Auteur : Nataku

Titre :  Si Wufei existait

Source : Gundam Wing

Etat :  Fini

Genre : One-shot, OOC à fond, songfic (la chanson, c Kyo + Sita, Le Chemin, que tout le monde connaît j'espère !!! pasque sinon honte à vous !!!!!!!) et après je sais po, un brin deathsfic mais non en fait je crois po …, et il y a aussi une scène de viol et une autre scène de cul, mais c po un Yaoi ! ! ! ! ! D’après Akasha, c’est un UA, je sais po ce que c’est, mais c’en est un … Quelqu’un pourrait m’expliquer  ce que ça veut dire ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ?

Couple : Ahahahahaha, it is the question ! ! !

Note : Les persos ne m'appartiennent po, sauf Nataku pasque c moi, et Wufei ??? Allez s'il vous plaît … !!!! ^^

Bon, faudrait d'abord lui demander son avis, et je pense po qu'il serait d'accord … donc, je continue mes rêves …

Petit Blabla :  Alors, euh je voulais juste vous dire que cette histoire m'a pris comme ça, subitement, et que donc, je me suis dit que ce serait pas une mauvaise idée de l'écrire, après tout, autant se lancer un jour … non ??

Bon, c'est ma première vrai fic alors soyez pas vache !!!! merciiiiiiiiiiii

Petit Blabla 2 : je crois qu'à l'origine, je voulais faire une fic joyeuse, mais bon, pour l'instant, j'ai po été foutu d'y arriver … alors tant pis, j'espère que ça vous plaira quand même …

Petit Blabla 3 :  Simples indications

                                   ** … **           flash back

                                   ## … ##           pensées de Wufei

                                   °° … °°            pensées de Nataku

Bonne lecture à tous !!!!!!

 

Si Wufei existait

 

            Nataku savourait cet instant. Installée confortablement sur ses genoux, Wufei, les yeux fermés, prenait plaisir aux caresses de son amante. Elle avait commencé par les cheveux, puis le visage. Paisiblement, elle explorait les moindres recoins de l’arête du nez, des yeux, mais surtout de la bouche, qu'elle connaissait déjà par cœur. Doucement, elle descendit sur son torse, découvrant la musculature parfaite de son compagnon. Il ouvrit les yeux et la fixa avec amour. Elle lui rendit son sourire et déposa lentement un baiser sur les lèvres chaudes de Wufei. Puis, elle reprit sa lecture, entrecoupant son récit de baisers langoureux. Soudain, Wufei prit la parole : "Nataku ?

-         Oui, Wuffy ?

Ce surnom ne le dérangeait pas dans la bouche de celle qu'il … qu'il aimait.

-         Nataku ? Est-ce que tu crois que tu m'aimes ? Je veux dire : vraiment ?

-         Tu le sais bien Wufei !"

Mais, Nataku savait très bien que cette réponse ne lui suffisait pas. Elle se leva, rompant le charme, et remettant à plus tard -encore à plus tard- cette discussion qui l'inquiétait tant. Elle n'aimait pas dévoiler ses sentiments. Elle préférait les garder cachés, au fond d'elle-même, dans son cœur, car toujours il y restait malgré elle … Elle ne pouvait l'oublier, lui, l'intrus restait accroché et lui étreignait le cœur et l'âme, continuellement.

   "Nataku ? Pourquoi remets-tu toujours à plus tard ce que tu pourrais faire maintenant ?

-         Wufei pas maintenant, pas aujourd'hui, s'il te plaît …

-         Nataku

-         Je suis désolée, Wufei …"

Elle sortit de la chambre et s'installa au balcon. L'air frais lui faisait du bien. Le vent faisait voler ses longs cheveux blonds déliés. Des larmes s'échappaient de ses grands yeux couleur ocre jaune. Son esprit s'évada. Elle ferma les yeux : la tête lui tournait. Elle se retrouva en face de lui. Sa peur s'intensifia, lui nouant la gorge. Ses jambes flanchèrent. Elle hurla : "NON ! Laisse-moi !" puis s'écroula à terre.

            Lorsqu'elle rouvrit les yeux, elle était blottie contre Wufei. Il la tenait dans ses bras et elle pouvait ressentir la chaleur de son corps l'envahir. Il lui caressait doucement les cheveux, lui murmurant des mots doux pour la rassurer. Nataku se calmait peu à peu. L'horreur de sa vision s'était estompée et elle ressentait maintenant une étrange douceur lui étreindre le cœur. Elle se sentait si frêle dans les bras de Wufei ! Mais elle aimait ces contacts, et chaque moment passé avec lui était un réconfort. Elle s'abandonnait à lui et vivait une plénitude rassurante.

            A l'inverse, Wufei s'inquiétait en sa présence. Elle lui semblait tellement lointaine. Elle s'enfermait dans une bulle où nul ne pouvait entrer, et dont elle ne voulait pas sortir. Elle prétendait ne pas avoir besoin d'aide, mais plus le temps passait et plus elle s'enfonçait. Elle ne voulait pas parler, jamais. Il ne pouvait pas l'aider, même s'il l'avait voulu. Il ne connaissait pas son problème et souffrait de la voir dans cet état. Il la préférerait gaie, il le savait, même si elle ne l'avait jamais été. Mais peut-être la tristesse était-elle un abri pour Nataku ? Peut-être que la tristesse, c'était elle …

 

            Ils restèrent ainsi un long moment, sans parler, jusqu'à ce que Wufei sentît Nataku frissonner : "Viens, Nataku, on rentre.

-         Non, attends encore un peu.

-         Tu vas attraper froid.

-         Ce n'est pas grave. S'il te plaît reste encore un peu, je suis si bien dans tes bras !

-        

-         Wufei, je suis désolée, je m'excuse pour tout, Wufei

-         Ce n'est rien Nataku … Je …

-         S'il te plaît, ne me pose pas de questions. Je t'en prie, reste encore auprès de moi. J'ai besoin de ta présence, de ta chaleur, de ton soutien.

Elle le fixa : J'ai besoin de toi, Wufei, ne me laisse pas !

-         Je te le promets, Nataku. "

Les larmes coulaient de nouveau des yeux de la belle Nataku. Wufei se leva et l'attira de force à l'intérieur. Il l'installa allongée sur le lit, s'assit près d'elle et la berça lentement. Sa voix faible rompit le silence : "Wufei, je ne sais pas exactement ce que je ressens …

-         … Continue …

-         C'est un mélange confus de sensations … Un bonheur, une lueur dans ma tristesse. Tu es une flamme qui réchauffe mon cœur de glace.

-         Tu n'as pas un cœur de glace, Nataku, puisque tu es capable de ressentir des émotions.

-         Je suis capable de les ressentir mais pas de les distinguer.

-        

-         Autrefois, j'avais un cœur capable d'aimer. Mais maintenant, je ne sais pas, je ne sais plus …  plus rien. Je ne me sens plus le courage d'aimer. Je n'en ai plus la force.

-         Nataku ! Pourq

-         Wufei, tu m'as promis ! Ne dis rien ! Maintenant, savourons le silence et la force des sentiments qui nous unissent. Chuttt … Ecoute le chant des mésanges et des rossignols, écoute leur harmonie entremêlée. Et serre-moi dans tes bras, serre-moi fort, plus fort que tu ne m'as jamais serrée … et sauve-moi de la peur qui me domine … sauve-moi … sauve-moi de tout. "

Wufei obéit et Nataku finit par s'endormir, apaisée.

A la voir dormir ainsi, si sereine, un sourire malicieux aux lèvres, il se sentait quelque peu rassuré. Mais il savait que ce n'était qu'une illusion. L'âme et le cœur tourmentés de Nataku n'avait pas encore trouvé de repos. Au moment où il voulut se détacher d'elle, elle saisit son bras  et l'attira à elle. Elle avait les yeux grands ouverts et semblait affolée. "Je vais me mettre en pyjama, Nataku." Elle relâcha la pression, et d'une voix endormie, lui annonça qu'elle l'attendait.

            Lorsqu'il revint, il trouva  Nataku profondément endormie et sourit à cette vision. Il se glissa sous les couvertures, près d'elle. Exceptionnellement, il dormirait à ses côtés, car il savait qu'elle en avait envie. Il sombra vite dans le sommeil.

 

 

            Nataku se réveilla brusquement, en sueur. Elle avait encore eu une nuit agitée. Wufei, levé en même temps qu'elle à cause de ses cris, la regarda, un sourire inquiet animait son visage. Il la prit par les épaules et l'allongea près de lui. Leur visage se faisait face, proche. Chacun sentait le souffle de l'autre contre lui, tandis qu'ils faisaient désirer leur baiser. Après plusieurs jeux, leurs lèvres s'unirent. Nataku entrouvrit la bouche, imitée par Wufei, et ils se perdirent dans leur baiser. 

Lorsqu'ils se séparèrent, Wufei lança un vague "Bonjour" auquel Nataku répondit par un second baiser. Wufei posa alors délicatement ses mains sur la fine taille de Nataku, l'entourant de ses bras. Elle blottit la tête contre l'épaule de son compagnon et ils restèrent longtemps ainsi, savourant leur étreinte, avant de se rendormir.

 

 

            Lorsque Nataku s’éveilla pour la seconde fois, Wufei était déjà levé. Elle avait passé une bonne nuit. Elle avait encore rêvé de lui, elle l'avait vu, avait revécut la scène.

 

 

** Elle arriva chez lui à 20h00. Elle l'embrassa, comme à son habitude et se jeta dans ses bras. Discrètement il tourna le verrou puis s'était approché d'elle et la saisit par derrière. L'étreinte, violente, la surpris, mais elle frissonnait d'aise à se retrouver dans les bras de celui qu'elle aimait. Prenant son attitude pour un jeu, elle le poussa à continuer. Il s'exécuta et passa ses mains rugueuses sous le pantalon de Nataku. L'inquiétude commençait à la gagner, et elle lui somma d'arrêter, lui disant qu'elle n'était pas prête à ça. Mais il ne l'écoutait pas. Il se contenta de lui murmurer entre deux ricanements : "Quand seras-tu donc prête ? Moi, je te veux maintenant, je veux … te dominer … tout de suite …"

-         Je t'aime … mais pas aujourd'hui, s'il te plaît !!!

-         J'ai dit MAINTENANT !!!

-         S'il te plaît calme-toi, tu me fais peur !! Les sentiments que je ressens pour toi sont exaltants, comme l'aube qui donne la vie, brûlants comme le Soleil de midi et doux comme la fraîcheur du soir … Mais je ne suis pas prête à ça !!!! ZECHS !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! **

 

 

"Bonjour Nataku. Comment vas-tu ??

-         Ca va … Et toi, Wufei ?

Sa voix tremblait de l'émotion qu'elle venait de vivre à se remémorer … encore une fois …

-         Très bien. Tu viens, je t'ai préparé un petit-déjeuner ?"

Malgré son manque d'appétit, elle l'accompagna à la cuisine et mangea quelques tartines. Affalés sur leur chaise, ne disant mot, ils pensaient …

## Regarde-toi, assise dans l'ombre

A la lueur de nos mensonges

Les mains glacées, jusqu'à l'ongle ##

 

°° Regarde-toi, à l'autre pôle

Fermer les yeux sur ce qui me ronge

On a changé à la longue °°

 

Aujourd'hui, cela faisait un an … Un an déjà mais il possédait encore son cœur, et renaissait chaque nuit, dans ses cauchemars. Nataku ne pouvait l'oublier, malgré ce qu'il lui avait fait subir. Il était son premier amour, le premier qui avait partagé sa vie, son cœur, son âme … et son corps.

 

On a parcouru le Chemin

On a tenu la distance

Et je te hais de tout mon corps

Mais je t'adore

 

On a parcouru le Chemin

On a souffert en silence

Et je te hais de tout mon corps

Mais je t'adore … encore.

 

Soudain, alors que Wufei était parti s'habiller (sans qu'elle l'eût le moins du monde remarqué), Nataku entendit une voix l'appeler par la fenêtre. Elle devina immédiatement à qui elle appartenait.

"Nataku. Cela fait un an. Un an déjà, Nataku.

-         Laisse-moi !

-         Tu te rappelles Nataku ?

 

 

** "Zechs !

-         Laisse-toi faire, Nataku !

-         Zechs … Au secours !!!!

-         Laisse-toi faire je te dis, personne ne peut t'entendre ici !! "

Elle tenta de le repousser, mais déjà, il avait affirmé sa prise sur elle.

"Ca fait trop longtemps que j'attends que tu sois prête Nataku ! Maintenant je craque ! Je n'attends que ça ! Crois-tu vraiment qu'une jeune fille de 5 ans ma cadette m'intéressait  pour autre chose que son cul et ses formes rondes ??

-         Tu mens Zechs ! Que se passe-t-il ? Reprends-toi enfin ! ZECHS !!!

-         Je ne me suis jamais senti aussi moi-même Nataku !!!"

Il la coinça dans un coin et arracha le bouton de son pantalon. Puis il descendit silencieusement son doigt et le fit violemment pénétrer dans le sexe de sa victime. Voyant qu'elle ne ressentait rien, il la déshabilla entièrement puis l'obligea à le branler. Ne sachant comment si prendre, elle fit plusieurs tentatives … en vain. Insatisfait et énervé, il lui enfonça son sexe dans la bouche. Enfin il se dressa et effectua lui-même son geste de va-et -vient. Il ne fut satisfait qu'une fois qu'elle eut sa semence dans la bouche. Il lui interdit de la cracher et la pauvre Nataku fut finalement forcée de l'avaler. Il la releva ensuite et s'introduisit brusquement en elle. Son membre dur la pénétra avec rudesse, ce qui lui arracha un cri de douleur. Désespérée, elle se mis à pleurer tandis que Zechs se déchaînait sur elle … **

 

Nataku pleurait à chaudes larmes.

"Laisse-moi !!!!!!!!!!

-         Avoue que ça ne t'avait pas déplu !

-         Arrête, tu mens ! Tu ne fais que ça !

-         Tu essaies de te convaincre toi-même, hein ? Et est-ce que tu y arrives ? J'en doute !! Regarde, tu as honte … Si on recommençait Nataku, pour fêter ces un an ! Je ne suis pas encore rassasié, et à vrai dire … toi non plus !

-         Il en est hors de question !

-         Mmmmmh, c'est vrai qu'il y a Wufei maintenant …

-         Laisse-le en dehors de tout ça !

-         Oh oh ! il n'est pas au courant de ton passé ! Mais c'est une très bonne raison ! Voudrais-tu que je lui révèle notre petit secret ?

-         Laisse-le !

-         C'est qu'il serait dégoutté le pauvre : sortir avec un déchet pareil.

-         Sors de ma vie, de ma tête ! Sors … Sors de mon cœur !

-         Je ne te demande qu'une seule chose Nataku … Ensuite, je te laisserai tranquille …

-         Laquelle ?

-         Tu le sais très bien …"

Nataku baissa les yeux. Elle ne voulait pas que Wufei soit au courant. Et elle voulait qu'il disparaisse pour toujours … "Quand ?

-         Ce soir, à 20h … Comme l'année dernière. A l'hôtel, près du parc …

-         J'y … j'y serai. "

 

Et je te hais de tout mon corps

Mais je t'adore … encore

 

Durant la journée, Nataku avait été absente, ce qui ne manquait pas d’inquiéter Wufei. Elle était ailleurs, dans ses pensées, et il n'obtenait d'elle, malgré ses nombreuses tentatives, que quelques vagues murmures … A la fin de l'après-midi, elle déclara qu'il fallait qu'elle prenne l'air, qu'elle rentrerai tard, et qu'il ne devait pas l’attendre.

 

Elle marchait tranquillement. Le vent froid et violent faisait bleuir ses lèvres, mais elle y paraissait in sensible. Elle se rappelait … encore …

** Après le choc de la pénétration, Nataku ne souffrait plus. Elle n'avait plus mal, bien au contraire. Elle tenait de calmer ses pulsions, mais en vain. Elle flottait, en pleine extase, elle prenait du plaisir au va-et-vient qui s'opérait à l'intérieur d'elle-même mais ne voulait pas se l'avouer. Enfin, hurlant son désespoir, mais surtout son plaisir, elle fixa Zechs dans les yeux. Elle ne voulait plus rien, simplement s'allonger, avec lui, pour mieux savourer son plaisir. Zechs lut la flamme de désir qui habitait ses yeux et rie : "Tu aimes ça n'est-ce pas Nataku ? Ca se lit dans tes yeux ! Je me doutais que tu apprécierais cette étreinte !! Il suffisait de te brusquer un peu … toi qui me disait que tu n'étais pas prête, tu m'en redemandes … !! Je vais t'obéir Nataku, ne t'en fais pas pour ça !

-         Non, Zechs, tu mens ! … Ce que tu dis … est faux !! Je … Je te déteste !!"

Nataku le repoussa et essaya de se raisonner. Puis, elle ramassa ses affaires, et se rhabilla très vite. Elle le fixa puis s'enfuit en courant.

"Fuis Nataku ! Mais au fond de toi, tu sais que tu ne veux qu'être prêt de moi et continuer !!! Ton désir te poursuit … On se recroisera, sois-en sûre !! A bientôt !" **

 

 

            Nataku ferma les yeux. Elle était furieuse contre elle-même, elle s’en voulait tellement de s’être laisser aller à son désir, en oubliant ce qu’il lui avait fait . Mais pourquoi s’y rendait-elle maintenant ? Elle s’arrêta : °° Je ne peux pas … je ne dois pas °°

« Te voilà, Nataku ! »

Elle garda les yeux fermés et tenta de calmer ses pulsions. Il lui toucha le bras avec délicatesse. Elle se laissa aller à la douceur de ce geste et ouvrit la bouche. « J’avais oublié à quel point tu étais belle, Nataku. J’ai fait un bon choix. Allez ; viens, j’ai réservé une chambre. »

Elle se laissa guider, sous l’emprise de son désir constant et lorsqu’elle reprit ses esprits, elle était seule, dans une chambre luxueuse avec Zechs. Il souriait et la contemplait. Elle sentait son amour envahir la pièce, son cœur battre la chamade. Il s’avança vers elle et déposa un baiser timide sur les lèvres gelées de Nataku. Lorsqu’il s’éloigna, il fut surpris par une Nataku endiablée qui l’embrassa passionnément . N’en pouvant plus de se contenir, elle appréciait ce contact qu’elle n’avait pas eu depuis un an. Elle se colla à lui, l’entourant de ses bras, passa ses mains sous la chemise de Zechs et commença à caresser son dos, ce qui eut pour effet de faire frissonner Zechs de plaisir. Tout en s’embrassant, ils s’allongèrent sur le lit, tandis que Zechs commençait à déshabiller Nataku avec grâce. Elle enleva elle-même son haut, et laissa le soin à Zechs de lui enlever son soutien-gorge, révélant ses formes parfaites. Il joua avec sa langue sur ses seins, descendit jusqu’à son nombril, puis remonta pour faire durer le plaisir. Nataku n’en pouvait plus, gémissait de plaisir. C’est le moment que choisit Zechs pour s’introduire en elle. Au moment où Nataku commençait à atteindre la cime de son plaisir, l’interphone qui se trouvait dans la chambre s’alluma : « Je suis désolée de vous interrompre, mais je tiens à vous signaler qu’un jeune homme ici dit connaître une certaine Nataku  et avoir besoin de lui parler. Il … Monsieur ! Monsieur ! Restez ici ! Vous n’avez pas le droit ! Monsieur ! … »

La porte s’ouvrit violemment et Wufei, vit haletant, la scène qui se déroulait devant ses yeux. Il ne put contenir ses larmes et hurla le nom de celle qu’il aimait tant. Elle sortit de sa torpeur et reconnaissant la voix ouvrit les yeux … Wufei était à terre, la tête dans les mains. Elle se couvrit d’un drap, pendant que Zechs se rhabillait, un sourire flottant sur les lèvres.  « Wufei ? Je … Ce n’est pas ce que tu crois ! … Il … il m’oblige ! »

Wufei était anéanti : « Tu sembles prendre beaucoup de plaisir pour quelqu’un qui n’est pas consentant !

-         Wufei ! Je suis si désolée !

-         Je savais ! Je savais , mais je ne pensais pas que tu pourrais me faire ça Nataku ! Tu ne veux qu’une amitié entre nous !

-         Non ! Wufei, c’est faux !

-         Tu sais très bien que non ! Tu ne veux qu’une amitié. Tu ne peux pas m’aimer et tu ne le pourras jamais car quelqu’un possède déjà ton cœur … et ton corps

-         Oh ! comme c’est émouvant ! Mais, tu sais, Wufei, tu n’es pas obligée de t’excuser envers une chienne comme elle ! C’est une amante excellente ! Mais ça s’arrête là. Alors, ça te fait quoi de partager le lit d’une catin, d’un déchet ? ?

Wufei sortit son sabre : Ne la traite pas comme ça ! Elle vaut déjà beaucoup mieux que toi ! Qu’en as-tu fait connard ? !

-         Ah ! Tu veux te battre ? Très bien … »

La haine se lisait dans les yeux des deux combattants. Nataku ferma ses yeux remplis de larme et, quelques minutes plus tard, entendit un long râle profond d’agonie et de désespoir. Affolée, elle se précipita sur Wufei, qui gisait à terre. Une tache rouge grandissait sur son T-shirt.

« Nataku ! Comme tu es belle !

-         NON Wufei ! Pardonne-moi ! Wufei ! Ne meurs pas, ne me laisse pas ! ! !

-         Chut … Laisse-moi te parler une dernière fois … Ne meurs pas Nataku, vis pour moi et aime … aime de tout ton cœur … pour moi … Vis Nat… »

La tête de Wufei retomba dans les bras de Nataku « Tu l’as tué ! Je te déteste Zechs ! Je te hais !

Je vis dans une maison de verre

A moitié remplie de ton eau

Sans s’arrêter

Le niveau monte

-         Je suis le fantôme qui s’égare

Je suis l’étranger à ton cœur

Seulement regarde

Comme tu es seule

-         On a parcouru le chemin et j’ai souffert en silence

Et je te hais de tout mon corps

Mais je t’adore encore

 

Nataku s’écroula sur le tapis.

« Je respecterai le dernier souhait d’un mourant, je ne te tuerai pas, Nataku
Nataku le regarda dans les yeux, désespérée : Zechs … Tu m’as déjà tuée … »

 

OWARI

 

Je suis vraiment désolée d’avoir présentée Zechs comme un méchant, mais j’ai bien réfléchi et j’ai trouvé personne qui convenait mieux.

Et, euh, je tiens quand même à préciser que même si je m’identifie à Nataku, euh … j’ai pas vécu cette histoire, ou quoique ce soit de ressemblant … Simple précision … ^^

 

Vous avez quand même aimé ? Donnez-moi vos impressions : nataku.tryoen@wanadoo.fr