Genre :
POV de Duo, délire en conserve
Auteurs :
Les folles de service sont de retour : hé oui, c’est
NOUS.
Disclamers : C’est même
pas nos esclaves d’abord ! C’est juste nos jouets sexu…arrête de fantasmer
ma fille ! Bon d’accord, aucun pilote de Gundam n’a été harcelé
sexuellement par l’une de nous…et pourtant, c’est pas l’envie qui nous
manquée !
CHAPITRE
6 : Les Hackers.
De retour à la base, ils allèrent se débarbouiller et se changer :
il leur fallut plus d’une heure pour retrouver leur aspect normal ! Puis on
se réunit à la cafèt, Heero, Nat, Lucille, et Trowa n’ayant pas dîné. Wu arrive
aussi, et je lui explique ce qui s’est passé.
« Si
c’est pas Oz, qui c’est ? demande-t-il
alors.
-
Si t’étais
venu écouter, je lui rétorque, énervé,
t’aurais entendu Heero dire que
c’était des Hackers !
-
Des
quoi ?
-
Des pirates
informatiques ! Je soupire,
excédé. En anglais : hackers.
-
Mais pourquoi
est-ce qu’ils s’en sont pris à nous et à Oz ? Ah ! Enfin une bonne
question.
-
Ben, en fait,
ils voulaient sûrement ne s’en prendre qu’à Oz, je lui réponds plus calmement que tout à
l’heure, et on a été contaminés par erreur, en se connectant au réseau
informatique de leurs armures mobiles.
-
Et comment on
fait pour les retrouver et détruire ce satané virus ?
-
J’sais pas
moi, demande à Heero et Lulu : apparemment ils en connaissent un rayon sur
l’informatique, et en plus Heero c’est le Roi des
Hackers !
-
Merci pour le
compliment Duo … Il m’a fait
sursauter : j’l’avais pas entendu arriver.
-
Wouha !
Il m’a dit merci ! C’est un jour à marquer d’une pierre blanche ! je rétorque en croisant les mains comme pour
une prière et en battant des cils.
-
Duo…fait-il menaçant.
-
Bon d’accord,
j’me tais ! Mais ça va être dur ! J’ suis peut-être un peu bête, mais pas au
point de vouloir mourir de la main du Soldat Parfait. Pour moi, j’ sais qu’il
ferait une exception… et me ferait atrocement souffrir. Et comme j’me tais
enfin, il y a un grand silence comme je les aime pas. Heero reprend la parole au
moment où j’allais lancer une blague pour rompre ce silence
pesant.
-
Il faut savoir
qu’un hacker a toujours une marque de fabrique, dit-il sûr de lui. Si on trouve cette
marque, il sera plus simple de le distinguer parmi les mille Hackers que je
connais et qui pourraient être assez forts pour faire ça.
-
T’as dit
combien ? je demande incrédule.
J’ai du mal comprendre : j’ai entendu 1000 !
-
C’est ça.
-
Moi aussi j’en
connais beaucoup, intervient Lucille,
mais la plupart est en prison à cause de moi. Franchement, j’aurais jamais imaginé que Mac
Giver puisse être une ancienne policière. Alors, je lui pose carrément la
question.
-
T’as bossé
avec la police ? Elle opine. J’aurais pas dû dire que Heero est
hacker ! Tu vas pas le dénoncer, dis ? je demande, un peu inquiet pour mon
ami : c’est pas parce qu’il veut sans cesse me tuer pour me faire taire,
que moi je veux l’envoyer en prison ou pire.
-
Mais
non ! rétorque-t-elle
rassurante. Occupons-nous de cette
marque ! »
Heero et
Lucille ont passé toute la nuit et une bonne partie de la matinée à chercher
cette marque dans le virus. Pendant que Trowa, Wufi, Mona, Gabi et Nat dormaient du sommeil du juste,Quatre,
Lizzie et moi sommes allés dans le fichier de la police centrale et d’Interpole,
pour dégoter quels pirates connus et très forts n’étaient pas sous les verrous
et pouvaient donc s’approcher d’un ordi pour lancer ce virus. Notre liste est
assez longue : 253 noms… enfin, pseudos. J’espère que notre sélection est
assez large, car s’il faut prendre des « un peu moins forts », on
tombe tout de suite à 3564 noms. Et après, ça devient vraiment trop faible. Nous
sommes allés trouver nos deux pros de l’ordinateur avec ces deux listes, tandis
que les cinq marmottes ont décidé de s’entraîner toute la
journée.
« Alors, demande Lizzie, vous l’avez trouvé ce
signe ?
-
La
marque ? Oui ! On vient juste de la décoder ! déclare Lucille.
-
A quoi elle
ressemble ? questionne doucement
Katoru. Je suis sûr qu’il est sur le point de rougir car sa belle le regarde et
lui sourit gentiment. Et elle lui répond tout aussi gentiment, en nous dessinant
le signe en question.
-
On dirait
comme une patte de félin avec ses griffes qui barrent le mot
guerre.
-
Comment vous
avez fait pour mettre tout ce temps pour remarquer ce dessin ? Il ne vous a
pas tout de suite sauté aux yeux ?
J’ai peut-être l’air idiot, mais ce dessin est vraiment repérable du premier
coup d’œil !
-
Non, car ce
n’était pas dessiné mais codé en une page de chiffres. Et d’après le son de la voix de Heero et
son expression, je n’ai pas l’air idiot, je le suis ! Il se tourne alors
vers ma sœur et lui demande : Qu’est-ce que vous avez trouvé avec les
codes que je vous ai donnés, Lizzie ?
-
Oh, environ
250 excellents hackers en liberté, et plus de 3500 très bons autres. J’espère
qu’on a ratissé assez large. En tous cas, c’est super utile d’avoir les codes
pour rentrer incognito dans les ordis d’Interpole !
-
On va
commencer par votre première liste. Si on ne trouve pas, on cherchera dans
l’autre. Et avec de la chance, on
n’aura pas à chercher dans des listes de groupes de pirates qu’Interpole ne
connaît pas ! Là, Lucille m’épate : je ne pensais pas que quelqu’un puisse
donner des ordres ainsi : sans élever la voix, avec un ton presque
courtois.
-
Si Interpole
les connaît pas, comment tu veux repérer des hackers et en avoir une liste?
lui demande alors ma
jumelle.
-
Tout
simplement. Je te rappelle que c’était mon boulot avant d’être catapultée pilote
de Gundam, alors découvrir de nouveaux pirates, je connais ! explique calmement Lucille. Elle rajoute en
haussant un peu les épaules, comme si ce n’était pas important. En plus,
j’ai une liste toute prête que je n’ai jamais communiquée à la police, par
manque de temps sans doute.
-
Ou peut-être
que tu voulais pouvoir communiquer avec un mordu du clavier comme toi sans être
obligée d’aller le voir en prison ! Oups, j’aurais peut-être pas dû faire cette
remarque au béguin de Katoru parce qu’il me regarde d’un drôle d’air. Bon, j’arrête de te taquiner. Ouf, il me regarde de nouveau gentiment.
C’est que je voudrais pas perdre ou tout
du moins gâcher une solide amitié à
cause d’une remarque maladroite de ma part. Je me tourne alors vers les deux
champions en informatique et je demande étourdiment : Maintenant,
qu’est-ce qu’on fait ? On compare les signes des différents hackers avec
celui que vous avez trouvé ? En effet, sur nos deux listes, y a aussi
les images qui leur servent de signatures.
-
C’est fou ce
que tu peux être intelligent Duo !
-
Je sais !
Mais les sarcasmes ne te vont pas du tout Heero !
-
De vérifier
tous ces noms, ça va prendre du temps, intervient alors Quatre. Et il est déjà
11h45 : ça vous direz de vous arrêtez pour
manger ?
-
C’est bon
Katoru, j’te suis !
-
Nous
aussi ! »
Quatre est
vraiment un chef pour désamorcer un conflit
débutant ! ! !
On s’y est donc remis vers 14h. Trois heures plus tard c’était sûr :
les hackers ne faisaient pas partie de nos listes !
« Quelle
poisse ! s’exclame alors Lizzie.
On examine près de 3800 noms, et rien !
-
Il ne reste
plus que la liste de 1000 noms de Heero et la liste de Lulu ! soupire Quatre.
-
Euh… Tu peux
enlever 650 noms de ma liste : ils étaient sur la votre ! Et il faudrait voir si ceux qui y
restent ne sont pas en taule. C’est une
des premières fois que je vois Heero un peu abattu. Je décide alors de le faire
réagir en lui donnant une claque dans le dos. Et je le vois bien, il est
furieux : je retrouve enfin le Heero que je connais ! Je lui fais
alors un grand sourire.
-
T’es vraiment
pas positif Heero ! Tu veux tous nous démoraliser ? s’énerve à ce moment Quatre. J’te
rappelle que ce sont nos Gundams qui déconnent, et qu’on a intérêt à trouver ce
pirate pour avoir le vrai antivirus : avec deux armures opérationnelles sur
cinq, on va avoir des problèmes pour effectuer nos
missions ! ! !
-
Ne t’énerve
pas Katoru, je fais en lui
tapotant l’épaule. Et après une petite pause, je reprends avec un grand
sourire : Pour l’instant, Oz est encore plus mal que nous : leurs
armures se détruisent sans notre aide !
-
Mais pour
combien de temps encore ? demande-t-il tout en se levant et en faisant
les cents pas. Ils vont bien penser à un problème de leur système
informatique. Et qui nous dit que les autres bases militaires sont aussi
atteintes ? Peut-être que le hacker n’a pas eu le temps de projeter son
virus sur toutes les bases avant que les autres les
préviennent !
-
Là, mon p’tit
Quatre, c’est toi qui est pessimiste !
-
Oui, mais
drôlement perspicace, intervient alors Heero qui pianotait sur son
ordinateur. Regardez les infos : 25 bases de Oz sont HS, mais toutes
les autres sont indemnes ! Ils ont arrêté les communications avec les
autres bases : ils ont dû comprendre que c’était d’origine
informatique !
-
Hé ! Ca
c’est une info ! Lucille s’est aussi levé, et elle a l’air toute
guillerette. Moi, je ne vois pas ce que cette info nous apporte, à part de
savoir que Oz n’est pas au mieux de sa forme. Pas besoin d’interroger au
hasard les hackers qu’on sélectionnera par la ressemblance de leur signe !
Pendant que vous continuerez à vérifier nos listes, Heero et moi, on va aller
voir qui a visité les 25 bases de données de ces bases militaires
HS.
-
Comment
comptes-tu entrer sans mettre ce virus dans notre ordinateur central ?
C’est Trowa qui vient de poser la question, et il vient de faire sursauter
tout le monde, sauf Quatre bien sûr, parce que personne ne l’avait entendu
rentrer. Je me demande depuis combien de temps il est là ?
-
En utilisant
mon portable et une simple ligne de téléphone ! répond Lucille après
quelques secondes de réflexion, et elle nous montre des calculs et de dessins
pour nous expliquer, à nous pauvres ignorants en informatique. Mon ordi ne
craint rien : ce n’est pas une arme, donc, si le virus s’installe il
n’agira pas. Quand nous aurons l’antivirus, je n’aurai plus qu’à le désactiver.
En attendant, je ne brancherai pas mon engin sur votre centrale. Elle se
tourne vers Lizzie. Passe moi un post-it, que je le marque, pour pas
oublier !
-
Bon, ben on a
du boulot ! Allez tout le monde, on s’y r’met ! je lance, en me
mettant debout et en me frottant les mains.
-
Wouha !
Donner des ordres, ça te va pas, Duo !
-
Tu veux dire
que j’ai pas bien imité Heero ? C’est pas sympa de détromper ton
frère !
-
Arrête de te
disperser et cherche Duo !
-
Oui
Heero ! » je fais, au garde à vous !
C’est pas marrant de travailler dans
cette salle, alors que Wuffi et les trois filles sont en train de s’entraîner
avec leurs Gundams. Mais bon, ce sont nos machines qui sont
« malades », c’est normal que ce soit nous qui cherchions. Enfin,
quand on aura trouvé, on pourra aussi aller prendre l’air. Bon, activons le
mouvement, je deviens claustro !
Finalement, à
neuf heures du soir, Lucille lance :
« Eurêka !
J’ai trouvé ! Comment est-ce que ça ne m’est pas venu plus
tôt ? !
-
Ben… C’est
peut-être la faim qui t’a motivée ? déclare ma sœur en
souriant.
-
Non , Death
Angel chérie ! Quand je suis sur de telles recherches, j’en oublie le temps
et je ne ressens plus la faim !
-
Qu’est-ce que
t’as trouvé ? demande Trowa en arrêtant ses
recherches.
-
Le … non, les
hackers ! Je crois savoir qui c’est !
-
Et c’est
qui ? Tu fais exprès de prolonger le suspens ou quoi ? Il faut
jouer aux devinettes ? je fais, impatient. C’est que l’heure du souper
est passée et que je deviens grincheux quand on ne me nourrit pas à heures
fixes !
-
Non, me
répond la jeune génie. En fait, je pense que c’est un groupe de jeunes
pirates de ma colonie.
-
Pourquoi
donc ?
-
Leur marque,
la patte du félin, c’est celle d’une équipe de basket.
-
Et
alors ! C’est peut-être des fans !
-
Mais alors des
fans d’une équipe de lycée de quartier assez défavorisé, parce que cette
marque, sans le mot guerre, c’était celle de mon lycée. Et autant te dire que
les gens riches préféraient envoyer leur progéniture dans des lycées privés,
avec peu d’élèves par classe. Et nous, on était près de 45 élèves dans chaque
cours, et il y avait une quarantaine de classe
différentes.
-
Si je
comprends bien, intervient Quatre découragé, il va falloir qu’on étudie
la liste des élèves de ton ancienne école !
-
Pas la
peine : je sais qui a fait le coup ! lance-t-elle l’air mystérieux.
Mais moi, j’en ai assez de chercher, alors je demande :
-
Et
c’est… ?
-
Mathieu,
Félicie, Annabelle et Jean-François. Mais bien sûr ! Comment j’ai fait
pour ne pas y penser. C’était forcément eux…Au fait, comment ils s’appellent
déjà ces hackers que je ne connais même pas et qui ont fait le
coup ?
-
Ca nous avance
vach’ment ! Y a que toi qui vois qui c’est ! Tiens, je crois que je
viens de penser à voix haute, et que mes pensées ont rejoint celles des
autres…je ne m’avance pas pour celles de Heero, car je ne sais jamais ce qu’il
pense s’il ne s’exprime pas.
-
Oui, mais je
sais où et comment les joindre ! nous dit-elle avec un sourire
éclatant qui fait rosir les joues
de Katoru.
-
Vas-y !
Annonce la couleur ! grogne alors Lizzie : je crois qu’elle a aussi
faim que moi.
-
Tout à
l’heure ! Allons manger : il nous faut un plan pour les
aborder ! Cette Lucille est une sainte : elle a lu dans mes
pensées que je ne pourrais plus réfléchir si je ne mangeais pas quelque chose
très vite. Alors en me tournant vers Heero, je
lance :
-
Si tu nous
disais ce que tu sais, on pourrait faire un plan tous ensemble. Pas vrai
Heero ?
-
Hnn… Je crois
que Duo a raison ! Allons manger. Nous nous réunirons
après ! »
Le Chef a
parlé ! Tout le monde s’exécute ! Moi le
premier !
Dans le bureau, autour de la table il n’y a que les pilotes : les
profs mads et leurs compagnes assistent à des concerts et ont décidé que nous
étions assez nombreux pour décider d’un plan !
« Comme je le disais tout à
l’heure, je pense savoir qui a lancé ce virus, commence
Lucille.
-
Oui, on
sait ! l’interrompt Lizzie. Mat, Félicie, Anna et
Jeff !
-
Euh… C’est
ça ! On a été à l’école ensemble ! explique-t-elle d’une voix un
peu timide.
-
Mais il faut
être sûr de toi ! s’impatiente Heero.
-
Je suis sûr de
moi ! s’exclame la demoiselle, l’air déterminé. Seul quelqu’un ayant
habité mon quartier assez longtemps pour encourager l’équipe de basket lycéenne
peut avoir choisi ce logo pour un virus informatique. Et je ne connais que ces
quatre-là qui soient d’une part de ce quartier, d’autre part assez forts en
informatique pour avoir envoyé ce virus et ce logo sans laisser la moindre autre
trace. C’est donc forcément eux. A sa place, je me serais un peu énervé pour
dire cela, mais elle, elle est restée d’un calme olympien. Il faudrait qu’elle
me passe son secret. Comme tout le monde reste silencieux, elle
reprend : Il faut donc les retrouver et leur demander le véritable
antivirus.
-
Et comment tu
veux les pousser à nous le donner ? En les menaçant des Gundams qui
restent ? Ils seraient bien capables de leur filer un virus à eux
aussi ! s’inquiète alors Wuffi.
-
On va leur
expliquer qui nous sommes et ce que nous faisons. Comme ils sont, de toute
évidence, contre Oz, ils voudront sûrement nous aider ! Après une légère
pause, elle rajoute : Et on pourrait les embaucher dans nos bases comme
informaticiens !
-
Mais t’es
complètement folle ou quoi ? s’indigne Wu. Je te rappelle que nous
sommes des résistants, et que nous agissons efficacement grâce au secret qui
nous entoure !
-
Ne t’énerve
pas Wu ! intervient Katoru. Je trouve qu’elle a raison : s’ils
s’en sont pris à Oz, c’est que ce sont aussi des résistants ! De plus je le
saurais très vite s’ils ne veulent pas coopérer avec nous et s’ils préfèrent
nous mentir et nous dénoncer !
-
C’est vrai
! approuve Wu avec réticence. Mais on ne peut pas se le
permettre !
-
Si on
peut ! Cette fois Quatre s’énerve pour de bon : il est même devenu
un peu rouge. C’est pas ton
Gundam qui a été saboté, c’est celui de Trowa, Duo et moi ! Alors, si pour
les réparer, on doit dire qui nous sommes, on le dira ! ajoute-t-il en
frappant du poing sur la table.
-
Calme toi
Quatre, je fais en
l’apaisant. A force de taper sur cette table, tu vas finir par la
casser ! Moi aussi je pense comme toi. On vote à main levée pour ce
plan ?
-
OK !
lance Heero se tournant vers
moi. Duo, tu comptes les voix ! »
Heero et moi,
on vient de nous sauver d’une guerre civile !
« Que
ceux qui sont POUR lèvent la main ! »
A part Wu,
tout le monde est d’accord !
« A la
majorité, ce plan est accepté ! » je fais, en tapant sur la table,
comme au parlement !
A suivre.
Nous :
Wouha ! On aurait dit un juge, Duo !
Duo :
Quoi ? ! Mais ça va pas ! Je ne vois pas du tout un voleur en
tant que juge ! Faut arrêter de boire du coca mélangé avec du thé glacé à
la menthe !
Nous :
Mais c’est vach’ment bon ! Demande à Quatre, c’est lui qui nous a fait
goûter !
Duo : On
t’avait dit de ne plus leur donner de thé ! Si tu continues, elles vont
réécrire des choses totalement absurdes !
Nous :
C’est pas gentil ce que tu viens de dire Duo, ça nous fait beaucoup de
peine ! Snif ! Bouhouhouhouhouhouhou !
Les
autres : Tu vois ce qu’t’as fait ! Maintenant elles vont se jeter sur
toutes les glaces du congèle !
Duo :
Allez, les filles ! Arrêtez de pleurer ! Je m’excuse ! Vous
écrivez très bien !
Nous :
C’est vrai ?…Tu dis pas ça pour qu’on vous laisse des
glaces ?
Les
autres : Si mais c’est pas grave ! L’important c’est qu’il s’est
excusé !…Alors, vous arrêtez de pleurer ?
Nous :
D’accord mais Duo n’aura pas de glace : c’est Quatre qui aura sa
part ! Na !