Fanfic : Gundam Wing.

Auteur : Lou.

Style: POV de 2, hétéro, très sérieux.

ATTENTION ! CE CHAPITRE CONTIENT DES SCÈNES POUVANT CHOQUER LES PLUS JEUNES D̉ENTRE VOUS. QUE LES ÂMES SENSIBLES PASSENT LEUR ROUTE, IL Y AURA UN RÉSUMÉ DE CE CHAPITRE DANS LE CHAPITRE 4.

Disclamer : MacNolan et Annabelle m’appartiennent, les G-girls et leurs profs aussi mais pas les autres. L’histoire que raconte Duo est une pure fiction et provient de mon imagination.

 

Vacances !

Chapitre 3 : Explications.

 

Après m’être changé dans ma chambre, je décide d’aller parler à Gabrielle, d’une part parce que les autres m’y oblige (si je ne le fais pas, ils m’en voudront), et puis parce qu’il faut que je l’aide. En plus, après y avoir bien réfléchis, je pense savoir ce qui lui est arrivée. Reste à voir si mon hypothèse va être confirmée ou pas. J’aimerais tellement qu’elle soit fausse.

Je descends à l’étage en dessous, et je frappe à la porte de la pilote de Persuader : je pourrais entrer par effraction comme je le fais si souvent lors de mes missions, mais je pense que ce ne serait pas vu comme un acte d’amitié par Gabi… N’empêche que si elle ne se décide pas à ouvrir, je risque d’employer cette méthode… A peine ai-je pensé cela que mon amie ouvre.

 

« Qu’est-ce que tu veux ? me demande-t-elle sur ses gardes.

-        Te parler de tes problèmes ! »

Et je rentre avant qu’elle aie pu me fermer la porte au nez. Parfois ça sert d’être sans gêne… Je suis tout de même surpris, car la pièce est très sombre : les murs sont peints en un dégradé de différents bleus et la miss a tiré les rideaux. Seule une lampe près d’un des canapés est allumée. Je m’installe donc sur ce canapé, tapote la place à côté de moi pour qu’elle s’asseye aussi et je lui dis :

« Je crois savoir ce qui te perturbe, ce qui t’a fait changé, et j’ai décidé de t’aider.

-        Ah oui ?! lance-t-elle ironiquement. Et qu’est-ce que j’ai ?

-        C’est assez facile à comprendre après avoir examiné les différents éléments que l’on m’a donné, et je m’étonne d’ailleurs que personne autre que moi y aie pensé. Je m’arrête un petit moment et je poursuis en énumérant ces faits sur mes doigts. Lizzie m’a dit que depuis quelques temps tu t’habilles toujours en sombre, que tu es devenue ultra méfiante envers tout le monde, qu’il t’arrives de prendre jusqu’à cinq douche dans la même journée, que tu ne t’amuses plus, que personne n’arrive à te rendre ta gaieté d’avant. Que parfois tu réagis d’une manière violente et disproportionnelle à des réflexions pas forcément méchantes. Et aussi, que tu as très peur des hommes.

-        Quoi ? s’exclame-t-elle en se levant brusquement. Comment a-t-elle osé te parler de moi ainsi ?

-        Tu vois, tu t’énerves, lui dis-je calmement en lui prenant la main et en la forçant à se rassoire. Pourtant, si elle a fait ça, c’est juste qu’elle s’inquiète pour toi, et que malgré tous leurs efforts, tes compagnes n’ont pas réussit à te faire avouer ce qui ne va pas. Elle a donc pensé que tu pourrais te confier à quelqu’un que tu ne connais pas bien et en qui, pourtant tu peux avoir toute confiance… Tu as confiance en moi, n’est-ce pas ? je lui demande en lui serrant la main que je n’ai toujours pas lâchée. Tu sais que je ne te ferais jamais de mal ? Que pour moi, tu es comme la sœur de ma sœur, et que je protègerais ma sœur contre quiconque lui voudrais du mal ? Et que ce serais pareil pour toi ou pour les autres G-girls ? »

 

Emu, je m’arrête et la regarde dans droit dans les yeux, sans ciller : on m’a dit une fois que lorsque que quelqu’un ne mentait pas, il pouvait soutenir le regard des autres sont bouger, et que s’il faisait le moindre mouvement des yeux, cela voulait dire qu’il n’était pas honnête. Elle me scrute donc, me sonde et apparemment je passe le teste avec succès puisqu’elle fini par hocher la tête, et que sa main, qui, jusqu’alors, restait froide et crispée dans la mienne, se réchauffe et se détend. Je la lâche, me lève et vais chercher une chaise afin de me mettre en face d’elle, pour voir toutes ses émotions et qu’elle voit les miennes. Je tourne la chaise et m’assoit de façon à se que mes avant-bras reposent sur le dossiers.

 

« Pour te faciliter les choses, je vais te raconter une histoire qui m’est arrivée sur L2 quand j’avais huit ans, lui dis-je doucement.

Je vivais déjà avec le Père Maxwell, je reprends après quelques secondes de silence, durant lesquelles toutes l’attention de Gabi s’est focalisée sur ma voix. C’était vraiment un chic type : il avait recueillis des tas d’orphelins, leur donnant amour, abris et nourriture. Mais malgré sa bonne volonté, il n’y avait pas toujours de quoi manger pour tout le monde, et souvent il devait lui-même se priver de nourriture. Alors Solo, un garçon de quatorze ans que je considérais comme mon grand frère, comme mon mentor, que je ne quittais jamais d’une semelle, décida de voler cette nourriture qui nous faisait tellement défaut.

Bientôt, il y eu carrément une bande de petits voleurs, dont je faisait naturellement partie, qui écumait les quartiers considérés comme riches sur L2. Nous ne volions que d’argent liquide, que nous pouvions ainsi utiliser directement pour acheter à manger, mais toujours des bonnes choses, pas des bonbons : il ne fallait pas gâcher.

Le quartier de l’orphelinat recommençait à revivre, car les orphelins comme moi était heureux du fait de manger à leur faim. Solo s’était même trouvé une petite amie, qui avait aussi quatorze ans, et qui s’appelait Annabelle. C’était une très belle fille, très gentille, et tous les deux, ils formaient un très beau couple. Au début, elle était un peu gênée que je reste toujours avec Solo, puis elle s’y est habituée : j’étais devenu comme une pièce du décors pour eux deux, et ils ne faisaient plus vraiment attention au fait que j’étais là.

Un jour, une autre bande a envahie le quartier. C’était des garçons de 16-17 ans, assez beaux je pense, parce que beaucoup de filles se retournaient sur leur passage, tout du moins au début. Nous ne savions pas trop ce qu’ils fabriquaient, mais comme ils n’empiétaient pas sur notre « domaine », Solo décida de les laissait tranquille.

Mais peu à peu, le comportement des filles changea. Elles commencèrent à s’habiller en noir, à raser les murs, à redouter les coins sombre, à courir dès qu’un garçon les regarder de trop près. Au bout de un mois, il y avait peut-être une trentaine de filles qui agissaient ainsi. Elles commencèrent alors à se réunir entre elles, excluant tout garçon qui aurait voulu savoir ce qui se passait. Même le Père Maxwell n’arrivait pas à savoir !

Cette étrange « maladie » s’abattit aussi sur Annabelle. Elle se mit à refuser que Solo l’embrasse, qu’il la touche même si c’était seulement le bras, et elle pleurait beaucoup. Ca dura ainsi pendant toute une semaine, mais la patience n’était pas le fort de Solo, et il lui demanda de s’expliquer. Comme d’habitude, j’étais là, mais comme je te l’ai déjà dit, ils me considéraient tous les deux comme un meuble, ce qui fait que je pu tout entendre, même si j’étais trop petit pour comprendre.

C’est ainsi que j’ai entendu Annabelle lui avouait en pleurant que le chef de la nouvelle bande avait abusé d’elle, que tous avaient abusé d’elle et que c’était pareil pour les autres filles en noir. Elle lui dit sa honte, sa sensation de saleté et son dégoût quand désormais un garçon la regardait ou la touchait, même lorsque c’était quelqu’un qu’elle connaissait bien, comme Solo. Elle lui avoua enfin que le soir même, les filles et elle iraient se venger, mais que si Solo ou un garçon de la bande décidait de venir, il risquait lui aussi de subir l’ire de ces demoiselles.

Solo l’écouta avec attention, et lui promit que quoiqu’il puisse arrivait, il serait là pour elle, mais que si elle ne voulait pas qu’il l’accompagne, il ne le ferait pas. Alors, sans un regard en arrière, elle sortit accomplir sa vengeance.

Le lendemain matin, on trouva les cadavres de la bande de garçons qui avaient été crucifiés, émasculés et égorgés comme les porcs qu’ils étaient. »

 

Pendant tout ce récit, j’ai regardé le visage de Gabi, captant ainsi ses émotions : sa sympathie pour mon enfance, puis son malaise grandissant jusqu’au moment du viol où elle trembla. Et à la fin, je vis un bref éclair de satisfaction suite à la sentence exécutée par les filles de L2.

« C’est ce qui t’est arrivé pendant cette mission où tu étais toute seule, n’est-ce pas ? je lui demande doucement. Tu as été violée. A ces mots, elle sursaute, ressert ses bras contre sa poitrine dans un mouvement instinctif de protection. Mais elle garde un mutisme exaspérant. Alors, espérant la faire réagir, j’insiste plus violement. Je sais que j’ai raison. Tout le monde croit que ta mission s’est déroulée sans accroc parce que tu es rentrée saine et sauve, en apparence. Mais ça ne s’est pas bien passé du tout ! J’ai crié ces derniers mots, ce qui l’a fait enfin réagir.

-        Non, pleure-t-elle en se balançant convulsivement. Ca ne s’est pas du tout passé comme prévu. »

 

Je me lève alors, m’assoit à côté d’elle sur le canapé, la sert contre moi, lui tapote le dos et lui dit que ça va aller mieux maintenant. Contre toute attente, elle ne me repousse pas : peut-être le fait d’être le frère de son amie joue-t-il en ma faveur, ou bien l’histoire que je viens de raconter, mais en tout cas, elle a assez confiance en moi pour ne pas rejeter mon aide.

Quand le flot de ses larmes se tarit, elle se dégage doucement de mon étreinte, et je lui tends le mouchoir que j’ai eu la présence d’esprit d’apporter. Elle essuie ses yeux et me remercie d’un timide sourire.

 

«  Tu as raison, soupire-t-elle, si je ne parle pas à quelqu’un, je vais finir par exploser. Tu sais, rajoute-t-elle, que toutes nos missions sont classées secret-défense, et que personne ne doit rien savoir. J’opine de la tête, attendant qu’elle veuille enfin m’expliquer. Puisque c’est à cause d’une mission que j’en suis arrivée là, je vais t’en délivrer le contenu. »

A ces mots, elle se lève, ouvre en grand les rideaux, laissant enfin entrer le jour dans cette pièce. En m’étirant un peu, j’atteins la lampe et je l’éteins. Lorsque je me retourne vers Gabi, elle est assise sur le canapé, les bras croisés autour de ses jambes, le menton posé sur ses genoux. Elle inspire un grand coup, puis se lance, comme si elle se jetait à l’eau, me déballant ce qu’elle cache au fond de son cœur depuis si longtemps.

 

« Cette mission se présentait comme une mission facile, c’est pourquoi la Prof White a jugé qu’une seule d’entre nous suffisait pour la remplir. Il fallait s’introduire dans l’entreprise d’un certain Daniel MacNolan. En fait, c’était l’un des hommes les plus riches du monde terrestre, grâce à ses inventions informatiques révolutionnaires. Lucille aurait due effectuer cette mission, mais comme elle venait juste de rentrer d’une mission délicate, et à cause de notre contrat, c’était impossible. White a donc décidé de m’envoyer là-bas en tant que secrétaire de direction discrète et efficace, comme les grands industriels les aiment. Elle s’est arrangée pour rendre malade la vraie secrétaire, ce qui fait que MacNolan en cherchait une.

J’allais donc là-bas sous le faux nom de Gaëlle Smith, et avec un faux CV plus vrai que nature. Mona m’avait recommandé de m’habiller un peu plus sexy que d’habitude pour avoir l’air plus âgée que mes 20 ans, et aussi pour avoir plus de chance d’être engagée : il paraît que le physique joue beaucoup lors des entretiens d’embauche, et les profs n’avaient pas voulut rendre les autres candidates malades pour que ça ne fasse pas louche. Bien sûr, je fus engagée, et immédiatement, grâce aux conseils de Mona, MacNolan commença à me faire du charme.

Personnellement, je ne le trouvais pas moche, mais ce n’était pas vraiment mon type. »

A ces mots, je souris en pensant que son type c’est un jeune arabe blond aux yeux turquoise, avec l’incroyable faculté d’être empathe, et avec en plus, ce qui ne gâche rien, un compte en banque très bien garni. Mais elle ne s’aperçoit de rien, son regard étant devenu lointain depuis le début de son récit, comme si elle revivait cette mission dans les moindres détails.

 

« Bref, tout se déroulait comme prévu. J’étais entrée dans ses bonnes grâces, et j’avais accès à tous ses fichiers, même les plus confidentiels, les plus secrets. En fait, je devais trouver une preuve l’impliquant dans un détournement de fonds de l’entreprise pour son compte personnel et aussi pour former une nouvelle branche terroriste contre les colonies et la paix. J’ai trouvé, en effet, de nombreuses preuves de falsifications des comptes bancaires de la société, mais je n’arrivais pas à trouver des garanties de sa culpabilité dans tout cela. S’il s’aperçut de quoique ce soit à mon sujet, il ne le fit pas remarquer, et je me disais que cette mission ce déroulait comme sur des roulettes.

Un soir, il m’invita au restaurant, sous prétexte de mieux nous connaître. Pendant tout le repas, il se montra charmant, mais à la fin, je me sentais bizarre. Pourtant, je n’avais bu qu’un seul verre de vin, et je n’étais pas ivre. »

 

Elle s’arrête et son regard se remplit de larmes, qui commencent doucement à glisser le long de ses joues. Pourtant elle reprend, sa voix restant aussi ferme que depuis le début.

« Il m’avait drogué, lâche-t-elle finalement. Il avait deviné quelque chose car ses fichiers étaient piégés et que je n’avais pas fait assez attention. Il m’emmena dans un hangar, et me livra à ses sbires, leur disant de faire de moi ce qu’ils voulaient, pourvu que j’avoue pour qui je travaillais. J’ai essayé de repousser mes agresseurs grâce à ma télékinésie, Lizzie doit déjà t’avoir dit que j’ai ce don particulier, mais là, j’étais tellement engourdie par la drogue que je n’y suis pas arrivée. Quand je me suis mise à crier, MacNolan s’est mis à rire, et a lancé qu’il reviendrait à l’aube. »

 

Maintenant, des larmes coulent sans discontinuer sur ses joues pâles, mais elle ne fait aucun effort pour les essuyer : elle est trop ancrée dans son histoire pour s’en rendre compte.

« Quand ils me laissèrent enfin tranquille, reprend-elle après quelques instant, je n’avais plus de voix tellement j’avais crié, et j’avais mal, si mal. Eux, ils se sont endormis tellement ils étaient soûl et fier de m’avoir brisé. Mais ils n’ont pas réussit à me faire trahir l’organisation. Je due m’évanouir de douleur, mais lorsque je revint à moi, ils dormaient encore. Ils ne m’avaient pas attachée puisque j’étais droguée, et je vis un grand couteau sur l’un de ces hommes. J’étais dans un état second, ne ressentant qu’une immense souffrance et ne sachant qu’une chose : il fallait que je sorte de là. Mais en voyant ce couteau, un mot se mit à briller dans mon esprit : VENGEANCE.

Alors, je pris le couteau et le planta dans le cœur de son propriétaire. Il ne fit aucun bruit en mourrant. Puis je fis de même pour tous les hommes de ce hangar. Quand j’eu fini, je me suis dirigée vers la porte. J’allais la pousser lorsqu’elle s’ouvrit et que la silhouette de MacNolan s’encadra dans la lumière du jour. Instinctivement, je lui sautais dessus, le couteau en avant. J’atteignis son visage, et probablement son œil. Il se mit à crier et à se tenir la figure, me laissant le passage libre. Alors je courus. Je courus aussi vite que je le pu , ne m’arrêtant qu’une fois dans la planque de secours. Planque où j’avais pris le soin d’apporter toutes les copies des dossiers contenant les fraudes de MacNolan, et dont il n’avait pas l’adresse, vu que sur mon CV cette celle d’une boite postale.

Je voulus faire mes bagages au plus vite, mais mon regard tomba sur mon miroir, et j’y vis une fille couverte de sang, avec un couteau de boucher dans la main. Je le laissais enfin tomber par terre, et je me débarrasser de mes vêtements qui me dégoûtaient, puis je pris des douches… Lorsque j’eus enfin retrouvé mes esprits, je pris mes affaires, les disquettes et je couteau que je mis dans un torchon, puis je sortis calmement de la planque. Quand j’eus trouvé une plaque d’égout, je la souleva et y laissa tomber la preuve de ma vengeance et de mes crimes. Puis je pris l’avion pour rentrer à la base. »

 

Je ne m’attendais pas à ce récit, mais je comprends à présent pourquoi elle ne voulait pas le dire aux autres : en plus de la honte du viol, il y a celle de ses « crimes ». Moi, je pense qu’elle a rendu la justice, et que c’était de la légitime défense.

« Et qu’est-il advenu de MacNolan ? je lui demande en essuyant du pouce la dernière larme sui coule le long de son menton.

-        Son entreprise fit faillite grâce aux disquettes que j’ai ramenées, mais on n’a pas réussit à l’attraper. Il doit maintenant se terrer quelque part avec l’argent détourné, et peut-être entraîner son commando.

-        Tu sais, je fais après un petit silence, et avec, je le sais bien, une lueur particulière dans mes yeux, lueur qui est un signe de grand danger pour mes ennemis, si les autres étaient au courant, on pourrait t’aider à retrouver ce MacNolan, et, ce coup-ci, c’est lui qui morflerait ! » Je finis ma phrase avec mon sourire de shinigami.

A ces mots, elle se lève, s’approche de moi et m’embrasse sur les joues.

«  Merci Duo, tu es un vrai frère pour moi !

-        De rien, P’tite Souris. Si tu veux, je parle aux autres. Je suis sûr que Quatre aura très vite un plan pour retrouver ce salopard ! »

 

A suivre.

 

Lou : Comment est-ce que je peux écrire des horreurs pareilles : meurtres, émasculations, viols…

Duo : Moi, j’ai trouvé que c’était écrit avec beaucoup de tact.

Lou : C’est vraiment très gentil !… Vous avez vu, j’ai pas mis une seule note dans ce chapitre !

Duo : Comment t’as fait ? D’habitude y en a près d’une dizaine , et même souvent près d’une vingtaine !

Lou : Ben comme c’est un chapitre pas très rigolo, il m’a semblé que des notes casseraient tout… Mais je vous rassure, dans le prochain chapitre, il y en aura !

Duo : T’as déjà écrit le prochain chapitre ? Moi qui pensais pouvoir me reposer un peu.

Lou : Je l’ai pas encore écrit, mais j’y pense fortement. Allez, salut !



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