Fanfic : Gundam Wing… enfin, peut-être.

Auteurs : Lou et CC (ou presque)

Style : UA, UA, UA, … très UA, puis yaoï, attention : violence, deathfic inhabituel… toons ! ^______^

Disclamer : Les fanficeuses citées ici ne sont pas au courant de la teneur exacte de cette fic, pourtant, elles nous ont donné la permission d’utiliser leurs pseudos dedans… INCONSCIENTES !!!

Note 1 : Nous n’avons pas relu les biographies des ficeuses avant d’écrire cette histoire, donc ceci est une pure fiction, et tout ce qui vous semblerez se rapprocher de près ou de loin à la réalité serait du pur hasard.

Note 2 :  Vous ne verrez plus jamais le rose de la même façon !

 

La vengeance rose.

 

Tout commence par un petit matin d’hiver. Le 9 décembre 2002 pour être exacte. Malgré son absence de cours le matin, PPCU se réveille à 6h00, comme tous les jours, et décide de descendre son chien, Pompichou la terreur à grande gueule, avant que celle-ci ne lui fasse un joli cadeau odorant sur le tapis.

Après le pipi-caca-popo du toutou, notre Piou Piou revient ravigotée de sa balade et s’arrête devant sa boite aux lettres. Bizarrement, celle-ci est entrouverte, comme si le facteur était déjà passé. Mais c’est impossible, son Facteur-Chéri-d’Amour (lorsqu’il n’apporte pas de factures) ne passe jamais avant le 25 décembre… Ah non, ça c’est le Père Noël ! Je les confond toujours. Enfin, bref, il est bien trop tôt pour qu’un facteur passe.

Curieuse, elle ouvre précautionneusement[1] la porte de son réceptacle à courriers et découvre… une boite de bonbons roses. Elle l’observe sous tous les angles et décide d’accepter ce présent venant probablement d’un de ses admirateurs sur le Net. Mais elle se pose quand même deux questions :

-              Comment a-t-il eu son adresse[2] ?

-              Comment peut-il avoir aussi bon goût pour les fics, et aussi mauvais goût pour les couleurs ? Rose… Quelle horreur ! (Nous vous rappelons que la couleur préférée de PPCU est le noir !)

Mais bon, c’est pas cette petite erreur dans la couleur du papier d’emballage qui va l’empêcher de bouffer tout son paquet de fraises Tagada[3]avant son départ pour la fac.

Après cette orgie, elle se pose devant son ordi et commence à re-re-re-re….-re-corriger le chapitre 16 de ‘Prémices’ (pub ! pub ! pub !)

Très vite, cependant, elle se sent bizarre, et ne peut plus travailler correctement. Elle décide donc de relire entièrement cette fic sublimissime qu’est ‘Les G-boys à Lyon’ (pub ! pub ! pub ! et… GROSSE TÊTE).

Après avoir bien rigolé, elle se rend compte qu’il est l’heure d’aller en cours pour se faire torturer les neurones.

Alors qu’elle est presque arrivée à l’arrêt du bus, elle s’aperçoit qu’il approche et que si elle ne court pas, elle va le rater. Elle active ses jambes et passe les obstacle devant elle, telle une championne de course de haies[4]. Ainsi, elle passe au travers d’un miroir que des déménageurs qui prennent tout le trottoir transportent, elle bouscule un chat noir et passe sous une échelle. Là, sa chance s’arrête : un pot de peinture choit sur sa tête. Elle enlève son ‘drôle de chapeau’, regarde la peinture sur ses doigts, crie : « J’ai horreur du rose ! » et tombe raide. Un médecin qui passe par là constate le décès par allergie au rose…

 

********************

 

9/12/2002, 17h00.

 

Pour se détendre de sa rude journée de fac, pendant laquelle son cauchemar éveillé (alias le prof de maths) l’a encore torturée, Meanne77 décide d’aller faire du shopping (et non les exos débiles et incompréhensibles qu’elle doit rendre le lendemain). Elle marche dans la rue, songeant à son nouveau chapitre de ‘Clair-Obscure’ (pub ! pub ! pub !), cherchant à améliorer la scène qu’elle imaginent entre les profs mads et son Duo amnésique si troublant…

Soudain, elle voit un nouveau magasin où elle a grand besoin d’aller : c’est un magasin de chaussures avec toutes les tailles possibles et imaginables, allant du 31 au 53, en passant par les demis pointures. Excitée par cette découverte fantastique, Meanne entre : elle va peut-être enfin trouver de jolies chaussures féminines adaptées à son 46 fillette[5].

Juste en entrant, la mascotte du magasin, une panthère rose, lui tend un paquet de bonbons en lançant :

« Vous êtes la 157° visiteuse du magasin : félicitation ! Nous vous offrons cette boite de bonbons !

-        Ouah ! Merci ! En plus des fraises Tagada ! J’adore ! »

 

Elle ouvre son paquet et l’engloutit en moins de deux minutes. Les gens autours d’elle la regardent éberlués, et s’interrogent : va-t-elle en donner, ne serait-ce qu’un seul, à l’enfant qui la supplie de son regard de cocker ? Apparemment non ! Même s’il lui fait des yeux de chien battu, elle résiste et finit même par lâcher : « Pas de gaspillage ! T’avais qu’à être le 157°, d’abord ! » et l’enfant s’en va inonder les jupes de sa mère. On entend même des « Fille sans cœur ! » fuser. Mais la ficeuse lance des regards noirs à la ronde, regards qu’elle a emprunté à Heero et à Wufei, personnages si attachant de la série ‘Gundam Wing’ qu’elle met en scène dans des fictions publiées sur le net, et comme cela est le cas dans les histoires qu’elle écrit, la rumeur se tait.

Se désintéressant des personnes alentours, Mn77 se dirige, l’air décidé, vers le rayon grandes tailles. Elle regarde alors une jolie paire d’après-skis[6], pointure 53, se demandant s’il y a les même en 46.

Tout à coups, elle ressent une violente douleur derrière le crâne, se retourne et aperçoit une ballerine rose qui rebondit sur le sol. Levant la tête, intriguée, elle voit le félin fuchsia[7] avec un drôle de fusil dans les bras et des escarpins roses à talons aiguilles dans la main, escarpins qu’il charge dans le canon. Il tire : c’est un fusil-à-pompes[8] ! Le talon d’une des chaussures vient se ficher droit entre les deux yeux de la fanficeuse[9]. Un gentil vendeur, qui se trouve à proximité, peut l’entendre clairement dire : « C’est ma pointure ».

Puis Meanne tombe par terre : elle est morte !

 

********************

 

10/12/2002, 5h du mat’.

 

Calliope, attendant le premier métro, rentre chez elle (histoire de dormir 2h avant de se préparer mentalement à aller en cours) après une soirée étudiante vraiment… étudiante. C’est-à-dire, bonne bouffe ( MacDo), sobriété (pas plus d’une bouteille de tequila par personne), musique douce (un slow précédé d’une heure de hard-rock et suivi par autant de techno), avec tenue de soirée obligatoire (il faut au moins un nœud pap’, voire une cravate aux mecs, pour qu’après leurs strip-tease ils aient un léger vêtement afin de ne pas prendre froid),…

Titubant légèrement vers une des portes coulissantes du métro qui vient d’arriver, elle entre dans la rame et regarde autours d’elle pour repérer une place assise. A cette heure-ci, elle n’a aucun problème. Elle s’assoit donc, dans le sens de circulation du métro, histoire de ne pas revomir sur ses chaussures (qu’elle vient de laver pour la 3° fois depuis le début de la soirée). Près d’elle s’assoit un jeune homme portant une casquette rose délavée (peut-être a-t-elle été rouge dans une autre vie ?). De sa poche, un paquet de fraises Tagada dépasse. Elle observe le garçon, mais arrive vite à la conclusion suivante : à part ses bonbons, il n’est pas très intéressant. Et elle ne va certainement pas le draguer pour si peu, même si elle adore cette variété de Haribo[10]. S’il ressemblait un temps soit peu à Heero, elle dit pas, mais là, même bourrée comme elle est, elle s’y risquerait pas.

Heureusement, au bout de seulement deux stations, le garçon se lève et sort de la rame. Calliope s’apprête à s’étaler sur la banquette lorsqu’elle se rend compte qu’il a laissé tomber ses bonbons.

« Tant pis pour lui, songe-t-elle avec gourmandise en en mettant un dans la bouche. Uhmmmmm ! Qu’est-ce que c’est bon ! »

 

Trois arrêts plus loin, elle descend du métro et se dirige vers la résidence universitaire où elle loge dans une chambre de 8m2. Elle entre dans son antre consacrée aux G-boys. Ce n’est plus un endroit où dormir, mais plutôt celui où toute fan de Gundam Wing peut  rêver et fantasmer tout son saoul. Les murs sont recouverts de posters géants représentant les 5 pilotes de gundams dans différentes positions et différents vêtements. Calliope en a même trouvé un où ils sont torse nu[11]. D’ailleurs, elle a mis celui-là en face de son lit, histoire de pouvoir le contempler à son coucher et à son réveil. Et comme à chaque fois qu’elle rentre (de cours, de shopping ou d’une fête), elle s’arrête devant lui et se met à raconter aux sexe-symboles accrochés au mur leurs futurs aventures dans sa fic ‘Vision de la vie selon le G-boys’ (pub ! pub !).

Soudain, elle voit ces héros se mouvoir : Heero lui sourit, Quatre et Trowa s’enlacent, Wufei sort des baguettes, et Duo lui tend les bras en disant : « Calliope, viens nous rejoindre ! Viens à nous Calliope ! ».

La fanficeuse est tellement surprise qu’elle en lâche ses bonbons, mais elle est si heureuse : elle attend cette proposition depuis si longtemps ! Alors, sans hésiter une seconde de plus, elle crie « J’arrive ! » et fonce vers Duo.

Contrairement à ce qu’on pourrait attendre, le mur ne l’arrête pas dans son élan. En effet, ceux des résidences universitaires sont très fins et pas vraiment solides, ce qui fait qu’elle passe dans la chambre de son voisin. Et bien qu’elle n’aie plus le poster sous les yeux, elle voit toujours les G-boys devant elle, répétant inlassablement leur litanie.

Elle traverse comme ça tout son étage, les autres étudiants râlant qu’elle pourrait frapper avant de fracasser. Et tout comme les murs de séparation des chambres ne l’avaient pas arrêtée, celui délimitant la bâtiment ne fut pas plus efficace pour cela. Petite précision : Calliope habite au 8° étage. Mais grâce à l’élan qu’elle a déjà, elle se scotche contre la façade en verre des bureaux de l’autre côté de la rue. Lentement, elle glisse jusqu’au sol, reproduisant ainsi parfaitement le bruit de la vaisselle fraîchement lavée par Pec citron (d’après la pub de la télé !).

Arrivée sur terre, Calliope pose ses deux mains sur la vitre, de part et d’autre de sa tête, fait de même pour ses pieds et pousse histoire de décoller sa bouche qui fait ventouse, telle celle du poisson lave-vitre de l’aquarium de son psy.

Lorsqu’enfin elle y arrive, elle tombe bien sûr sur la partie charnue de son anatomie. Mais elle n’a pas le temps d’avoir mal, que déjà la voix de Duo l’appelle à lui. Et elle se remet à courir.

Ses bras effectuent d’eux-mêmes le balancement caractéristique des champions d’athlétisme. Ses pieds chaussés de talons aiguilles[12] touchent à peine le sol. Soudain, un feu rouge. Elle regarde à gauche, puis à droite, puis de nouveau à gauche et encore à droite. Enfin, elle s’engage et…

 

Les témoins de l’accidents raconteront aux policiers qu’une Dedeuche aux multiples couleurs ne s’est pas arrêtée et a même foncé sur la jeune fille. L’un d’eux dira en outre que le chauffeur portait une casquette rose délavée, affichant en plus un sourire sadique sur ses minces lèvres.

 

********************

 

11/12/02 , 10h00 du matin, planque des G-boys.

 

Comme tous les jours, lorsqu’il n’y a pas de mission, Duo ne se réveille pas facilement, il a besoin d’aide. Mais contrairement à ses habitudes, ce n’est pas Heero qui le réveille…

En effet, on vient de sonner frénétiquement à la porte d’entrée, et des exclamations d’horreur fusent ! Intrigué, la marmotte à natte se lève.

«  Mais vas-tu enlever ton pied que je ferme cette porte, s’emporte Wuffy[13].

-        Naaaaan ! » lui répondent des voix féminines. Puis un bruit de bois cassé retentit. Et lorsque Duo arrive, il n’y a plus qu’un chinois écrasé par une porte sur laquelle des filles sont étalées[14]. Les autres G-boys se tiennent hors de portée, pour se protéger, le zoli couple franco-arabe enlacé et le glaçon nippon avec son flingue à la main, pointé sur les filles. Dudule remarque alors que se ne sont pas des filles ordinaires,  mais des fanficeuses du site ’’Gundam Wing UA’’.

«  Y faut qu’vous nous protégiez, implore Akasha qui se relève en mode SD, comme ses amies d’ailleurs, en écrabouillant un peu plus ce pôvre Wuwu-d’amour[15] .

-        Y a un taré qui s’appelle Pink, qui a laissé un message sur le site, genre virus internet très méssant, explique Lou, et qui dit que c’est lui qui a tué PPCU, Méanne77 et Calliope hier et avant-hier … T_T

-        Pas une grande perte, marmonne Wu, toujours sous sa porte. Les filles sautent alors à cœur joie dessus pour punir l’insolent[16].

-        Mais je croyais qu’il n’y avait que les persos qui pouvaient mourir dans un fic, et que les ficeuses étaient invincibles ? s’étonne Katoru, qui reçoit alors tout un tas de scénarios où il est le héro et où il meurt pas !

-        Nous aussi on croyait ça, pourtant… commence Lou qui est subitement arrêtée par une balle qui vient de se ficher dans son cœur, balle provenant du revolver de Heero.

-        OOOOOOOOOOOOOOUUUUUUUUUUUUUUUIIIIIIIIIIIIIIINNNNNNNNNNNNNNN !!!!!!!! chouine CC. T___T   T’as tué ma soeurette à moi que j’aimeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeuuuuuuuuuuuuuhhhhhhhhhhhhh ! T__________T

-        Ca peut s’arranger, s’exclame Shinigami en sortant alors une tapette à mouche géante de sa poche[17] et en l’abatant sur la tête de la Coccinelle[18].

-        Mais pourquoi vous avez fait ça ?! s’affole Quatre en regardant respectivement les deux tueurs de ficeuses[19].

-        Ben pour voir si ça marchait vraiment !

-        Bon, commence doucement Akasha, maintenant que vous avez cette réponse, vous allez nous aider ? *o*

-        Bien sûr, répond Trowa, qui se reçoit à son tour un tas de fics où il parle, a des scènes sulfureuses avec un certain Blondinet, etc[20].

-        Y a-t-il un point commun entre toutes les morts ? demande Wufei en s’extrayant de dessous la porte.

-        Ben, à part pour CC et Lou que vous venez de trucider, dit Chihiro, après les autopsies effectuées par Lou et CC grâce à leur grande expérience due à leur DEUG de bio[21], elles ont trouvé des fraises Tagada dans leurs estomacs, et en plus, les morts sont toutes dues à du rose : de la peinture, un talon aiguille et un chauffard avec une casquette rose.

-        Ca ne peut être que quelqu’un qui déteste cordialement les ficeuses et qui les connaît suffisamment pour savoir qu’elles souffrent toutes de higt-sugar, prononce Trowa…

-        Attendez, dit Duo, y a : des bonbons roses, des objets roses, une signature qui veut dire rose, cela m’a tout l’air d’être l’œuvre de…

-        Réléna ! font tous les pilotes ensemble.

-        Puisque c’est elle, je vais m’en chargé moi-même, s’exclame Heero en sortant un basouka de son spandex magique[22]. Réléna, omae o korosu ! »

 

FIN

 

 

Fantômes de PPCU, Méanne77, Calliope, Lou et CC : On va la massacrer (voix d’outre tombe, genre morts-vivants qui font peur !)

Akasha : Ben pourquoi les jumelle, c’est pas elle qui vous a tuées ?!

Fantômes de CC et Lou : Oui, mais c’est à cause d’elle ! Alors amies fanficeuses, vengez nous ! Faîtes des fics où elle meurt !

Fantôme de PPCU : Tiens, c’est pas bête comme idée de concours ! Des one-shot sur les morts de Réléna !

Fantômes de CC et Lou : Et ce serait quoi le cadeau du vainqueur ?

Fantôme de PPCU : Chais pas encore !… Le plaisir de participer ?

 

 

 



[1] Pour ceux et celles qui n’utilisent que des mots de 2 syllabes maximum, comme PPCU, ça veut dire… Comment ça, on vous prend pour des c*** ?!

[2] Pour avoir son adresse, tapez 1 ; pour l’aider à manger ses bonbons, tapez 2 ; pour retourner au texte, tapez les autrices… Aïe-euh !!!

[3] Oups ! J’ai dit la marque !

[4] Piou Piou sportive ?! MDR : c’est totalement OOC.

[5] Mn77 :^o^ ?…

CC : keskya ?

Mn77 :…

Lou : Respire Meanne, respire !

Mn77 : Chausse pas du 46 !!!

CC et Lou : Oups ! Désolé ! :p

[6] C’est vachement féminin ça, des après-skis !

[7] Histoire de pas dire la panthère rose.

[8] Wouhahahahahahaha ! Le jeu de mots !!! ^____________^

[9] Ok ! On a trouvé l’idée dans ‘Charmed’.

[10] Non non ! On n’est pas sponsorisé par cette marque de bonbons, c’est juste que ce sont ceux qu’on préfère !

[11] Collector !

[12] Rappel : elle revient d’une soirée et ne s’est pas changée.

[13] Wu : M’APPELEZ PAS WUFFY !!!

[14] Un peu comme un ‘big mac’, avec plusieurs étages.

[15]  Bruit que fait Wu : aaaaaaaaaaaaarrrrrrrrrrrrgggggggggggggghhhhhhhhhhh !

[16]  Wu : re- aaaaaaaaaaaaarrrrrrrrrrrrgggggggggggggghhhhhhhhhhh !

[17]  Comme Kaori (Laura) dans City Hunter (Nicky Larson).

[18]  Voilà pourquoi on avait mis « ou presque » dans auteurs. Ces nos fantômes qui écrivent !

[19]  Et il reçoit encore plus de scénarios où il est le héro, avec des scènes très chaudes entre lui et 03, mais où Heero et Duo se font torturer atrocement, du genre 01 se retrouve dans le même lit que Réléchose…………………….

[20] Wu, Heero et Duo : Faillots-euh ! Faillots-euh !

Faillots-euh ! Faillots-euh ! Faillots-euh !….

[21] C’est génial les dissections sur les rats! ^_______________^

[22] Ses scénarios sont remaniés pour faire du 1x2forever qui se termine bien, sans bain de sang ni tombe.