Titre : Vision de la vie par les
g-boys 3/?
Auteur : Calliope.
Genre : Sérieux, réflexion toujours
aussi philosophique, POV, introspection.
Base : Gundam Wing, mon esprit
dérangé.
Disclaimer : Pas à moi le perso, mais le
fic oui, ainsi que toutes les expressions et surtout le dernier passage. Alors
faites gaffe, je mords !
Pitite
note toujours toute courte : Le passage narratif de fin est toujours en italique, le
fic est toujours aussi court et pour ceux qui n’ont pas la police du titre
(Vivaldi), ils me la demandent s’ils la veulent !
Je t’aime d’amour mon amour©[1].
On m’a toujours appris à fuir les sentiments, à les cacher,
les enterrer au plus profond de moi, à en détruire toute trace. Selon EUX,
grâce à ça, vous êtes un bien meilleur soldat et votre « rendement »
est supérieur à la moyenne. Tout simplement parce que quand on fait un
« métier » comme le mien, la chose la plus chiante qui doit exister
est bien d’éprouver un quelconque sentiment à l’écart de sa victime.
Je vous parle de « eux » sans vous avoir dit au
préalable qui ils étaient. Veuillez m’en excuser. EUX ce sont les entités qui
m’ont élevé. Peut-être que le terme d’ « entité » est un peu
fort et non justifié mais je ne vois pas un autre moyen pour définir des êtres
comme eux. EUX m’ont élevé à leur image, et je me vis devenir à mon tour une
entité. Et une entité parfaite, vous pouvez en être sûrs.
Longtemps je leur ai fait croire que j’avais détruit toute
sorte de sentiments qui aurait pu exister en moi et j’en arrivais parfois à le
croire moi-même. Mais je savais que je me leurrais puisqu’ils étaient là,
enfouis au plus profond de mon être, bien au chaud sous les énormes couches de
glace[2] qui constituaient de bien précaires protections contre le
monde extérieur, je dois l’avouer. Je les pensais solides et inébranlables…
elles n’ont pas fait long feu face au regard pénétrant de cet ange qui a croisé
mon chemin, dans des circonstances que l’on pourrait qualifier de très…
explosives !!! Mais l’heure n’est pas encore venue d’aborder ce sujet.
J’ai enfoui toutes mes émotions et sentiments en moi et je
ne l’ai pas regretté. A dire vrai, j’ai perdu toute envie de les montrer quand
je LES ai quittés, quand j’ai été livré à moi-même, loin d’EUX, dans le monde
normal… dès que j’ai vu ce qui régnait dans ce monde. J’en ai été littéralement
foudroyé. Tous ces gens autour de moi, qui avaient la possibilité d’exprimer
leurs émotions, croulaient sous l’hypocrisie. Je le voyais bien en les
regardant. Mais eux, s’en rendaient-ils seulement compte ? Se rendaient-ils
compte que leurs faux sentiments blessaient leur entourage et faisaient
s’éloigner d’eux les personnes les plus chères à leur cœur. Je ne pense pas et
je les plains sincèrement.
Et puis, sous ordre de mon mentor, j’ai dû aller vivre avec
les autres pilotes de Gundam. Au début ça ne me gênait pas plus que ça… pour la
réussite des missions qu’ils disaient[3] ! Mais plus le temps
passait et plus je voyais en eux ce que j’avais détesté lors de ma première
insertion dans le monde : des masques d’hypocrisie ! Plus ou moins
présents, mais existants tout de même. Et quand ils disaient vraiment ce qu’ils
avaient au fond du cœur, c’était seulement des vilenies proférées pour blesser
les autres. Ça me dégoûtait de leur part et je me murais dans des silences encore
plus profonds. Et en plus ils osaient me reprocher mon apparence “j’m’en
foutiste” ! Quel culot ! Heureusement que l’un d’entre eux était
différent. Il exprimait réellement ce qu’il ressentait et se souciait du bien
être des autres[4]. Avec lui je me sentais plus confiant et prêt à faire
ressortir tous ces sentiments étranges qui naissaient au fond de moi. Mais je
n’ai jamais eu le courage de leur faire franchir mes barrières, de les libérer.
Oui j’avais peur ! Peur de l’inconnu, peur de ne pas savoir comment tu
réagirais, comment tu me considèrerais par la suite, si tu accepterais mes
sentiments pour toi ou si tu les rejetterais, si tu partagerais mes sentiments
ou si tu jouerais avec. Et finalement je les ai gardés pour moi. J’ai eu tort.
Au moment de ta mort, tu m’as dit que tu m’aimais mais je ne t’ai pas répondu,
regardant, sans être capable de bouger, ton visage exprimer un tristesse
abyssale puis disparaître à tout jamais. J’aurais dû t’avouer mes sentiments,
n’aurait-ce été que pour tu les connaisses.
Maintenant je sais. J’ai pris conscience que je
n’ étais pas bien différent des autres, si ce n’étais pire : j’étais
un monstre qui se cachait derrière le plus monstrueux masque d’hypocrisie,
celui de l’indifférence.
Le jeune homme était assis sur le rebord d’une tombe, son
regard voguant sans cesse entre les inscriptions et le ciel étoilé. Il
n’arrivait toujours pas à comprendre le sens de ce qui était gravé sur la stèle
mais avait simplement une petite idée sur le fait que ce soit écrit sur sa
tombe.
Trowa Barton
AC 180-197
- A notre clown qui pleurait
dans le silence de son cœur. –
OWARI
- 12 Novembre 2002 -
Et voilà encore une merde sans nom
achevée à rajouter à mon palmarès. Qu’est-ce que vous en pensez ? En fait
c’est surtout sur l’inscription que je veux votre avis (et aussi sur le fic, ça
va de soi) ! Alors ?
G-boys : Tu te fous de nous, là ?
Calliope : Ben non, pourquoi vous dites ça ?
G-boys : Tu sais quel jour on est ? Et t’as vu quand
tu as fini d’écrire le chapitre ?
Calliope : Aujourd’hui on est le 04/12/02 et j’ai fini le
chapitre le 12/11. Mais je vois toujours pas où est le problème !
G-boys : -_-°°°°° Tu as quand même mis près de deux
semaines et demi pour taper le chapitre!
Calliope : Non, j’ai mis 1h30. Les deux semaines et demi,
c’était pour me motiver !!!!
Ak : Motivation mode maximal en plus ! …… La tuer,
làmaintenanttoutdesuite !!
G-Boys *sortent les armes* : A
MOOOOOOOOOORT !!!!!!!!!!!!!!!!
Calliope : Techniquement vous en êtes plus capables !!
G-boys : Et pourquoi ça ?
Calliope : 1)Je suis l’auteuse et on ne tue pas une auteuse
qui a des fics en cours et 2) Dois-je vous rappeler que vous êtes diminués de
la moitié de votre effectif !!!
G-boys : Elle a pas tort ! pffffuuuuuuuu !
Duo&Heero : T’as encore trucidé un de nos meilleurs
pilotes.
Ak : C’est facile d’être un de vos meilleurs pilotes, vous
êtes que cinq.
Calliope : Enfin maintenant ils sont plus que deux… et
bientôt ils ne seront plus ! Niark niark niark !!!!!
Ak,
désespérée : Elle a fondu un câble… et avant son contrôle de maths !
Hé ben, il va être bô le résultat ! (remarque quand c’te c**** a vu le
mien (ke g lamentablement foiré) elle l’a fait en cinq minutes --__-- donc, y a pas grand risque…)
dégouuuuuuuuuuuuuuuuuuuutééééééééééééééééééeeeeee !!!! TTT_______TTT
Calliope : Meuh non !
Ak : Toi, je te fais la tronche ! Nan mais ! Tu
crois quand même pas ke tu vas t’en tirer comme ça après m’avoir démontré par
A+B que j’étais c**** comme c’est pas permis !!! Ze
bouuuuuuuuuuuuuuuuuudeuh !! *s’en va en entraînant les G-Boys* Allez venez, on se casse
sinon elle va me frapper (je vais appeler la SPA –Société Protectrice des
Auteuses) et elle va vous tuer !
Calliope : Méheuh ! é_è… Me laissez pas toute
seule !! …………………………………… Toute
seule ? Beuhé ! ……… Because I’m toute
seuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuule !!
Ak *lui balance un seau d’eau* : TA GUEULE !!!!!!!
(<- mauvais poil, très mauvais le poil)
Calliope *s’ébroue* : Méheuuuuuuuuh !!
Ak : Te secoue pas comme ça, tu va foutre de l’eau partout
sur les canapés !
Calliope : Méheuuuuuuuuuuh !
Ak : Arrête de geindre on dirait Relena dans ses grand
jours !!
Calliope : ………………………………………………………………………………………………
Méheuh ! é_è
Ak *décroche le téléphone* : Allô la fourrière ? Oui,
j’ai une « chose » dans mon salon, si vous pouviez venir la chercher,
oui, ce serait gentil, et c’est urgent, elle est en train de tout me saloper…
merci.
Calliope : Je vais appeler la SPA !!!
Ak : T’as raison, comme ça tu te retrouvera dans une
joooooolie cage avec tes congénères ! Passke je doute pas un instant que
la SPAuteuses ne lèvera pas le petit orteil et ke la seule société ki viendra
te chercher ce sera la SPAnimaux !!!
G-Boys : Mais pourquoi est-elle aussi méchante ???
Ak :
Paaaaaaaaaaaaaaaaaaaaasssssssssssssssskkkkkkkkkkeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeuuuuuuuuuhhhhhhh !!!!!
Et le prof de maths va faire connaissance avec les pieds de
chaise !!!!!!!!!! (puisque le chameau professeurophile s’occupe de prof de
philo)
G-boys : ---___--- °°°°°°°°°°°°°°
Calliope : C’est rien… ça passera. Et puis j’ai l’habitude.
J’y survivrai. I will surviiiiiiiiive yeah yeah !
G-boys : Nous sommes définitivement perdus. Mais où va le
monde de la fiction *voient Calliope qui va se mettre à chanter sur Jalane*…
Pas un mot où on se met en grève !
Calliope : Je ne pense pas que les esclaves aient le droit
de grève, ni aucun droit d’ailleurs.
G-boys : D’accord. Bon a une prochaine fois les lecteurs et
n’oubliez pas les reviews (elle sera peut-être plus gentille après mais faut
pas rêver).