiaste, ou si tu préfère, je peux employer le terme ‘congés payés’.

-   Désolé, mais c’est pas dans le vocabulaire des profs… enfin, surtout celui de J.

-   Mais, me demande-t-elle intriguée, c’est pas spécifié dans ton contrat d’embauche à combien tu as droit de jours de congés ?

-   Contrat… Mais j’ai jamais signé de contrat ?!

-    Mais… et pour ta paye ?

-   Ben, je touche environ 100 crédits par semaine, de quoi acheter le strict nécessaire.

-   Je te croyais pas aussi naïf, fréro, reprend Lizzie après un petit silence. T’es en train de te faire rouler dans la farine comme un bleu !

-   Qu…quoi ? je m’exclame indigné.

-   Les profs sont en train de t’avoir en beauté sur toute la ligne, continue-t-elle impitoyable. Ils t’exploitent et toi tu ne t’aperçois de rien !

-   Si ce que tu dis est vrai, alors pourquoi Quatre ne nous a rien fait remarquer, lui qui a baigné dans la finance depuis son plus jeune âge ?

-   Peut-être parce que c’est quelqu’un de riche, et que pour lui l’argent n’a pas beaucoup d’importance. En plus, il doit sûrement recevoir des trucs de sa famille !

-  

-   T’es toujours là ? s’inquiète Lizzie. Tu ne t’es pas rendormi au moins ?

-   Non ! C’est juste que tu m’as coupé le sifflet ! Et je dois avouer qu’il n’y a pas beaucoup de monde qui y arrive ! Tu m’explique en gros en quoi consiste ton contrat s’il te plaît ? je lui demande avec un brin de détermination. Suivant ce qu’elle va me dire, j’établirais un plan pour reprendre l’honneur que j’ai perdu en me faisant avoir comme un débutant.

-   Bon alors, fait-elle après un silence, le temps sûrement de mettre ses idées en ordre, j’ai signé un CDI, ça veut dire Contrat à Durée Indéterminée, avec une close où il est dit qu’ils peuvent pas me virer sauf si je fais une faute très grave, comme de révéler le contenue d’une mission ultra secrète à l’ennemi, enfin des trucs de ce genre ! »

 

Heureusement que je parle comme elle, avec le même débit, parce qu’au sinon je serais largué. Surtout quand il est un peu plus de 2h30 du mat’. Mais comme ce qu’elle me dit m’intéresse, je ne risque pas de me rendormir… Je dois avoir un sourire un peu idiot sur les lèvres, car je viens de penser qu’elle pourrais très bien être virée, car elle m’a déjà raconté certaines de ses missions !

 

«  T’inquiète pas, rajoute-t-elle, tout ce que j’ai pu te raconter ne compte pas. A croire qu’elle lit dans mes pensées !  Ensuite, y a mon salaire et mes heures de travail. Je travaille 35 heures par semaine, chacune étant payée 80 crédits. Donc, quand je n’ai pas de mission, je touche … 2800 crédits par semaine, elle doit se servir d’une calculette parce que moi, je suis incapable de faire une multiplication de tête[4]. Par contre, si j’ai une mission, je touche en plus des crédits pour les heures supplémentaires que j’effectue.

-   Des heures sup ? je demande stupidement. Même pour moi, cette question me paraît idiote.

-   Ouais, reprend-elle gentiment. Par exemple, m’explique-t-elle, si ma mission dure trois jours, c’est comme si je travaillais 72 heures d’affilées. Je touche donc 2800 crédits pour les 35 premières heures, puis 160 crédit par heures sup. En tout, je touche … 5920 crédits pour les 37 heures suivantes, ce qui fait … 8720 crédits. Après cette mission, j’ai le reste de la semaine pour me reposer.

-   C’est la deuxième fois en 20 minutes qu’elle me coupe le sifflet ! Faudrait pas que ça devienne une habitude ! Finalement, j’arrive à articuler : Et qu’est-ce que t’en fait de tout cet argent et de tout ce temps libre?

-   Ben, pendant mon temps libre, je fais du sport, du shopping, je vais au ciné et je prends des leçons de cuisine chinoise. Ah oui, il ne faut pas que j’oublie qu’elle en pince vachement pour Wuffi. S’il devient mon beau-frère, je vais pouvoir continuer à l’embêter pendant longtemps : le pauvre ! Et avec l’argent, poursuit-elle, j’ai ouvert un compte chèque, un livret A et avec les copines on a pu devenir propriétaire d’une super baraque !

-   T’as une maison ?!

-   Vivivivivi, fait-elle enthousiaste. Y a un grand salon avec un home vidéo, un lecteur de DVD qui fait aussi graveur, deux canapés en cuir, quatre  fauteuils assortis aux canapés et une grande table en bois très belle avec les chaises qui vont avec. Et pis, y a une super cuisine, où y a tous les robots modernes, et une autre table. Y a aussi cinq grandes chambres avec une salle de bain attenante à chacune. Et y a aussi un grand jardin de 1000 mètres carrés. Et elle me dit tout cela sans reprendre son souffle ! Je commence à comprendre pourquoi les autres trouvent que je les saoule parfois. Mais je me demande si je ne suis pas un peu jaloux : elle a un foyer à elle, qu’elle partage avec ses amies parce qu’elle l’a choisi, et moi, je vis toujours dans une base ou une planque inconfortable, dans une chambre tellement impersonnelle, que je suis obligé de la mettre en désordre pour savoir que c’est la mienne !

-   Donc tu as une maison, de l’argent et du temps libre, je récapitule. Et tu as d’autres avantages ?

-   Comme je te le disais il y a … 40 minutes, elle a du regarder sa montre et calculer depuis combien de temps on discute, j’ai aussi droit à des congés payés. C’est à dire que pendant mes vacances, je touche 2800 crédits par semaines, comme si je venais travaillais.

-   Et t’as droit à combien de jours de vacances ?

-   Quinze jours tous les trois mois. Mais comme je n’ai pas eu de vacances depuis bientôt neuf mois, on va prendre, avec les filles, un mois de congé au soleil !

-   T’as déjà décidé où vous allez partir ?

-   Non ! On attend votre réponse ! Alors, tu viens ?

-   Je vais tout faire pour ! je répond, déterminé. Et puisque J m’a grugé, il va payer le prix fort ! Allez, salut p’tite sœur ! Je te rappelle plus tard ! »

 

Il est 7 heures du mat’, et je viens de passer près de 4 heures à concocter un semblant de contrat. Je vais le refiler à Wu et lui demander de voir si c’est crédible et légal. J’espère qu’il va dire oui, parce que j’ai horreur de me crever le cul pour rien.

Quand j’arrive dans la cuisine de notre planque, les autres ont l’air vachement surpris : il faut dire que j’ai jamais été un lève tôt.

« Ben alors Duo, me demande Heero en rigolant[5], t’es tombé du lit ce matin ?

-   Qui c’est qui t’as poussé ? renchérit Quatre hilare.

-   Umpf, telle fut ma réponse. Café, dis-je en m’approchant de la cafetière pleine et en prenant  un bol.

-   Pas très causant, constate Wu pendant que j’ingurgite mon café. Humm, qu’est-ce que ça fait du bien de prendre un exitant[6].

-   Et en plus, je suis de très mauvaise humeur, je confirme. Tiens, de boire du café m’a rendu ma diction.

-   Qu’est-ce qui se passe ? me demande pragmatiquement Trowa. Il me connaît bien le bougre ! Il sait que je suis de mauvaise humeur seulement quand il y a une merde quelque part.

-   Lizzie m’a appelé cette nuit à 2h30.

-   Et elle va bien ? s’inquiète Wu. Ahaa ! Ma frangine fait toujours autant d’effet sur mon ami chinois !

-   Très bien, je le rassure en souriant. Elle voulait juste savoir si on voulait partir avec elles toutes en vacances. »

 

Devant leurs mines stupéfaites, je leur relate le coup de téléphone, puis je tend le ‘contrat’ à Wu, notre expert en droit et en justice : il suit des études par correspondance, et en est déjà à sa maîtrise de droit. Quatre s’y penche aussi dessus en tant que spécialiste financier : à force d’aider son père à gérer sa société pendant ses très rares congés, c’est devenu un véritable professionnel. A voir la tête de l’empathe, je pense qu’il se sent coupable de ne pas avoir remarquer qu’on se faisait exploiter. Avec Trotro et Hee-chan, on s’assoit en face d’eux, et on les regarde faire quelques corrections. Quand ils ont fini, ils tendent le contrat à Heero, qui est, grâce à un accord tacite, notre meneur,et Trowa et moi nous nous penchons pour le lire.

Finalement, le japonais propose que, si les profs n’acceptent pas ce contrat, on se mette en grève. Trowa hoche la tête en signe d’approbation, et je me rend compte que ces deux-là ont réellement changé depuis la fin de la guerre : le soldat parfait glacial du début exprime enfin ses sentiments, qu’il a de l’humour et Trowa, malgré son calme et sa grande timidité[7], s’implique beaucoup dans notre amitié et ferait tout pour nous aider s’il le fallait ! En fait, ils sont devenu bien plus accessibles quand ils ont enfin laissé tomber ce qu’ils considéraient comme des grands défauts : l’amitié, la compassion.

 

« C’est une très bonne idée, approuve Quatre. Hein ? Quelle idée ? … Ah oui ! La grève ! Note à moi-même : ça ne me réussit pas du tout de me réveiller à 2h30 du mat’. C’est un excellent moyen de pression, continue-t-il, et comme les profs ont besoin de nous pour exécuter les missions qu’ils nous confient, et que ce serait beaucoup trop longtemps de reformer d’aussi bons pilotes de Gundams que nous[8], ils seront obligés de céder à nos exigences ! »

 

Finalement, nous arrivons avec 10 bonnes minutes de retard pour le briefing quotidien. Les profs O, H, S et G sont calme, mais J commence directement à nous agresser.

« C’est à cette heure si que vous vous pointez ! nous crie-t-il après.

- Ma sœur m’a appelé très tôt ce matin, je lui répond stoïquement.

- Hé alors ! C’est pas une raison pour être en retard ! C’est pas en papotant au téléphone qu’on arrivera à consolider la paix entre les colonies et la Terre !

- Ouais, ben moi on m’a engagé pour qu’il y ait la paix, pas pour la faire durer. Alors puisque c’est quand même mon boulot, j’exige d’avoir les 35h, les congés payés, une grosse augmentation vu qu’on n’en a pas vu l’ombre d’une depuis le début de cette histoire sinon je porte plainte contre vous à Réléna pour esclavagisme !

- Qu…Quoi ? s’exclament les profs. Je crois que mon petit speech les à scier !

- Ben oui, fis-je d’un ton docte, nous sommes, nous pilotes de Gundams, des travailleurs comme les autres, or nous n’avons jamais signé de contrat de travail, nous travaillons beaucoup plus que nous ne le devrions, nous gagnons aussi beaucoup moins que ce que gagne un simple docker dans un port de pêche, nous n’avons jamais eu le moindre jour de vacances depuis 5 ans, et nous n’avons même pas d’assurance de travail, au cas où nous serions blesser pendant une de nos missions. Les profs se lancent des regards qui signifient qu’ils n’ont jamais penser à ça, sauf J qui fulminent et qui est devenu rouge de colère. Le prenant de cours, je poursuit imperturbablement mon discours et pose le contrat sur la table. Voici un contrat que les gars et moi, à ces mots Quatre tique un peu mais ne dit rien, avons rédiger. Nous y demandons seulement ce dont nous avons le droit : toutes les closes ont été vérifiées par Wufei avec minutie, et tous les calculs ont été lus, corrigés et approuvés par Quatre. »

 

J s’approprie vivement la feuille et commence à la lire, tandis que les autres profs s’approchent de lui et lisent par dessus ses épaules. Alors que J devient de plus en plus rouge, je vois G afficher un sourire qui devient de plus en plus prononcer.

 

« C’est inadmissible ! hurle enfin J.

- Sachez, intervient alors Heero avec son regard-de-la-mort-qui-tue-la-vie-plus-rapidement-que-Death-Scyth-extermine-ses-ennemis-sur-le-champs-de-bataille® qu’il arrive toujours à faire, bien que Iceman ait dégelé depuis la fin de la guerre, que si vous n’accédez pas à nos demandes, nous sommes prêts à nous mettre en grève illimitée.

- Mais… mais… mais qui fera vos missions ? bégaye J tout d’un coup affolé de voir que son élève se rebelle enfin contre son autoritarisme.

- Si on est en grève, poursuit Heero, personne.

- Mais c’est une augmentation de plus de 300% que vous demandez ! s’exclame J.

- Parce que vous ne nous avez jamais augmentés une seule fois en 5 ans, continue Heero.

- Vous voulez travailler seulement 35h et que les heures sup soient payées le double des heures normales.

- Et aussi avoir tous les jours de congés, payés bien sûr, que nous n’avons jamais eu, intervient Katoru. Nous avons droit à quinze jours par trimestre, ce qui fait deux mois complet par an, ce qui fait donc dix mois en tout !

- Moi je trouve ça normale, intervient G. Surpris, les autres profs se tournent vers lui et attendent ses explications. C’est vrai qu’ils travaillent beaucoup trop, qu’ils sont sous payés, qu’ils n’ont jamais de vacances et qu’il leur faut une assurance tous risques… Où c’est qu’il faut signer les jeunes ? finit-il avec une sourire en notre direction.

- Je suis d’accord avec vous, réagit O, moi aussi je signe !

- Je propose, dit alors S, que nous votions à main levée pour savoir si on signe ou pas ce contrat. Qu’en penser vous ? Tous les profs opinent de la tête. Que ceux qui sont pour signer ce contrat lèvent la main ! A ces mots, tous, sauf J, lèvent le bras. A la majorité absolue, ce contrat est accepté. Et nous devons tous, même toi J, signer ce papier qui est valable immédiatement. J’adresse alors un clin d’œil à mes amis.

- Tenez vos salaires, dit H qui a signé le premier et qui a rédiger des chèques pour nous. Dessus, il y a les 300% d’augmentation demandée, les heures qui n’ont jamais été payées, les indemnités de logements auxquelles vous avez droit, etc. Ce qui fait un montant de 4 960 350 crédits.

- Merci beaucoup, je lance avec un grand sourire et en prenant mon chèque. Allez, chaos les papy !

- Mais tu vas où ? s’exclame G.

- Dormir et prendre mes vacances, dis-je avec un sourire espiègle avant de sortir de la pièce. C’est qu’on en a pas mal à récupérer. »

 

Les autres pilotes me suivent et à peine sommes nous arrivés dans notre planque qu’ils se mettent à discuter de notre prochaine maison, rien qu’à nous. Avec tous nos sous, on va pouvoir acheter une grande maison, économiser et placer notre argent en bourse (je crois que je laisserais Katoru s’en occuper) et prendre enfin de super vacances au soleil. D’ailleurs, nous sommes tous d’accord pour partir avec ma frangine et ses copines. Je propose alors de les appeler pour leur dire.

« Il y a combien d’heures de décalage avec les filles ? demande Wu.

- Environ 8. Pourquoi, tu veux parler à ma petite sœur ? fis-je avec un sourire taquin. En le voyant rougir, les autres rigolent doucement. T’inquiète, dès que je lui aurait parler, je te passerais la communication. Il est 11h ici, dis-je en regardant ma montre, donc, ça fait 3h pour elle. Super, je vais pouvoir me venger ! »

 

Finalement, après avoir réveillé Lizzie, lui avoir dit que nous pouvions partir avec elles, on s’est mis d’accord sur le lieu de nos vacances, et nous avons choisi Honolulu, la ville principale de Hawaï. Je sais que c’est un peu surfait comme lieu touristiques mais qui peut résister aux plages de sable fin entourées de palmiers et de cocotiers, le tout à 5 min du centre de la ville. En plus, avec le salaire qu’on a touché, on va pouvoir réserver dans un hôtel 5 étoiles !!! Quand je donne la communication à Wu, une chape de plomb s’abat sur moi. Je me tourne vers Quatre, lui demande de faire toutes les réservations, parce qu’il connaît mieux que nous les meilleurs hôtels du monde, puis je vais manger même s’il est tôt et je monte me coucher avec cette idée en tête : je suis millionnaire !

 

A suivre.

 

 

Lou : Vous avez vu les gars, pour une fois une autrice vous fait gagner des sous !

Duo : ouais, mais pourquoi c’est moi qui suis réveillé à 2h du mat ?

Lou : Arrête de te plaindre, et pense aux vacances aux soleil que tu vas avoir. Veinard !

Heero, perplexe : Je suppose que ça cache quelque chose, et que nos vacances ne seront pas de tout repos !

Lou : Mais c’est pas vrai ! A chaque fois il faut que quelqu’un casse tout le suspense !!!



[1] Merci en japonais. On peut aussi dire ‘Domo’ qui signifie beaucoup.

[2] Ca veut dire en gros : La Mort Foudroyante ! C’est un Gundam, un de ceux de ‘Virus’ ! Je vous avais dit qu’il y aurait des retrouvailles !

[3] Il est vachement fort de faire tout ça en même temps !

[4] Oubliez pas qu’il est 2 heure du mat. Il a le droit de plus savoir compter à cette heure là.

[5] Je vous rappelle que Hee-chan a décongelé !

[6] Pas sexuel ! Juste pour se réveiller !

[7] C’est pour ça qu’il parle pas beaucoup !

[8] Ca fait toujours du bien de s’envoyer des fleurs, hein Katoru ? ^____-



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