Titre : Aide-moi à vivre…

Base: Gundam Wing/ Rêve totalement idiot.

Genre: Sérieux (+ du yaoi, mais c'est pas vraiment pour ce chapitre)

Auteur : Natsu ^-^

Couple : Allusion 3x4, 2xH, 5+S, 1+2, oh et puis vous verrez au fur et à mesure…

E mail :  WolfyNatsu@aol.com

Disclaimer : Les persos, pas à moi, mais ils habitent chez moi pour le moment ! ^^

Pitti mot de mwa : Coucou ! Je peux pas dire que ce soit ma première fic, mais la deuxième, alors soyez clément. Sur ce, bonne lecture !!! ^^

Note : **********  signifie un changement de moment. ***** signifie un changement de lieu.

 

 

Naëlle : T’inquiète, je vais faire mon possible pour écrire la suite rapidement ! ^^  Sara-chan : Valà le chapitre 3 !!!! J’attends tes reviews et tes idées pour la suite ! ^^ PPCU : Merci pour tes encouragements, ça va droit au cœur !

Aide-moi à vivre

Session 3

 

Il faisait nuit depuis un certain temps quand une porte s’ouvrit. Une ombre noir passa dans les couloirs de la base, et, sans bruit, elle se faufila dehors.

La nuit était sombre, et la lune n’en était qu’à son deuxième quartier. Pas un seul nuage ne venait cacher le ciel, et de nombreuses étoiles faisaient timidement leur apparition, pour finalement, briller de milles feux.

L’ombre se glissa sur la falaise qui surplombait la mer, et tranquillement, elle s’asseya par terre, le visage levé vers les étoiles…

« C’est tellement dommage que les gens ne prennent plus le temps de vous regarder… Vous êtes tellement belles ! On ne peut pas vous voir depuis les colonies… Celles que l’on voit là bas ne sont que de pâles copies… Les gens de la Terre ne savent pas quelle chance ils ont … » l’ombre se tût un moment et repris « Pourrez vous un jour me la rendre…, ma seconde moitié ? Je ne sais même pas s’il est encore vivant… Je ne veux pas rester ici, mais tant que cette puce se trouvera dans ma tête, je ne pourrai pas me permettre de désobéir. La douleur physique n’est rien, mais mon esprit, lui, souffre atrocement, et doucement, il se meurt, dans cette cage d’argent ou il est emprisonné depuis si longtemps… » sa voix était mélancolique, et emplie de tristesse… Doucement, l’ombre se replia sur elle-même, et laissa court aux larmes qui lui venaient aux yeux, brouillant sa vision…

Les étoiles brillaient plus que jamais, et semblaient vouloir réconforter la personne si triste, qui venait leur rendre visite… Mais elles ne pouvaient se contenter que de rassurer cette personne, en montrant simplement qu’elles étaient là…

 

**********

 

Le soleil se leva lentement, éclairant sur son passage, l’ombre qui s’était endormis sur la falaise… Celle-ci ouvrit lentement les yeux, et essuya ses larmes qui avaient continuées de couler, avant de se lever et retourner de là ou elle venait…

 

*****

 

Une main bougea… Une paupière s’agita… Des lèvres murmurèrent des mots incompréhensibles…

Les yeux s’ouvrirent, la pupille était dilatée, et l’on pouvait y lire de la terreur si on prenait quelques secondes pour les observer…

Une main apaisante se posa sur l’épaule de celui qui venait de se réveiller… Elle semblait forte et douce à la fois. Mais pas seulement ça… elle semblait familière aussi…

Le cœur calma ses tambours qui avaient entamés à un rythme effréné, une mélodie qui raisonnait dans sa tête, pour reprendre un rythme plus doux, discret…

La respiration saccadée redevins lente et régulière tandis que les pupilles reprenaient une taille normale.

Sa main se leva pour essayer d’enlever le voile présent devant les yeux, mais une autre l’attrapa et la remis en place.

De lui même, le voile s’estompa, laissant place à un rayon de lumière perçant. Quelques secondes… les yeux s’habituaient à l’éclairage de la pièce.

 

Une main se pressa sur son front, relevant sa température. Et une voix se fit entendre autour de lui… Légèrement aigue, et rapide à la fois. Il connaissait cette voix. Une voix qu’il haïssait, mais qu’il appréciait en même temps. Une voix qu’il voudrait faire taire, mais qu’il regretterait aussi. Après tout, n’était-ce pas cette voix qui l’avait ‘’sauvé’’ de la rue ? …Sauvé, ou plutôt, emprisonnée.

Cette voix ne voulait pas le laisser tranquille, mais elle avait pris soin de lui. Elle l’avait également puni souvent… trop souvent… et s’était aussi permis de modifier son corps, comme s’il était une vulgaire expérience… Seulement, il n’était pas seul dans cet endroit…

 

FLASHBACK…

Un garçon d’environs 13 ou 14 ans se trouvait là aussi… Il était légèrement plus grand que lui de quelques centimètres, les yeux bleu nuit, les cheveux châtain clair attachés en queue de cheval courte, et physiquement, malgré son âge, il était déjà bien musclé. Il portait un simple débardeur avec un pantalon large qui semblaient neuf… Contrairement à lui, brun, les cheveux longs, les yeux marrons clair avec des éclats verts, et ses habits déchirés et ensanglantés de partout… Pourtant, le garçon qui était là ne s’en était pas soucié et était venu près de lui avec un grand sourire « Salut ! Je m’appel Night et j’ai 13ans ! Et toi ? » avait-il dit pour se présenter. Ne sachant quoi répondre, son cadet resta d’abord silencieux, puis fini par lui répondre « Je n’ai pas de nom… Je sais seulement que j’ai 12ans… » lâcha-t-il en regardant les mains de son aîné.

« Tu n’as pas de nom ? Alors je vais t’en trouver un bien, tu peux me faire confiance ! » Avait-il dit en gardant son sourire. « Zak ! C’est comme ça que tu t’appelleras maintenant ! T’en pense quoi ? » avait-il dit en se penchant un peu pour voir sa tête.

« C’est bizarre…, mais j’aime bien. » lui répondit-il en le regardant dans les yeux.

« Super ! Je suis sûr que l’on va bien s’entendre ! » lui répondit-il en lui tendant la main.

Zak resta surpris devant tant d’enthousiasme, mais fini par serrer la main qui était tendue vers lui. « J’en suis certain. » lâcha-t-il doucement.

FIN DU FLASHBACK…

 

La main s’était retirée, et il était désormais seul dans la pièce.

La solitude… Cette amie qui avait voulu lui tenir compagnie pendant si longtemps… Jusqu’à ce qu’il décide qu’il devait mourir.

Son regard se posa sur son poignet qu’il souleva doucement. Une croix était tatouée sur la surface intérieur. Ou plutôt, une manière de camoufler de vieilles cicatrices… « Je n’ai pas eu mal quand je t’ai créer… Pourtant, ça n’a pas été le cas quand tu t’es refermée. Pourquoi faut-il que je vive ? Je n’ai aucune raison d’être ici. Je suis prisonnier de mon propre corps, quelle triste fatalité… Avoir un corps et ne pas pouvoir s’en servir à sa guise. Que suis-je sencé faire alors… Continuer à faire le rôle du pantin ? » les yeux s’ouvrirent lentement, laissant briller les éclats verts d’une couleur irréelle… Comme, des yeux de chats dans la nuit… « Ce sera bientôt fini ! Quand cette guerre aura pris fin, j’enlèverai cette chose dans ma tête, et personne ne me dictera plus ce que je dois faire. Fini le soldat ! Fini la marionnette ! Je pourrais enfin mourir… » ce furent les mots qui sortirent de sa bouche, sans qu’il s’en aperçoive…

 

Une porte qui s’ouvre. Un garçon qui entre, et s’assied à côté du lit, attendant que le jeune blessé se réveille…

« Que veux tu Duo ? » demanda Zak sans ouvrir les yeux.

« Heu… Je venais voir si tu allais mieux… » répondit le pilote de DeathScyte, surpris que Zak soit déjà réveillé. « En fait, je ne pensais pas que tu serai réveillé… » avoua-t-il en baissant la tête.

« Alors pourquoi est tu venu dans ce cas ? Pour parler à quelqu’un qui ne pourrait pas te répondre ? » Zak avait ouvert les yeux et le fixait intensément.

Duo releva la tête et le regarda, avant de secouer la tête avec un petit sourire triste.

« Je ne sais pas pourquoi tu es venu me voir, mais pour que tu sois triste, c’est que ça dois être important. » le jeune garçon essayait de s’asseoir dans son lit en prononçant ses paroles. Duo se leva et l’aida à s’appuyer contre l’oreiller et le mur, sans rien dire.

« Dit moi ce que tu as… Je ne veux pas m’infiltrer dans ta tête, libre à toi d’en parler ou pas. Mais si tu veux te confier, je suis là. » lâcha le jeune pilote en ne quittant pas des yeux le natté.

« En réalité… c’est un truc très bête en fait. » avoua Duo en riant nerveusement.

« Si c’étais si idiot que ça, tu ne serais pas dans cet état là… »

Duo baissa la tête « … j’ai envie de pleurer… »

« Alors pleure. Personne ne viendra t’en blâmer tu sais. »

«  I…but…boys don’t cry ! Boys never cry ! » cria presque Duo, en revenant, sans s’en apercevoir, à sa langue natale.

Zak le tira contre le lui avec son bras valide qu’il passa ensuite autour de ses épaules « Tu as raison Duo... Les garçons ne pleurent pas. Mais comme moi, Heero, Quatre, Trowa ou WuFeï, tu as été obligé de grandir trop vite, et ça, ce n’est pas négligeable. Tout le monde à le droit de laisser libre court à ses larmes un jour… toi le premier. Tu peux pleurer devant moi, je ne t’en blâmerai pas… » lui chuchota Zak doucement, alors qu’il avait mis la tête du jeune natté au creux de son cou.

Duo ferma lentement les yeux, et doucement, laissa libre court à sa mélancolie et à ses larmes, longtemps refoulées au plus profond de lui même. Des sanglots silencieux le poussèrent à se coller un peu plus contre le jeune français, et il passa ses bras autour de sa taille, en le serrant de toutes ses forces, comme si sa vie en dépendait, tandis que ses larmes trempaient le tee-shirt de son camarade.

Zak ferma les yeux et passa sa main dans les cheveux de Duo, sans se soucier de la douleur de ses côtes qui s’était réveillée. Il ferma les yeux et essaya de lire dans la tête de Duo… voir s’il pouvait l’aider à faire disparaître ce chagrin… Mais ce qu’il vit lui fit tellement mal que, sans s’en apercevoir, des larmes roulèrent sur ses joues, tandis qu’il s’appuyait un peu plus contre celui qui pleurait contre lui.

La fatigue les surpris tous les deux, et ils s’endormirent dans la position ou ils étaient, sans se lâcher… [1]

 

A suivre…

 

BON ! Maintenant, j’attends les reviews ! Et désolée pour ce chapitre, l’est pas très long, mais c’est la rentrée, et j’ai un peu moins de temps pour écrire maintenant, alors sorry. Et maintenant là tout de suite… REVIEWS !!!!!!!!!!!

 

 

[1] Y-Y C’est moi qui écrit et c’est moi qui pleure… C’est quoi ce bordel ?!

         Duo : l’est sympa Zak de me consoler ! Mais je peux savoir pk je suis dans cet état ?

         Natsu : Tu verra plus tard. Pour l’instant, ça correspond plus à mon humeur du moment.

         Duo : comment tu fais pour être déprimée alors que t’écoute de la techno et du métal en ce moment ?

Natsu : Sais pas… tout ce que je sais c’est que j’ai un super méga coup de cafard et que si j’étais seule, et bin ça fait longtemps que je serai en train de pleurer.

Zak : Tu veux un câlin ?

Natsu : Ze veut bien ! ^^

[2]Une note qu’à rien à faire là !!!Sorry, mais déjà, j’écoute de la zique pourris en ce moment, et en plus, faut que j’aille roupiller pour reprendre un rythme de sommeil normal pour la rentrée *il est… 00.01 Am. Cool… En plus jsui même pas faitigué… Dommage, mais au pieux quand même ! Good night !!!!!!! (je précise, je reprend l’écriture de la fic et nous sommes le 04 septembre, alors que la dernière fois que j’ai écris c’étais le 15 aout.)

 

 

 

 



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